« L’adversité grandit ceux qu’elle n’abat point », cette maxime convient à merveille pour parler d’Omar Hamidou Tchiana. Le leader de l’Alliance des mouvements pour l’émergence du Niger (AMEN-AMIN) ne cesse d’essuyer des attaques mesquines venant de la camarilla tarrayiste. Depuis des années, les petites mains au service de la Renaissance plongent dans les égouts espérant trouver quelques boules puantes à même d’indisposer Omar Tchiana. Dans leur tentative malveillante de jeter l’opprobre sur l’ancien ministre d’État aux Transports, les nervis au service du régime en place, s’enfoncent de jour en jour dans leurs basses oeuvres. Ces petits esprits qui gagnent leur misérable croûte quotidienne en cirant les pompes de Bazoum et compagnie, ont eu l’idée ridicule de ventiler sur les réseaux sociaux une correspondance datant du 21 octobre 2016. Ce document adressé à Omar Tchiana (alors ministre des Transports) fait cas d’un « appui financier » à la candidature du Niger pour briguer la Direction générale de l’ASECNA. Dans cette lettre, on y apprend que la Régie d’Assistance en Escale (RAE) a signé un chèque de 100 millions FCFA pour aider le candidat du Niger à mener sa campagne de façon convenable.L’esprit crapuleux (un conseiller du premier ministre) qui se cache dernière cette publicationa tente d’insinuer que le député Omar Tchiana se serait rendu coupable de malversation dans la gestion de ce fonds. Il en faut beaucoup plus qu’une manigance de bas étage pour souiller l’image et la réputation de Tchiana. Ce dernier, dans une réplique bien sentie, a répondu à ses pourfendeurs biberonnés à l’idéologie mafieuse du PNDSTarraya.

« Ce montant a été utilisé dans le cadre exclusif de cette campagne qui a couvert les 18 pays membres de l’ASECNA dont certains ont été visités à plusieurs reprises […] Ce montant n’a pas suffi […] Il a fallu le concours d’autres institutions, du candidat, et ma CONTRIBUTION PERSONNELLE DE PLUS DE DIX (10) MILLIONS FCFA »,écrit Ladan Tchiana. Et d’ajouter : « Jerépète à Mohamed Bazoum de dire à ses sbires qu’ils chercheront en vain un dossier de malversation me concernant et que réchauffer un document, qui avait déjà été publié en 2017 par un journal de la place à la demande d’un baron du PNDS-Tarraya, ne peut me salir. » L’irréductible opposant n’a pas manqué d’avertir ses adversaires sans foi ni loi : « Je vous conseille de ne pas ouvrir la saison des boules puantes, car je vous assure en la matière, même si je n’en suis pas adepte, je ne suis pas non moins dépourvu de dossiers explosifs. »À bon entendeur salut.

Sidi Maïga