Selon des sources proches de la Présidence, le service de l’Inspection Générale D’Etat a traité et transmis au ministère de la justice, en novembre 2014, trente cinq (35) dossiers de détournement de deniers publics de plus de cent cinquante sept (157) milliards de FCFA. Des dossiers qui, selon nos sources, restent toujours en souffrance dans les coulisses de la justice. Et les présumés criminels se la coulent douce dans une impunité totale. Dans ce vaste détournement, seraient cités des hommes politiques et des commis de l’Etat qui, aujourd’hui, on connu une ascension sociale avec leur accointance et allégeance au régime en place. Selon nos sources, en 2016, ce sont ces dossiers qu’aurait agités Issoufou Mahamadou pour créer la chienlit dans certains partis politiques et faire dresser des responsables politiques pour un soutien à son second mandat contre l’impunité. Aujourd’hui, Issoufou Mahamadou étant parti, mais son nom reste inscrit sur les pages sombres de l’Histoire du Niger. Il faut alors que les responsables de l’Etat, pour ne pas tomber dans les sillages de zaki de Dan dadji, réactivent ces dossiers. Cela, au nom de l’intérêt du Niger et de son peuple. 157 milliards de FFCA, c’est une énorme richesse qui pourrait être profitable pour l’économie du pays. Avec les 157 milliards, on peut faire beaucoup de choses dans les secteurs sociaux. Donc, au président Bazoum Mohamed de faire relancer ces dossiers dans le circuit judiciaire pour faire rentrer l’Etat dans ses droits. D’autant qu’il a juré sur le Saint Le Coran devant la nation de mener un combat hardi contre la corruption, l’impunité et l’injustice. Ainsi, il aura davantage gagné le coeur des nigériens.
A.S