Début 2018, le choix a été définitivement porté sur l'entreprise chinoise CGGC, pour notamment la réalisation des travaux de génie civil pour la construction du barrage.

Le 31 décembre dernier, le président Issoufou a promis dans son discours à la nation à l'occasion du nouvel an, que "l'année 2018 sera, aussi, l'année de la reprise effective des travaux du barrage de Kandadji dont la mise en eau doit intervenir en 2020".

Le barrage hydroélectrique de Kandadji devait permettre à terme d'irriguer plus de 45 000 hectares et contribuer à la résorption du problème énergétique du Niger par la production d'une puissance installée de plus de 130 mégawatts.

Il permet la régénération des écosystèmes et de mise en valeur de la vallée du Niger, est de contribuer à la réduction de la pauvreté grâce à la régénération du milieu naturel, l'amélioration de la sécurité alimentaire et la couverture des besoins en eau et en énergie.

La réalisation du barrage permet la disponibilité en eau, rendue possible par l'existence d'un réservoir de régulation de 1,6 milliard de m3, garantira un débit minimum de 120 m3/s à Niamey et sécurisera tous les usages socio-économiques de l'eau, selon les études techniques.

10 août 2018
Source : http://french.china.org.cn/foreign/txt/2018-08/10/content_58336098.htm