Suite à la publication, dans l’édition N° 709 du journal Le Courrier, de l’article intitulé : ’’ Des sales draps, le cas de Moctar Kassoum discuté en Conseil des ministres ‘’, le ministre de la formation professionnelle, connu pour sa duplicité et son implication dans des sales dossiers de présumé détournement des deniers publics, s’est permis d’étaler des menteries sur les réseaux sociaux pour tenter davantage d’affabuler ses militants qui croient encore en ses mensonges politiques et jeter le discrédit sur le journal. Les allégations mensongères étalées par Kassoum Moctar sur les réseaux sociaux dévoilent davantage ses mesquineries et autres indignités politiques qui ont poussé le Président de la République à dénoncer son comportement devant le Conseil des ministres du mercredi 27 avril 2022. Nous le réaffirmons, c’est en pleine réunion de Conseil des ministres qu’il a été humilié et remis à l’expression de sa simple valeur d’hypocrite politique. Sans quoi, Le Courrier est un grand journal qui s’intéresse peu à des énergumènes de la catégorie de Kassoum Moctar qui, visiblement, manquent d’imagination. En niant la réalité, il fait envoler le peu de respect que lui accordent ses collègues du gouvernement. Le cas de l’individu Kassoum Moctar est un cas qui mérite, à tous points de vue, d’être traité par la justice. Sa place n’est donc pas au gouvernement. Au risque de faire sombrer la formation professionnelle au Niger. Aujourd’hui, après cet épisode, le Président n’a plus le droit d’avoir confiance à un tel personnage. Continuer à le faire, c’est manquer de vision pour le pays et un manque de respect pour la République.
Ali Soumana