Le chef d'État réagit également aux accusations d’ONG et de militants sur la répression de manifestation au Niger en affirmant que l’état de droit y est respecté, et accuse certains militants d’être en fait des "putschistes".
Enfin, il affirme de façon "irrévocable" qu’il ne modifiera pas la Constitution afin de pouvoir se présenter pour un troisième mandat à la tête du Niger en 2021.