Dans l’espace de la Renaissance, l’on a comme l’impression qu’il y a des électrons libres qui ont eu le droit de faire ce qu’ils peuvent, d’agir à leur guise, à user de leur toute puissance, pour brimer un autre, et s’il le faut le dépouiller de ses biens. Et le magistrat suprême ne peut pas regarder faire, surtout quand il s’agit d’actes aussi vils qui entachent sa gestion et l’image de sa gouvernance. Fautil d’ailleurs croire, ainsi que l’avait dit Feu Issoufou Bachar, qu’il ne faut pas plaindre ces « enfants » gâtés de la Renaissance, parce qu’ils ne feraient que ce qui plait au boss ? Notre pratique politique est tombée si bas. Il revient au Président Issoufou de l’anoblir…
WALÉ.
23 mars 2018
Source : Le Monde d'Aujourd'hui