A défaut de pouvoir influencer un Etat failli comme la Libye pour endiguer le flux, l’Europe préfère désormais peser, plus en amont, sur ce grand couloir de transit qu’est le Niger. « C’est comme si l’Europe avait imposé sa frontière méridionale à Agadez », grince le président du conseil régional, Mohamed Anako, un notable touareg qui reçoit sous une tente dressée dans son jardin.
Coups de boutoir policiers
De fait, le courant...
28 janvier 2018
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