Culture

Itinéraire d’un combat ! Décryptage des dossiers brûlants au Niger : par Moustapha KADI OUMANI Préface d’Albert Michel WRIGHT
Dans cet ouvrage, l’auteur met en évidence des questions d’actualité sur le Niger. Il nous invite à lire les événements passionnants de l’histoire de son pays à travers une compilation de textes et de témoignages vivants sur les relations tendues entre celui-ci et la France, la vente controversée d’uranium du Niger à l’Irak, les enjeux majeurs de l’accès à l’énergie, le problème récurrent de l’insécurité quasi généralisée... Tous les grands combats qu’il a menés sont relatés sans détour.
L’auteur a voulu exprimer la nature de ses perceptions à travers ses luttes quotidiennes, partageant ses sensations et sentiments à propos de thèmes variés dont les conséquences sont imprévisibles, offrant ici un ouvrage porteur d’espoir et de fierté, pour le Niger en particulier et pour l’Afrique en général.

ISBN : 978-2-343-10564-2 • 45 € • 590 pages

 

 

 

 
L’AUTEUR
Itinéraire d’un combat ! Décryptage des dossiers brûlants au Niger : Par  Moustapha KADI OUMANI Moustapha Kadi Oumani est né le 26 juin 1961 à Illéla, au Niger. De formation aéronautique, il est passionné par la défense des droits humains et la promotion de la démocratie. Il est actuellement président de l’ONG Collectif pour la défense du droit à l’énergie (CODDAE), de l’association RDM-Tanafili, du Réseau des associations des consommateurs du Niger (RASCONI) et de la Plate-forme nigérienne des organisations de la société civile pour la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (POLBFT). Grand officier de l’Ordre national du Niger, il est à la fois Grand Témoin au sein du Conseil national du dialogue politique (CNDP) et directeur de cabinet du médiateur de la République du Niger. Il a publié précédemment Un tabou brisé, l’esclavage en Afrique (Cas du Niger), L’Harmattan, 2005.

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Table des matières

 Dédicaces
Témoignage Remerciements de l’auteur
Préface
Présentation de l’auteur
Introduction

PREMIERE PARTIE
Les dossiers brûlants
Les raisons d’une plainte contre l'Administration George Bush Relance de la privatisation de la Nigelec et situation des sociétés privatisées
Pourquoi l'uranium a fait tomber le régime de M. Diori Hamani ?
Electricité au Niger : le devoir de conscience s'impose !
Encore une fois l'uranium trouble le sommeil d’un Président au Niger
Insécurité croissante au Nord Niger : à quand la paix ?
Un nouvel accord d'un goût d'inachevé sur l'uranium
Si le nomadisme m'eétait conté ?
Société civile et syndicalisme ?
L'actualité culturelle au Niger, un grand évènement : « le FECCOS »
Conditions d'extraction de l'uranium au Niger
« Itinéraire d'un Combat ! »
Contribution à la consolidation de la paix entre éleveurs et agriculteurs
DEUXIÈME PARTIE
Communications
A quand le Barrage de Kandadji ?
Accès à l'énergie : cas du Niger
Hydroélectricité et développement durable
Attaque meurtrière d’une mission saoudienne à Diamballa
Rôle de l'énergie dans le développement d’un pays
Rôles des Associations dans un régime démocratique
Etat des Droits de l'Homme au Niger en 2009
Médiation de la CEDEAO au Niger
Exécution de trois ressortissants Nigériens en Libye Communication à la réunion du 8ème Conseil d'Administration de l'Association Droit à l'Energie SOS Futur
Gouvernance des OSC et processus de mise en réseau au Niger Assemblée Générale élective du CODDHD
Forum National sur la lutte contre la vie chère au Niger Rentrée solennelle du Barreau du Niger en 2012
  Processus de l'Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives au Niger (ITIE)
Accès à l'énergie au Niger
Energies : on n'est pas tous égaux !
Décentralisation, facteur de développement et de cohésion sociale
Les évènements historiques liés à la lutte contre la vie chère au Niger
Contribution de l'étudiant dans la lutte contre le terrorisme Jeunesse, paix et développement durable
Tendances et dynamiques des élections passées et à venir (2011-2016)
COP 21 : « Le droit à l'énergie pour tous un droit oublé » Rôles des médias en période électorale
Clef de lecture du nouveau paysage socio-politique du Niger L'Afrique de l'Ouest face au blanchiment d'argent !

