Fait divers

Image d'illustrationImage d'illustrationLa femme la plus malchanceuse de la terre une habitante d’un quartier périphérique de Niamey. Vous ne pouvez-vous imaginer ce qui lui est arrivé. Lisez les lignes qui suivent pour voir comment la vie peut nous jouer parfois des sales tours. Avant de commencer notre narration, rappelons nos quelques principes. Nous nous sommes tracés comme ligne de conduite de garder l’anonymat des protagonistes des histoires que nous rapportons. Pour donc ce fait divers, nous donnons les noms Kadi et Kamil à nos deux protagonistes. Toute coïncidence de la présente histoire avec la vie d’une Kadi quelconque n’est qu’un hasard.

Kadi, pouvait-elle seulement s’attendre à une telle mésaventure ? La réponse est, bien évidemment, non. Elle a cru à la sincérité de Kamil. Ce qui leur était arrivé ressemble à ce que l’on a l’habitude d’entendre dans les contes de fée : Ils se sont vus, ils se sont aimés. A la différence que Kadi et Kamil, eux, n’ont pas attendu de se voir pour s’aimer. Du moins, ils sont vus à travers Facebook. Lui Kamil, la quarantaine, célibataire endurci, un vrai Casanova des réseaux sociaux ; et elle Kadi, à peine la trentaine, mariée certainement à un homme sans cœur d’amour. Car, il faut vraiment être un surhomme pour ignorer Kadi. C’est vraisemblablement les traits physiques de la photo de profil de cette dernière qui ont attiré Kamil. C’est probablement parce qu’elle ne vivait pas l’amour dans son foyer qu’elle s’est tournée vers Facebook pour combler son vide sentimental.

Pendant donc 5 mois, Kamil et Kadi ont filé le parfait amour. Sur la toile, bien sûr ! En Novembre passé, ils décidèrent de passer à l’étape suivante, c’est-à-dire de se voir, en chair et en os. Pour Kadi, qui tient tout de même à sa réputation, la rencontre avec son Kamil n’est possible qu’une fois libérée du poids de la charge conjugale. Alors, elle prit la lourde décision de se mettre en conflit avec son époux. En début de décembre, la voilà libre comme l’air, libre de n’exister que pour son Kamil. C’était sans compter d’avec le tour que le destin est en train de lui jouer. Quand vint l’heure de vérité, Kadi de découvrir la réputation de son ange, que derrière le profil Facebook du galant homme se cache un véritable Don Juan. Kamil est connu par des dizaines de femmes qu’il a eues à tromper. C’est, en présence de Kadi, lors d’une de leurs sorties, dans un restaurant, que Kamil a été copieusement remis à sa place de faux type par une de ses anciennes victimes. Au moment où nous écrivons ces lignes, Kadi est sous le choc, en train de regretter son mariage qu’elle a foutu en l’air pour une malheureuse aventure.

O.K.A

17 janvier 2019
SOurce : L'Hérisson

 Voiture renversee Goudel NY 01Image d'illustrationNous sommes dimanche soir aux encablures du village Goudel. Une voiture 4X4 conduite par de jeunes gens dont une fille roulant à tombeau ouvert perd le contrôle et fait des tonneaux. Les images témoignent de la gravité de l’accident.

Heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Les jeunes ont vite débarrassé les lieux et avant de revenir plus tard arracher les plaques d’immatriculation du véhicule et disparaître dans la nature. En fait, sur probablement, les conseils avisés des parents, il ne fallait pas que les plaques d’immatriculations restent sur la voiture et permettre ainsi l’identification du propriétaire qui se trouve être un membre influent, très influent même du régime en place. C’est sans doute ce qui explique leur insouciance vis-à-vis du fait que les services de constats viennent trouver la voiture sans plaques d’immatriculation.

Ça, c’est « gérable » au niveau de l’Etat. L’essentiel est que les curieux genres « Le Monde d’aujourd’hui » ne soient au courant des faits. Mais c’était sans compter avec les yeux et oreilles disséminés un peu partout à Niamey et même au Niger. Voilà ! Nous sommes au courant et nous continuons nos investigations afin de mettre la main sur une preuve nous permettant de dévoiler à nos lecteurs, l’identité de la personnalité dont la fille saoule est protagoniste de cet accident.

