Ce cri d’alarme du Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies sonne selon de nombreux observateurs comme un appel aux Nations Unies pour un soutien financiers à la force du G5 Sahel qui a reçu récemment une douche froide à travers la résolution biaisée votée par le Conseil de sécurité sous pression américaine. Pour l’heure, seul l’Union européenne à hauteur de 50 millions d’euros et la France avec 10 millions d’euros ont officialisé leur soutien financier à la mise en place de cette force qui va lutter contre tous les fléaux énumérés par Mohamed Ibn Chambass.
Garé Amadou
18 juillet 2017
Source : La Nation