A ce titre, je porte à la connaissance de vos lecteurs :
- Que mon Cabinet n’a reçu aucune somme en lien avec cette affaire.
- Que la convention organique signée avec le Cabinet Steering et approuvée par le Barreau de Paris ne fait pas du mien une sous chambre de ce Cabinet d’Avocats ou même son représentant au Niger.
- Les conventions organiques sont prévues par les textes régissant la profession d’Avocat.
- Mon Cabinet ne répond point des actes qui seraient posés par un autre fusse-t-il un Cabinet avec lequel il a une convention organique.
Un simple souci d’équité ou d’objectivité de la part du journal devait vous conduire conformément aux exigences et aux règles élémentaires d’éthique et de déontologie journalistiques, à vérifier cette « information » auprès du Cabinet.
Cela ne serait-ce que pour servir à vos lecteurs une information complète surtout que vous n’ignorez point le tort que de tels écrits peuvent causer.
En ma qualité d’Avocat, je reste attaché à la liberté de presse et à son indépendance mais elle doit au-delà de tout s’exercer dans le respct de ses textes, de l’honneur et de la dignité de la personne humaine.
Vos allégations étant constitutives d’infractions pénales, j’aviserai en temps utile. Cependant d’ores et déjà, je vous prie d’insérer, conformément à la loi, ce droit de réponse en intégralité dans votre prochaine parution.
Fait à Niamey le 29 avril 2019
Maître Oumarou Sanda KADRI
Avocat à la Cour
Conseil en Propriété Industrielle
Ancien membre du Conseil de l’Ordre des Avocats du Niger
Chevalier de l’Ordre du Mérite du Niger