La réunion du 6ème comité de pilotage du projet de renforcement de la Gouvernance Démocratique et Droits Humains (GDDH) ont pris fin hier 25 octobre dans l’après-midi à Niamey. Plusieurs recommandations ont étés formulées par les participants dans la perspective de contribuer à la promotion et à la protection des droits humains.

Dans l’allocution qu’elle a prononcée à laclôture de cette réunion, la Directrice des programmes Oxfam Niger, Mme Moussa Ramatou a indiqué qu’il est important dans la mise en œuvre de ce projet qui sera bientôt à terme, de se réunir avec tous les membres du comité de pilotage. Ce comité est constitué, selon Mme Moussa Ramatou de l’équipe de mise en œuvre du projet, des partenaires de mise en œuvre dont des institutions comme la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH), le Conseil supérieur de la communication (CSC), la Maison de la Presse et les ONG qui ont bénéficié des subventions du programme GDDH.

En effet, faut-il le rappeler, cet exercice est nécessaire avec le comité de pilotage qui depuis le debut de la mise en œuvre du projet, aide dans la prise en charge ou la prise de décision importante pour l’atteinte de résultats escomptés du  projet. «Nous avons discuté du niveau de mise en œuvre du projet, du niveau d’atteinte de résultats et également des recommandions pour que le projet puisse terminer comme il se doit. Il a été aussi question de savoir comment capitaliser les résultats dudit projet. Nous sommes à plus de 92% de mise en œuvre de ce projet. Ce qui est appréciable parce que certains partenaires sont en train de mettre en œuvre certaines actions importantes. Nous sommes à un bon niveau de mise en œuvre malgré les obstacles observés par certains partenaires et qui pourraient retarder l’exécution de certaines activités» a-t-elle expliqué.

Plusieurs recommandations ont été formulées par les participants. L’une d’entre elle porte sur la nécessité de comment conduire une évaluation finale du projet pour que les acquis du projet puissent servir non seulement à Oxfam, mais aussi et surtout aux partenaires de mise en œuvre du projet. «Nous avons fait aussi appel à nos partenaires pour le respect de certaines clauses contractuelles dans le bon sens de l’esprit des contrats qui nous lient avec eux. Nous avons appelé à beaucoup plus de synergie entre les organisations» a conclu Mme Moussa Ramatou

Rachida Abdou Ibrahim(Stagiaire)

Source : http://www.lesahel.org