Pour "escroquer les malades", des cliniques et des laboratoires "prescrivent des faux examens, très coûteux, souvent abusifs et de qualité douteuse", avait déjà déclaré le ministre samedi devant les députés.
"Nous allons être intransigeants en matière de respect des lois et règlement en vigueur", a-t-il prévenu, promettant d'étendre les contrôles "à tous les services de santé du pays".
En janvier, le ministère avait déjà fermé une importante clinique et ses deux annexes, qui pratiquaient depuis des années à Niamey "sans aucune autorisation" du ministère de la santé.
03 novembre 2017
Source: https://www.voaafrique.com/