En ce qui concerne la gestion du Projet ou les perspectives, il a souligné la nécessité de la création de « l’Agence du barrage Kandadji » (un EPIC) en remplacement du HACVN afin d’assurer une meilleure souplesse de gestion et accélérer la mise en œuvre du Programme et aussi la mise en place dans ce sens d’une assistance technique. Par ailleurs, le DG de l’ABK a relevé que le processus de déplacement de la 2ème vague est en cours de réalisation par le bureau d’étude français "TRACTEBEL" qui est chargé du recrutement et de l’élaboration du plan d’action de réinstallation de la vague 2 qui concernera près de 50.000 personnes soit 28 hameaux. Onze communes sont concernées et le Projet a prévu de les accompagner. M Amadou Harouna a salué l’engagement des autorités qui, après une période de mutisme, ont choisi de relancer ce programme qui une fois réalisé sera une aubaine pour le Niger. Le DG de l’ABK a estimét que les parlementaires peuvent jouer un rôle non moins important dans la sensibilisation et l’accompagnement de la réalisation de ce projet. À la fin de cette visite, les parlementaires ont pu mesurer l’immensité de la tâche à accomplir, l’état d’avancement du projet, notamment la réinstallation de la population. Ils ont demandé à la population de continuer à faciliter le processus de la réalisation de ce projet.

Mamane Abdoulaye, Envoyé spécial(onep)

06 novembre 2017
Source : http://lesahel.org/