TROISIÈME PARTIE
Hommages posthumes
Deuxième anniversaire du rappel à Dieu de notre père Elhadji Kadi Oumani, Chef de Canton d’Illéla
Hommage à Almoustapha Alassane, grand maître du Septième Art Nigérien et concepteur des Armoiries Nationales
Hommage à Elhadji Magori Harouna, pèe du réalisateur Nigérien, Sani Magori
Hommage à un grand Baobab qui vient de tomber : le Professeur Boubé Gado
Le secteur de l'élevage est en deuil au Niger : deux grands défenseurs de la cause des éleveurs rappelés à Dieu !

QUATRIÈME PARTIE
Témoignages de satisfaction
Cérémonie de remise officielle du témoignage de satisfaction décerné à M. Abdrahamane Ghousmane, Président de la CENI du Niger
Témoignages de satisfaction décerné à M. Abdrahamane Ghousmane, Président de la CENI du Niger
Témoignage à Mr Salifou Labo Bouché, ancien Ministre de la Communication et des Nouvelles Technologies de l'Information
Témoignage à M. Nouhou Mahamadou Arzika après son évacuation sanitaire au Maroc
LISTE DES ACRONYMES ET ABRÉVIATIONS 

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Itineraire d un combat Moustapha Kadi

Rahmatou Keïta que le magazine Amina surnommait « la Reine du cinéma africain » dans sa livraison N°441 a été récompensée le 11 novembre 2022 à Kano, base de Kannywwod, avec le trophée d’Icône Ouest Africaine de l’année pour la culture l’Art ou (West African Icon Award of the Year ). « C’est plus qu’un honneur et je suis vraiment touchée ! Être reconnue à Kannywood (Kano) après Nollywood (Lagos en 2007) ; et Hollywood (sélection compétition Oscar 2019)… Quoi demander de plus ? God is great. Go dis good. Grand merci au WAMMA (West African Music and Movie Awards) pour leur incroyable perspicacité »,  s’est exclamée la récipiendaire.

Le West African Icon Awards of the Year est un événement phare du WAMMA.  Le Prix célèbre et honore les excellentes réalisations, celles notamment qui apportent un soutien au bien être de l’humanité.

 Rahmatou Keïta est entre autres, la réalisatrice des films Al’lèèssi…une actrice africaine, (2003), documentaire, 70 min ; The Wedding Ring(Zin’naariyâ !) ou L’Alliance d’or (2016), fiction, 96 min…

Concernant Kannywood, il s’agit de l’industrie cinématographique du nord Nigéria qui s’est développée parallèlement à celle de Nollywood dans le sud de ce pays, le plus peuplé d’Afrique. Kannywood qui doit son nom à Kano la grande ville musulmane du Nord du Nigéria se caractérise par ses innombrables productions en haussa, langue qui compte des dizaines de millions de locuteurs à travers l’Afrique.

Mousoul

Source : https://mediaculture.info/wamma-kannywood-la-cineaste-nigerienne-rahmatou-keita

Zalika Souley Cinema NigerZalika Souley est une grande dame du cinéma Nigérien. Sur ce visage pensif se lit toute l’amertume d’une femme qui a consacré une bonne partie de sa vie à son art sans recevoir grand-chose en retour. 
Zalika a incarné pendant les années 70 l’image de la femme nigérienne émancipée qui a vécu avec passion la consécration du 7eme art au Niger.
Aujourd’hui grand-mère, elle vit aux Etats Unies dans l’anonymat total. Oubliée des siens et de son pays.