Affaire à suivre !

19 décembre 2017
Artcle publié le 13 décembre 2017
Source : Le Monde d'Aujourdhui

Eclairage Public à Dosso : De la lumière pour contribuer à la sécurité de la cité des Djermakoyes
Eclairage Public de la cité des Djermakoyes

Elle avait seulement 15 ans, son «mari» 67 ans en 2019. C’est la triste histoire de Falmata Saley, une petite Toubou de Bourtou, un village situé à environ 18 km à l’Est de Tesker (région de Zinder). Sans son consentement, ni celui de sa famille, Falmata a été victime d’un mariage forcé. Son ‘’ex-mari’’ demande 940.000 FCFA de dommages et intérêts pour que le mariage soit ‘’défait’’.

Un père malade qui n’a pas toutes ses facultés mentales…

Agé de 80 ans au moment des faits, Saley Maman le père de la petite Falmata n’avait plus ses facultés mentales. Il est aussi partiellement sourd, cela depuis plus de 27 ans consécutivement à un accident de circulation. Toute sa famille est prise en charge par son frère cadet, Alhadj Mahaman Taher Saley Moussa, résidant à Kano au Nigeria. C’est ce même frère qui prend les décisions concernant tous les événements familiaux notamment le mariage des enfants. Falmata est issue d’une fratrie de neuf (9) enfants dont quatre (4) filles. Deux de ses sœurs ont été déjà mariées par leur oncle bienveillant.

Une escroquerie finement préparée et exécutée

 Fait divers : La grande mosquée de l’UAM, victime d’attaque d’abeillesLes faits sortent de l’ordinaire. Car jamais de tels faits ne s’étaient produits au niveau de cette mosquée dans laquelle se rencontrent de fidèles musulmans de la communauté universitaire et des quartiers environnants. Le vendredi 17 mai 2019, au cours de la prière, une pluie d’abeilles s’est abattue sur la mosquée, occasionnant dans la panique, plusieurs blessés. Une panique générale qui s’est instaurée au moment du sermon de l’Imam de la mosquée. Une prédication brusquement interrompue. Ce vendredi, les fidèles paniqués et tourmentés couraient dans tous les sens, abandonnant tapis et chaussures sur les lieux. Comme si c’était le jour de l’apocalypse. Un vendredi noir pour les fidèles musulmans de cette mosquée qui n’ont toujours pas trouvé d’explications à ce phénomène inédit. Et les spéculations et commentaires continuent toujours.

26 mai 2019
Source : Le Courrier

Mysterieuse Offrande Fait DiversSeuls les noctambules peuvent être témoins oculaires de certaines situations. Des jeunes d’un quartier périphérique de Niamey habitués à accompagner la nuit dans sa solitude ont été, récemment, les invités surprise d’une scène inimaginable.
Nous ne mettons pas un nom au quartier ici concerné, par souci de conserver l’anonymat de notre informateur, cela non seulement à sa demande, mais aussi parce que le professionnalisme nous le recommande dans ce genre d’écrit. Chères lectrices et chers lecteurs du journal « Le Hérisson », retenez votre souffle, car ce que vous allez lire dans les lignes qui suivent peut vous créer une tachycardie.
Dans ce quartier périphérique de Niamey, devenu aujourd’hui, un refuge de nantis, dont le nom rappelle toutefois les taudis et les gouges des bidonvilles (c’est un indice), des jeunes gens tiennent une petite fada (lieu de causeries), dans un angle d’un couloir sombre. De leur coin, ils peuvent apercevoir tout ce qui se passe sur le goudron éclairé, voie principale qui traverse leur quartier de long en large.

Faits Divers RubriqueDepuis quelques temps, le quartier Koira Tégui, dans l’arrondissement communal Niamey II serait devenu une zone dangereuse du fait de la montée de violences.
En effet, après l’assassinat, le mois dernier, d’une femme par son propre fils, ajouté au meurtre d’un jeune homme, poignardé par son ami à la suite d’une bagarre, c’est autour d’un jeune élève de classe de terminale au Lycée Issa Korombé de Niamey de faire les frais de cette recrudescence de la violence dans ce quartier.

