Cependant dira le préfet de Dogondoutchi, les populations de Lougou, gardiens de cette pierre estiment que les morceaux qu’on leur a pré sentés ne proviennent pas de la véritable pierre et qu’elle serait cachée quelque part. Aussi, ils solliciteront l’autorisation de faire d’autres rites dont ils ont l’habitude afin de voir dans quelle circonstance identifier le lieu où la pierre serait cachée. Cette autorisation dira le préfet leur a été accordée à condition que cela se passe dans le calme et sans trouble. Malheureusement jusqu’à la date du 15 janvier 2018, tous les rites effectués sont restés infructueux. La pierre sacrée reste toujours introuvable. Il est à craindre que cette disparition de ne sonne la fin d’un rite.
Mahamane Amadou ONEPANP/Dosso
17 janvier 2018
Source : http://www.lesahel.org/