L’un des problèmes que rencontre Abdou Garba est lié à l’obtention d’une place publique fixe. «Tantôt nous sommes là, tantôt nous sommes de l’autre côté. A l’heure actuelle, nous sommes sur le point de déménager. Il y’a des acquéreurs du terrain qui veulent qu’on quitte les lieux. Nous serons obligés de quitter sous peu» se désole le fleuriste.

Toutefois, il lance un appel aux jeunes qui ne possèdent pas d’activités génératrices de revenus, de ne pas hésiter à s’adonner au métier de jardinier, de l’artisanat ou toute autre activité, car il n’y a pas de sot métier. Pour lui, l’essentiel est de ne pas croiser les bras et de travailler pour gagner sa vie et subvenir à ses besoins et à ceux de la famille.

Farida Ibrahim Assoumane

29 août 2019
Source :http://www.lesahel.org/