La faute bien entendu incombe aux services de la Mairie notamment à la police municipale dont l’une des attributions est de veiller à la fluidité de la circulation dans la ville surtout quand les obstacles résultent du non-respect des normes en matière d’occupation de l’espace urbain.
En second lieu, il revient également aux autorités d’avoir un peu de suite dans les idées. Car, la nature ayant horreur du vide, lorsque vous libérez un espace et que vous ne songez pas à l’exploiter, dès que vous tournez le dos, le naturel va revenir au galop et les resquilleurs vont se donner à cœur joie ! D’autant qu’on ne peut demander raisonnablement à la police de monter une garde permanente afin d’empêcher les gens déguerpis de se réinstaller.
Pourquoi ne pas par exemple élargir la voie puisqu’il s’avère de jour en jour que face à la densité progressive de la circulation, nos rues sont de plus en plus étroites !
Pour revenir au charivari causé par l’absence de stationnement précis des minibus de transport urbains, il y’a lieu de leur assigner rapidement un lieu de parking qui ne gêne pas la circulation.
16 février 2017
Source : Haské