Zalika Souley est une grande dame du cinéma Nigérien. Sur ce visage pensif se lit toute l’amertume d’une femme qui a consacré une bonne partie de sa vie à son art sans recevoir grand-chose en retour. 
Zalika a incarné pendant les années 70 l’image de la femme nigérienne émancipée qui a vécu avec passion la consécration du 7eme art au Niger.
Aujourd’hui grand-mère, elle vit aux Etats Unies dans l’anonymat total. Oubliée des siens et de son pays.

MAMY ZELIKA DANS SES ŒUVRES


Ils ne doivent certainement pas être très nombreux la génération actuelle de cinéphiles (ou plutôt de vidéophones) à se souvenir qu’il fut un temps, le cinéma nigérien, à son firmament, raflaient les prix aux rencontres cinématographiques africaines. C’était l’époque où les Moustapha Alassane, Oumarou Ganda, Moustapha Diop faisaient la pluie et le beau temps au Fespaco de Ouagadougou et aux journées cinématographiques de Carthage. Quant la délégation nigérienne participait à ses manifestations, c’était une véritable bousculade des photographes venus couvrir l’évènement. Et la grande actrice Zalika Souley, la grande vedette africaine., était la cible favorite des chasseurs d’images. D’abord par sa beauté mais également du fait de l’image d’émancipation qui se dégageait de sa personne.
Et pourtant, rien ne prédestinait cette fille qui a grandi dans un quartier populaire de Niamey à la vie d’artiste ; sauf que très tôt, elle éprouva une attirance vers les arts en général ; notamment la musique moderne. Evoluant au sein d’une bande de copains  musiciens disco de l’époque, Zalika s’essaya même au chant. En ces temps, ou le rythme and blues faisait fureur, les grands bars étaient animés par un groupe disco qui faisait de Niamey la capitale du rock and roll dans la sous région..



LA GRANDE PERIODE DE L’APOGEE DU CINEMA NIGERIEN


Zalika Souley est la star du cinéma nigérien. Elle a tourné avec Oumarou Ganda dans Le Wazzou polygame, Saïtane, l'Exilé, mais aussi avec Mustapha Alassane, Mustapha Diop, Djingarey Maïga... Elle a également fait du théâtre et de la télévision. Zalika Souley est arrivée par pur hasard au cinéma. Elle y fait ses premiers pas en 1966 en jouant dans le film''Le retour d'un aventurier''. Très vite, elle est sollicitée par de nombreux réalisateurs africains de l'époque. Oumarou Ganda pour 'Le Wazzou polygame','Saïtane','l'Exilé', mais aussi Mustapha Alassane, Mustapha Diop, Djingarey Maïga... Elle a également fait du théâtre et de la télévision. Quand on lui parle argent, elle parle honneur et respect :''J'ai été élevée au rang d'officier de l'Ordre du mérite ivoirien. J'ai reçu la même décoration en Tunisie. En Algérie j'ai reçu une médaille.'' Zalika Souley considère le cinéma comme un combat que les africains doivent gagner malgré les différents écueils qui minent la profession, mais aussi comme une école pour l'éducation des différentes générations. Zalika Souley est aujourd'hui une figure emblématique du 7è Art africain, pour avoir été la première actrice professionnelle du Niger.
Zaki


29 décembre 2016


Source : Haské

Rahmatou Keita Fespaco 2017En course pour l'étalon d'or de Yennenga au 25ème Fespaco, Zin'naariâ! (l'alliance d'or), le long métrage de la réalisatrice nigérienne Rahmatou Keita a décroché le trophée et le prix de la meilleure image.
Zin'naariâ ! (l'alliance d'or) est un film du genre romantique d'une durée de 92 mn sorti en 2016. Sa première projection au 25ème Fespaco a eu lieu le 2 mars au "Ciné Burkina" de Ouagadougou. Dès la première scène, l'une des appréciations qu'inspire le film, porte sur la qualité des images. Cet aspect technique a séduit le jury des longs métrages, ce qui a valu au film le prix de la meilleure image.