Villa Niamey A vendreImage d'illustrationC’est l’information qui circule depuis quelques temps dans la capitale Niamey. Ce syndicaliste devenu ministre, grâce au renoncement de son parti à ses valeurs, serait en passe de devenir tristement célèbre dans l’affairisme. Du reste, selon les informations qui nous sont parvenues, dans le cadre de l’achat de cette maison sise à la cité Fayçal, non loin de ‘’sabka lahiya’’, le ministre aurait ravi la vedette à un député issu du principal parti au pouvoir, lequel député aurait proposé, au propriétaire de la maison 70 millions de FCA. Coup de théâtre, pour acquérir la maison convoitée, le ministre aurait majoré le prix proposé par le député de 20 millions. C’est l’affaire qui est à l’ordre du jour dans tous les salons feutrés de la capitale. Une situation déplorable qui atteste que depuis l’avènement de la renaissance au Niger, les ressources publiques connaissent un pillage systématique, une mise à sac qui freine et annihile tout effort de développement. Dans le sombre dessein d’accumulation de l’argent sale, c’est une course effrénée qui semble s’être engagée entre les princes qui gouvernent. Pendant que d’autres Nigériens meurent de manque de soins de santé, d’eau potable, et du minimum vital pour bien d’entre eux. C’est le milliard qui constitue l’unité de compte chez certains. Dans cette catégorie de Nigériens, on pourrait citer des responsables politiques et hommes d’affaires dans les rouages du système Guri.

A.S

21 janvier 2019
Source : Le Courrier

Fait divers : Une mère et sa fille admises au BAC 2017 à GouréUn fait a eu lieu au jury du bac 2017 de Gouré. Comme insolite, c’est vraiment un. Mais comme c’est dans le bon sens, le courage de cette mère, institutrice adjointe de son Etat s’est passé inaperçu. En effet, elle a passé le bac avec sa fille dans la même salle, autorisées toutes deux à passer les épreuves du second groupe. Ad­mises, c’est à la remise des attestations que la discrétion a pris fin lorsque la fille lâche la phrase : « maman, il faut payer pour nous deux ». Le mot maman a attiré l’attention de tous. Les deux deviennent subite­ment des objets de curiosité. Devant l’étonnement général, la mère Une mère et sa fille admises au BAC 2017 à Gouré s’éclate de rire et confirme que c’est bel et bien sa fille, ce qui a été confirmé par les autres candidats. Au moment où la fille se demande quelle branche elle suivra à l’université, la mère semble être au bout du tunnel. Qu’allez­-vous faire à présent que vous avez votre bac, lui demande une voix non sans ironie. Ça me permet d’être reclassée institutrice. Ma grande satisfaction, le fait de prépa­rer le bac m’a permis surtout d’améliorer considérablement mon niveau », répond-­elle. Comme quoi, avec la volonté et l’humilité, on peut réussir à tous les coups.

Fait divers à Mayahi : deux adultes perdent la vie en voulant sauver un enfant Les faits se sont produits la semaine dernière à Mai Lallé Mazadou dans la commune rurale d’Issawan, département de Mayahi. Alors qu’il était venu accompagner sa tante à Mai Lallé Mazadou, un jeune garçon de 12 ans a suivi les enfants du village pour se baigner dans les eaux boueuses d’une carrière. N’étant pas habitué à nager dans de telles eaux, le jeune garçon a été emporté par le courant et coincé dans la boue. Il rendra l’âme après s’être débattu pendant plusieurs minutes.

Alertés, les villageois ont volé à son secours. C’est ainsi que deux personnes se sont portées volontaires pour entrer dans l’eau, afin de tenter de sauver l’enfant. Malheureusement, ces deux volontaires se sont noyés à leur tour. Agés respectivement de 32 et 49 ans. Ils étaient tous mariés et pères de 4 enfants pour le premier et 9 enfants pour le second.

Des carrières de ce genre existent un peu partout dans la région de Maradi, mais c’est la toute première fois qu’un drame d’une telle ampleur se produit dans la carrière de ce paisible village.

