En effet, dans beaucoup de pays le non respect de la limitation des mandats a été à la base des crises institutionnelles comme ce fut le cas au Niger en 2009. En fervent défenseur de la démocratie et tirant les leçons du passé, le Président de la République, SE. Issoufou Mahamadou, n’a pas caché son intention de passer la main, à la fin de son 2ème mandat, à un président démocratiquement élu comme prescrit par la constitution du 25 novembre 2010. Un engagement qu’il a maintes fois renouvelé aussi bien dans ses messages à la Nation que lors des rencontres internationales où la question lui a été posée.

l Siradji Sanda

02 octobre 2019
Source : http://www.lesahel.org/