Image d'illustration Image d'illustration Tout le monde a en mémoire les tristes événements qui se sont déroulé dans notre pays, consécutivement à l’affaire Charlie Hebdo. Nous étions en 2015. Les publications du journal français « Charlie Hebdo » jugées blasphématoires avaient provoqué des manifestations violentes. Des dommages importants ont été causés sur des biens publics et privés appartenant en grande partie à des membres de la communauté chrétienne. Jamais, auparavant, le Niger n’a connu un tel degré d’intolérance religieuse. De ces manifestations enregistrées à Niamey et à Zinder, le centre culturel français de Zinder avait été complètement brulé. Deux ans après ces tragiques événements,  le centre culturel franco-nigérien de Zinder a reconstruit et en même temps suffisamment pourvus en livres.

En marge de l’inauguration du marché Dolé de Zinder qui a été faite le lundi 27 novembre 2017 par le président de la république Issoufou Mahamadou, celui-ci profita également pour célébrer la reouverture du CCFN de Zinder. A cette occasion, le président Issoufou Mahamadou a mis sous le compte de l’obscurantisme religieux les fâcheux événements qui sont advenus en 2015. Et, le Président de la République de poursuivre :{xtypo_quote} « Nous avons besoin de promouvoir des valeurs. Nous avons à lutter contre l’obscurantisme. Pour ce faire, nous besoin de mobiliser un certain nombre de vecteurs : l’école, le cinéma, la presse, les bibliothèques publiques, les livres .C’est dans les livres qu’on peut trouver la lumière dont le peuple nigérien a besoin pour être guidé sur le chemin de son développement économique et social. Je suis totalement satisfait de la coopération qui existe entre le Niger et la France dans tous les domaines ».{/xtypo_quote}

Le fait de  prendre un livre pour le lire est indispensable à la vie des gens. Pour cause, la lecture est une nourriture qui participe au développement intellectuel des individus. Et les livres, on les trouve dans les bibliothèques publiques dont la vocation est de rendre facile l’accès à la lecture.

Avec cette réouverture du CCFN de Zinder, tous ceux qui sont désireux de lire trouveront un espace propice pour la lecture.

Ali Cissé Ibrahim

30 novembre 2017
Source : La Nation

Festival Arts traditionnels SADUWALa 4ème Edition du Festival des Arts traditionnels dénommé ‘’SADUWA’’ s’est tenue, mercredi dernier, à la devanture de la Maison de la Culture Abdoussalam Adam de Zinder. Cette rencontre qui a duré deux jours est organisée par l’Association NEMA avec l’appui technique du Centre Culturel Franco-Nigérien de Zinder.

Le Gouverneur de la Région de Zinder, Issa Moussa entouré de plusieurs responsables administratifs et coutumiers a rehaussé de sa présence ce rendez-vous culturel annuel qui regroupe les artistes socio-traditionnels, les chasseurs, les forgerons, les wanzam (coiffeurs) et les invulnérables ont dans leurs domaines respectifs séduit le public à travers des séances de prestidigitation qui appellent les uns et les autres à témoigner de la vivacité des valeurs culturelles ancestrales.

CCFN_Zinder.jpgDepuis la bourrasque qui a dévasté les églises, le centre culturel franco nigérien de Zinder au cours des violentes manifestations « anti Charlie », Zinder est resté sans médiathèque. Parce qu’au cours de ces événements celle du CCFN était entièrement brûlée et dévastée. 20.000 volumes et 2 véhicules d’une valeur de 500 millions de FCFA étaient partis en fumée. Plus de deux ans après, la médiathèque est entièrement reconstruite et équipée. Selon Bawa Kaomi (directeur du CCFN/Zinder) l’Etat du Niger a débloqué les ressources nécessaires aux travaux de sa réhabilitation. La France et les autres donateurs se sont engagés à fournir tous les ouvrages requis. Actuellement, tous les travaux de réhabilitation sont terminés. Il ne reste plus que la réception officielle et la réouverture de la médiathèque au public.