C’est pourquoi le préfet de Mayahi, Moussa Dan Tani a saisi l’occasion de ce drame, pour attirer l’attention de ses administrés sur la nécessité de sécuriser les carrières et tous les sites de ce genre, en accordant une attention soutenue aux enfants qui sont malheureusement les premières victimes des drames qui affectent leurs familles.

Garba Boureyma

19 octobre 2017
Source : La Nation

Les habitants du quartier Banizoumbou victimes d'escroquerieAvec cette insécurité alimentaire et la moro- sité économique qui sévit au Niger, certains mettent cette situation en avant pour berner de paisibles citoyens nigériens.
Effet , tout a commencé avec un soi-disant bien- faiteur, installé, il y a quelques jours à Dosso, disant appartenir à une organisation caritative. L'individu a rassemblé les habitants du quartier Banizoumbou chez le chef du quartier pour une opération gratuite de vivre. Malin qu'il est, le bienfaiteur s'est d'abord présenté au sultanat de Dosso à la recherche d'une certaine confiance. Puis, accompagné des éléments de sécurité éta- tique, il procède au recensement des habitants en facturant chacun d'une somme allant de 1.500 à 5.000 f CFA afin de bénéficier d'un sac de riz le jour de la distribution.

Fait-divers / Meurtre de l'ouvrier de MIGAS Maradi : Crime passionnel ou homicide involontaire ?Le dimanche 29 avril 2018, René Eustache, 34 ans, ouvrier chef section chaudronnerie à la Société MIGAS futs Maradi, rendait l'âme au soir sur un lit du CHR des suites d'atroces blessures. Il y avait été transporté au petit matin totalement inconscient, le corps ensanglanté, notamment sur la sa tête, comme l'ont constaté tous ceux qui l'ont vu sur son lit d'hôpital

Après son décès, une enquête judiciaire a été ouverte et deux personnes, un homme et une fille (que nous appellerons M et L), ont été arrêtés et inculpés de meurtre et complicité de meurtre et placés sous mandat de dépôt à la prison civile de Maradi. Loin d'être élucidé, le mystère sur cette mort atroce, reste complet. D'ores et déjà, plusieurs versions circulent dans la ville de Maradi.

Enquête autour d'une mort décrite par la rumeur comme un crime passionnel.

Une si longue nuit !
En ce début de matinée du dimanche, les premières informations qui arrivent dans les rédactions des radios de la place, font état d'un cadavre de voleur retrouvé sur une décharge d'ordures au quartier ADS. Et comme il s'agissait d'un " voleur ", aucun média n'a accordé de l'importance à l'information.
A midi, la Direction de MIGAS est saisie par le CHR qu'un de ses éléments, en l'occurrence le sieur René, est gravement blessé. Rapidement, tout fut mis en place pour sa prise en charge médicale intégrale. Ses collègues de travail qui ont eu la primeur de l'information se transportèrent d'urgence à ses chevets. La suite est connue de tous.
En réalité, tout a commencé le samedi 28 avril, pourtant un jour de grande joie pour le jeune ouvrier qualifié. La société dans laquelle il travaille, l'une des plus importantes de Maradi, s'apprêtait à fêter en grande pompe le 1er mai. Une fête qui finalement ne sera jamais fêtée.

Accident de la route au Rond-point Kirkissoye de Niamey : Un automobiliste renverse quatre personnes, les riverains incendient son véhiculeLa mauvaise conduite sur la route et l’imprudence des jeunes conducteurs est une constance à Niamey. Une situation qui provoque régulièrement des accidents souvent mortels et au meilleur des cas, des dommages matériels importants. Dimanche encore, un autre "fou du volant" a failli ôter la vie à de paisibles commerçants à côté du rond-point Kirkissoye. Il a toutefois blessé grièvement quatre personnes. Mais son véhicule a été brûlé par les riverains, excédés par la répétition de ce genre d’incidents dans leur quartier.

