Risques de victimes collatérales civiles

Avec cette nouvelle donne, depuis les événements de Tongo Tongo, les choses sérieuses vont s’accélérer, précise une source militaire. Sur les deux bases d’Agadez et Niamey, il n’y a aucun drone armé pour l’instant, mais cela ne va pas tarder.

Les drones armés MQ-9 Reaper seront bientôt sur les deux bases et décolleront pour les frontières nigéro-maliennes, en zone jihadiste.

L’annonce de l’utilisation de ces engins redoutables, que sont les drones tueurs au Niger, est mal appréciée par les acteurs de la société civile. Des voix s’élèvent pour dénoncer les risques de victimes collatérales civiles que sont les populations nomades, majoritaires dans ces zones de conflit.

06 novembre 2017
Source : http://www.rfi.fr/afrique/