Une exposition itinérante dénommée ‘’ Damagram 1900 ‘’ a été officiellement lancée le lundi 28 novembre dernier par les autorités régionales dans l’enceinte du Lycée Amadou Kouran Daga. Cette exposition a pour objectif de permettre aux jeunes des lycées et Collèges de la place de ‘’renforcer leurs connaissances sur l’histoire du Damagaram à travers une vingtaine de photos illustratives sur la vie sociopolitique et culturelle pendant l’occupation coloniale.

Il s’est agi pour les organisateurs de cette exposition en collaboration avec le Sultanat de donner un éclairage sur l’histoire du Damagaram de l’époque du Sultan Amadou Kouran Daga en passant par Barma Moustapha pour ne citer que ceux-là qui ont véritablement marqué la vie du Sultanat dans les années 1900.

Le proviseur du Lycée Amadou Kouran Daga M. Salha Gadagé, le Commissaire chargé de l’exposition, M. Laminou Brah  et le Sultan du Damagaram Elh Aboubacar Oumarou Sanda ont saisi l’occasion pour ‘’appeler la jeuneuse à s’approprier de ce passé  glorieux du Sultanat du Damagaram  qui doit les servir dans leur carrière et dans la vie de tous les jours ’’.

Pour sa part, le Secrétaire général de la région de Zinder, M. Harou Mamane qui présidait la cérémonie en présence d’un monde impressionnant de scolaires s’est félicité de cette’’ belle  initiative  avant d’insister sur l’importance de l’histoire du Damagaram  qui retrace  ici  la vie d’un des plus illustres Sultan du Damagaram à savoir Amadou Dan Tanimoune plus connu sur le nom d’Amadou Kouran Daga, dont la photo de manière inédite a été remise officiellement par l’honorable Sultan du Damagaram Aboubacar Sanda Oumarou aux autorités régionales.

«C’est unmessage fort que, le Sultan a transmis à la jeunesse scolarisée», a laissé entendre le Secrétaire Général de la région de Zinder.

Une visite guidée de l’exposition photos par les organisateurs a permis au public de mieux comprendre la vie sociopolitique et culturelle du Sultanat du Damagaram.

Sido Yacouba ANP-ONEP/Zinder

Source : http://www.lesahel.org

Le Ministre de la Renaissance Culturelle, des Arts et de la Modernisation sociale a effectué le mercredi et jeudi derniers une visite de travail de 48H dans la Ville de Zinder et dans la Commune urbaine de Mirriah. Il s’est agi pour le ministre Assoumana Malam Issa de s’informer des conditions de travail des cadres relevant de son département ministériel, d’échanger avec ces derniers sur les activités réalisées, les difficultés rencontrées dans l’optique d’apporter les solutions appropriées.

Dans la Ville de Mirriah, le Ministre Assoumana Malam Issa a procédé à la remise des kits technologiques dénommés Bo @ et autres accessoires d’Internet à haut débit au Centre de Lecture et d’Animation Culturelle (CLAC). Cet équipement est offert par l’Organisation Internationale de la Francophonie(OIF).

Selon le ministre en charge de la Renaissance Culturelle, le CLAC est une instance qui est conjointement gérée par son département ministériel en collaboration avec l’OIF. C’est une structure qui existe dans les anciens départements de Maradi et de Zinder, dotée de bibliothèques, de matériels d’animation et de matériel de projection.

Pour le Directeur du CLAC de Mirriah, M. Harouna Zaoutari, ce kit composé d’accessoires d’internet à haut débit permettra aux populations d’avoir accès à des pages de Magazine culturel de la Chaine Francophone TV5 Monde et de la Bibliothèque numérique avec un fond de plus de 56.000 ouvrages.

Le ministre de la Renaissance Culturelle, des Arts, et de la Modernisation sociale a ensuite visité le siège de la coopérative des artisans potiers de Mirriah où il a félicité les membres de cette organisation pour leur sens élevé d’innovation.