Le conducteur de ce véhicule fait parti probablement des jeunes qui reviennent de la tristement célèbre "Pilule", ce lieu de haute distraction et même de débauche pour les jeunes de la capitale. Après avoir "avalé" la distance qui sépare le rond-point Saguia du rond-point Kirkissoye, ce conducteur n’a pas pu maîtriser son véhicule au niveau de ce second carrefour. Il a quitté la voie, a percuté un lampadaire avant de cogner des vendeurs qui exerçaient leurs commerces aux alentours du carrefour, comme c’est le cas dans de nombreux quartiers de Niamey, surtout là où de nouvelles routes ont été réalisées. Plusieurs personnes ont été blessées dont quatre grièvement, mais vite évacuées par les services de sécurité et de secours.

D’après les témoins, il y a avait deux occupants à bord du véhicule. Le conducteur a lui aussi été blessé, tandis que le second occupant a tenté de s’enfuir dans le quartier. Il fut vite rattrapé par les riverains. Ces deux individus ont eu la vie sauve grâce à la prompte intervention de la Police et de la Gendarmerie nationale ainsi que des Sapeurs pompiers. En effet, dans les minutes qui suivent l’accident pas moins de neuf véhicules dont trois de la police, trois de la gendarmerie et trois des sapeurs pompiers sont arrivés sur les lieux. Très vite, les agents ont quadrillé les lieux, permettant ainsi aux sapeurs pompiers d’apporter secours aux blessés et d’éteindre le feu, même si le véhicule a été totalement calciné.

Fait-divers/Vol d’un objet chèrs aux Maouris : la Pierre sacrée Toungouma a disparuL’histoire ressemble à « On a volé la Joconde », ce film de 1965 du réalisateur Français Michel Deville. Sauf que cette fois, il y a du mystique dans l’air et ça se passe au Niger, dans un milieu des plus traditionnels : l’Arewa, plus précisément à Lougou, dans le département de Dogon Doutchi. La Pierre sacrée Toungouma a disparu.

En début de ce mois de janvier, les gardiens de la pierre sacrée des Saraounia sont partis porté plainte contre un homme. Un ressortissant du village de Kassari, c’est lui qui aurait commis le forfait. Les plaignants auraient trouvé des traces de pneu de moto sur la place où la pierre est gardée. Ce sont ces traces qui leurs auraient permis de situer le voleur présumé.

Toungouma compte parmi les objets les plus sacrés des Azna, ces Maouris descendants des Saraounia, reines et prêtresses du culte du Bori, confession de ce peuple installé depuis des siècles sur la terre de Lougou dans la zone appelé l’Arewa au Niger. Cette pierre, explique Maman Amadou d’ONEP-ANP Dosso au Journal Le Sahel, « participe au règlement des litiges dans l'Aréwa et même à travers le monde car de toutes les contrées du pays et même du monde, les gens viennent à Lougou pour régler les conflits ». Jugement, prédiction des choses sacrées, choix de la nouvelle reine en cas de disparition de la Saraounia, ils sont nombreux les services pour lesquels Toungouma est précieusement gardé à Korgonno, une des brousses du village de Lougou.

Faits divers : Deux bandes criminelles et trois groupes de voleurs à mains armées opérant à Niamey, mis hors d’état de nuireLa police nationale persiste et signe dans la traque des bandes criminelles qui hantent les rues de la capitale. En effet, elle vient de faire tomber trois redoutables groupes de voleurs à mains armées et deux bandes criminelles ayant perpétré deux meurtres à Niamey. S’y ajoute aussi un autre groupe spécialisé dans le vol aux alentours des banques où un suspect a été mis aux arrêts.

Tous ces groupes ont été présentés aux médias de la place, hier, à la Direction de la police judiciaire. Pour le premier groupe, composé de trois suspects, les faits portent sur le meurtre du nommé Abdou Abdou Barma Mato, en date du 15 mars 2019.

Pour le second groupe, six suspects ont été interpellés pour le meurtre du jeune Ibrahim Yokoye retrouvé molesté et poignardé le 19 mars 2019. S’y ajoutent deux autres groupes qui, eux, excellaient dans des vols aggravés par des actes d’agression contre les paisibles citoyens. Il y a enfin un autre groupe qui, lui, est spécialisé dans le vol aux alentours des banques, avec un seul suspect arrêté.

(Source : Police Nationale du Niger)

11 avril 2019
Source : http://www.lesahel.org/

Image d'illustrationImage d'illustrationDans le cadre de la lutte contre la drogue en milieu urbain, l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) a initié des opérations dans certains endroits criminogènes de Niamey. Hier matin, l’Officier de Police Ousmane Bako Aichatou, directrice adjointe du Service central des Informations, des Relations Publiques et des Sports à la Direction Générale de la Police Nationale, a présenté aux médias, sept (7) individus qui ont été interpellés dans le marché de Katako pour trafic de drogue portant sur plus de 32 kilogrammes de cannabis, 15.383 comprimés de Tramadol et 7.601 comprimés de diazépam. La présentation de ces malfaiteurs a eu lieu en présence du Substitut du Procureur de la République, Mme Ibrahim Fatouma Nouhou.

Selon l’Officier de Police Ousmane Bako Aichatou, ces pratiques sont courantes dans les marchés de Niamey, notamment à Katako qui ravitaille fortement les autres régions du Niger en drogues et où viennent s’approvisionner les jeunes consommateurs de Niamey. Cette action, a-t-elle précisé, vient s’ajouter à d‘autres opérations similaires récemment menées par l’OCRTIS dans le même marché et qui porte le bilan à un total de 42 individus interpellés et déférés, 98 kilogrammes de cannabis saisis, 25.640 comprimés de tramadol et 12.678 comprimés de diazépam saisis, 14 motos et 01 véhicule saisis. Ces différentes saisies démontrent l’ampleur de la consommation de ces types de drogues par des jeunes nigériens, notamment les mileiux scolaires. C’est pourquoi l’OCRTIS attire l’attention des parents sur les comportements et les fréquentations de leurs enfants.

Rabi Hima Plus rien ne va entre les travailleurs et la directrice générale. La situation très critique que traverse le Palais des Congrès et la mort d'un agent imputée au personnel par la directrice générale rendent très difficile et austère le climat au niveau de cette boite. Lassés de subir constamment les humiliations et autres calomnies de la directrice générale, les travailleurs de Palais des Congrès de Niamey n'ont pas passé par le dos de la cuillère pour dénoncer et fustiger le comportement et les agissements, dignes de la période coloniale, de Rabi Hima. Depuis son arrivée à la tête du Palais des Congrès, la dame Rabi Hima, selon les agents, semble se trouver en terrain conquis. Autrement, elle se comporte en véritable colonisatrice, bafouant toutes les règles de gestion de ressources humaines et de respect du droit du travail. Selon les travailleurs du Palais des Congrès, Rabi Hima est championne dans le népotisme (recrutement abusif de ses parents et connaissances), le détournement de deniers publics et le déni des droits des travailleurs (dotations en outils et matériels de travail, prise en charge médicale …).

malfaiteurs arretes Niamey 03 2017La brigade de recherche et d’investigation de la police Judiciaire (PJ) a encore frappé un grand coup. En effet, elle a mis hors d’état de nuire trois (3) groupes de malfaiteurs. Ces derniers ont été présentés aux médias, hier matin, dans les locaux de la Police Judiciaire (PJ) à Niamey.

Les deux premiers groupes composés de sept (7) individus sont  spécialisés dans la fabrication des faux billets, tandis que le troisième composé de deux (2) individus, excelle dans le vol des véhicules. Ces présumés malfaiteurs ont été appréhendés par les services de la police nationale à Niamey et à Dosso suite à des investigations et des enquêtes approfondies. D’après la PJ, ces individus sont tous de nationalité nigérienne.  

Trafiquants Goure NigerPlus de 3 mois de traque a permis de mettre la main sur l'un des réseaux des trafiquants de drogue qui ont fait des départements de Gouré et de Tesker une zone de transit. Le circuit débute à Zaria au Nigeria , où le produit est acheté , puis Gandou dans la commune rurale de Guidiguir,, département de Gouré, Gouré Kellé , Tesker puis la Lybie via la région d'Agadez . Quelque part dans la commune rural e de Guidiguir, le produit venu de Zaria est transvasé dans d'autres véhicules avec une autre équipe qui prend la direction de la Lybie. La dernière opération est stoppée nette dans les massifs du Termit, dans le département de Tesker. Après 270 kilomètres de course poursuite, le capitaine major, commandant de la garnison de la garde nationale de Gouré et ses éléments ont rattrapé les fraudeurs avec en leur possession 17 colis de drogues, d'une valeur de 70 millions de F CFA et 3 millions CFA de billets de banque craquants neufs .

L'un des trafiquants est ressortissant de Gouré, l'autre de Tesker. Il possé- dait un téléphone Touraya neuf. Après dénonciation, le fournisseur et le chef du réseau sont respectivement arrêtés à Guidiguir et à Tesker. Selon le préfet de Gouré, M. Sani Nassarou, tous les cinq membres du réseau sont détenus à la maison d'arrêt de Gouré. Ce n'est qu'un de nombreux réseaux des trafiquants de drogue qui est démantelé. Pour les autres la traque va s'intensifier.

AMADOU MAHAMADOU

21 juin 2017 
Source: La Nation

Faits divers : Un taximan tente d’arnaquer une clienteLa semaine dernière, c’est au environ de 13 heures, au niveau de l’échangeur Mali béro que, la police a mis la main sur un taximan qui voulait prendre la fuite après avoir arnaqué une. De quoi s’agit-il ? Le taximan en question a pris la bonne dame qui quittait une banque de la place. Convaincu qu’elle disposait des billets de banque, le taximan a alerté sa bande qu’il fait entrer dans le véhicule comme tous autres clients. La bande composée de deux bras valides ont pris la femme en sandwich dans le taxi.

La suite du plan, les deux clients s’en accaparent des billets de la femme. Aussitôt qu’elle s’est rendue compte, elle s’est mis a hurlé dans tous les sens, fort heureusement pour elle, la police et les riverain ont promptement réagi, et ont fini par faire échoué l’opération.

Comme quoi, les populations doivent être vigilantes et alerter les services compétents dans de suspects. Cette tentation avortée en pleine ville, n’est que la partie visible de l’ice berg. En effet, depuis plusieurs années notre capitale est confrontée à un sérieux problème d’insécurité. Un fait qui entrave les libertés publiques des citoyens consacrées dans la loi fondamentale du pays.

Les autorités sont alors interpellées afin de renforcer le dispositif sécuritaire dans la capitale. Ce qui est une urgence impérative au regard de la forte urbanisation en cours, mais aussi du sommet des chefs d’Etat de l’Union Africaine, qui va se tenir dans notre capitale au mois de juillet prochain.

D.M 

1er juin 2019 
Source : L'Actualité 

Deux cas de prise d'otages, avec demande de rançon, déclarés dans le département de MadarounfaConséquences de l'insécurité persistante dans le Zanfara ? Les villages frontaliers des communes de Gabi et Safo sont désormais sous haute surveillance. Une surveillance qui donne bien de résultats, car depuis la prise en main par les autorités locales et régionales du problème, plus aucun cas de kidnapping avec demande de rançon n'a été enregistré.

Il s'est pourtant passé quelque chose au mois de juin dans les villages frontaliers de Elkiyaou et de Garin Magé, commune rurale de Gabi, où deux personnes dont un adolescent de 14 ans environs, ont été kidnappées et prises en otage, avant d'être libérées après paiement d'une rançon par leurs proches. Les autorités sur place n'ont été mises au courant par les familles des victimes qu'après avoir payé les rançons. Mieux, les victimes refusent de donner des détails sur les conditions de leur rapt et de leur libération. Le plus remarquable dans la gestion de cette nouvelle forme d'insécurité au Niger, a été la grande réactivité développée par les autorités départementales et coutumières du département de Madarounfa. Elles ont immédiatement activé leur réseau d'alerte et de vigilance en collaboration avec les FDS déployés tout au long de cette frontière, ce qui permit de dissuader les pratiquants de nouveau commerce. Une gestion appréciable de la sécurité à l'échelon locale que le Gouverneur Zakari Oumarou a tenu à féliciter en remerciant publiquement le Préfet Harouna Maidabo lors de la mission de supervision de la campagne agricole 2018 conduite par le ministre de la défense Kalla Moutari.

El Kaougé Mahaman Lawaly

17 août 2018
Source : Le Souffle de Maradi

M Mahamane Abou Labo, vous êtes le Préfet du département de Torodi, voudriez-vous nous présenter cette entité administrative que vous dirigez ?

Volontiers et c’est avec beaucoup de plaisir que nous vous recevons ici. Je tiens à vous remercier d’abord pour nous avoir visités et nous donné l’occasion de parler de notre entité administrative d’une part et d’autre part d’évoquer aussi la fête tournante du 18 décembre, date anniversaire de la proclamation de la République. Cette année comme vous le savez, c’est sous le slogan « Tillabéry Tchandalo » que notre région, la région de Tillabéry accueille cet important évènement, à l’instar des autres régions de notre pays qui l’ont précédée. Pour présenter le département de Torodi, je rappellerais que ce fut d’abord un poste administratif à l’intérieur de l’ancien département de Say.Lorsque par la bénédiction des autorités de la 7èmeRépublique tous les postes administratifs, les 27 pour être exacts, ont été érigés en départements dont celui de Torodi est devenu un département à part entière à partir de 2012 et dont nous avons la charge aujourd’hui. Ce département est frontalier du département de Say à l’est, limité au nord par le département de Kollo, par celui de Gotheye au nord-ouest et il est frontalier du Burkina Faso à l’ouest. Il a une superficie de 6900 km2 pour une population estimée à 250 000 habitants répartis entre les deux communes du département que sont la commune de Torodi et celle de Makalondi avec respectivement 143 000 et 95 000 habitants chacune. Nous avons à peu près 49% de femmes et 51% d’hommes et la population est jeune à hauteur de 60%. Pour présenter la composition socio-ethnique, j’allais dire que le département est pratiquement le Niger en miniature, malgré le fait qu’il y a des populations autochtones qui sont essentiellement des peulhs, des Gourmantchés et des Djerma. Il y a aussi des Haoussa que vous pouvez retrouver même dans les coins les plus reculés avec des villages et chefs de village en bonne et due forme. ous avons également des Touaregs. Dans la ville de Torodi, il y a même une importante communauté d’expatriés. Nous avons des contrées comme le village Kobadjé qui est ce que je peux qualifier d’une sorte de consulat où vous retrouvez tout un melting-pot ethnique. C’est un village très marchand, bien connu et visité pour la qualité de sa viande et qui regorge en son sein presque des personnes issues de toutes les communautés du Niger. Il faut se féliciter que toutes les communautés du département de Torodi vivent en parfaite symbiose, malgré leur diversité.

Brigands Koira TeguiLa Police Judiciaire a annoncé avoir mis la main sur des criminels responsables de plusieurs cas de meurtres dans la capitale Niamey. L’annonce a été faite hier matin au cours d’un point de presse animé par l’officier de police Adili Toro Maïnassara dans les locaux de la Police Judiciaire suivi de la présentation de huit (8) malfrats arrêtés. L’Officier de police Adili Toro a saisi l’occasion pour évoquer les efforts que déploie la Police Nationale et rassure les populations.

Il ressort du point de presse animé par l’Officier Adili Toro Maïnassara, que de janvier 2017 à ce jour, la Police Judiciaire a enregistré 11 cas de meurtre dont six (6) cas au quartier Koira Tagui de Niamey. Parmi les 6 cas, 3 sont dus à des bagarres inutiles entre des individus avec des coups et blessures volontaires ayant entrainés la mort. « Ces trois cas ont été élucidés et les auteurs ont été interpellés et déférés à la justice. Toutefois un malfrat identifié parmi eux est en fuite. Je tiens à vous rassurer que la Police Judiciaire a déployé les moyens nécessaires pour mettre fin à la cavale de cet individu », a expliqué l’officier de police.

En outre pour les trois autres cas qui sont des meurtres suivis des vols aggravés toujours au quartier Koira Tagui, les auteurs des cas ont été interpelés. Ils ont reconnu les faits qui leurs sont reprochés. Pour rappel, une télévision de la place avait fait, il y a quatre mois de cela, un reportage sur l’étudiant assassiné devant la boutique de son neveu. Selon la Police Judiciaire, ces messieurs ont reconnu l’assassinat de l’étudiant, Oumarou Boubé