À Chacun sa façon de lire les résultats actuels provisoires des élections générales constitutionnelles, sortis des 220 communes sur les 266 : Par Issoufou BOUBACAR KADO MAGAGI
Il est légitime que chaque camp espère pouvoir remporter ces élections présidentielles dès le premier tour, mais selon les projections et la nature du système électoral nigérien, le scrutin au 2ème tour se préciserait pour février 2021.
Certes le candidat du PNDS/TARAYYA est en tête avec 37,26 %, il est suivi du candidat de RDR /TCHANDJI, qui a obtenu 17, 6%.
Au moment où nous produisons cette analyse, Il reste 46 communes dont les résultats ne sont pas encore publiés, il s'agit : Tahoua : vingt une (21)communes, Maradi : une (1) commune, Zinder: douze (12 ) communes et Tillabéry: douze ( 12) communes.
Sur les trente candidats engagés dans la course au scrutin présidentiel , deux candidats se sont donc détachés.
Le candidat du PNDS/ TARAYYA, a obtenu 37,36% , les autres candidats qui viennent après lui se partagent entre eux 62, 64 %, ils sont au nombre de vingt-neuf candidats . D'où la difficulté certaine, pour un seul candidat d'obtenir 51% dès le 1er tour .
Le Niger a sa grande spécificité en matière des élections électorales.
La multitude des candidats très importants , qui pèsent lourd, ne permettent pas à un seul candidat de remporter les élections générales dès le premier tour. Le système électoral actuel nigérien ne permet pas ce genre d'exploit qu'on rencontre ailleurs.
Aucun candidat, ne peut obtenir 51% de suffrage dès le premier tour.
Rappelons-nous , aux premières élections générales présidentielles démocratiques de 1993 ,le candidat du MNSD/ NASSARA , le Président Mamadou Tandja avait obtenu au premier tour, 34,22 % .
Les partis qui le suivaient, s'étaient partagés les 65, 78 % .
Il était suivi du candidat de la CDS/RAHAMA, Mahamane Ousmane, qui avait obtenu 26,59 %.
Au second tour, en mars 1993, soutenu par une alliance de neuf partis politiques, Alliance des Forces Changement, AFC , le candidat de la CDS/ RAHAMA, Mahamane Ousmane avait remporté les dites élections avec un score de 54,4%.
De 1993 à nos jours aucun grand parti politique n'a pu remporter des élections générales constitutionnelles dès le premier tour , les victoires avaient été toujours remportées grâce aux alliances politiques.
L ' histoire risquerait de se répéter car à l'allure où vont les choses, le PNDS/ TARAYYA, victime du slogan, " COUP KO " risquerait de faire face seul à tous ces grands partis politiques déjà dans une coalition qui cherche à contrer son candidat dont la nationalité nigérienne d’origine , a été contestée devant la justice par beaucoup des candidats , malgré que la cour constitutionnelle a rejeté leurs différentes requêtes, ce scrutin de février 2021, sera une bataille politique entre le PNDS /TARAYYA et les partis politiques qui ont contesté la nationalité nigérienne d'origine de son candidat, la dite bataille sera farouche car les adversaires du PNDS/TARAYYA , mobiliseront les électeurs pour chercher à prendre leur revanche .
Les consignes de vote données par le Parti politique FA LUMANA AFRICA, de Hama Amadou , ont >porté des fruits, en effet, tous les fiefs de FA LUMANA AFRICA , ont voté Mahamane Ousmane de RDR/TCHANDJI. Ce qui lui a permis d'être 2ème au premier tour.
L 'appel du leader de l'UDR/ TABBAT , le Président Boubacar Amadou Cissé , de voter le Président Mahamane Ousmane, n'a eu aucune effet, ces électeurs habituels ont voté pour lui. Donc son appel n'a pas porté. De même que certains candidats qui ont désisté en faveur du candidat du PNDS/TARAYYA. Certainement ils se rattraperont tous au second tour.
Le PNDS/TARAYYA est sans nul doute conscient de ce qui se dessine, et il se prépare en conséquence.
C'est un habitué des ces genres des compétitions.
L' analyse des résultats qui sont en train de tomber , laisse entrevoir, qu'aucun candidat ne peut remporter ces élections présidentielles au premier tour.
Par conséquent, les Etats Majors de deux candidats se devraient de se bien préparer pour affronter le second tour au lieu de s'attarder sur des calculs qui font croire à une victoire dès le premier tour.
Au Niger tant qu'on n'aura pas changé le système électoral actuel, faire la promotion des partis représentatifs, il serait difficile, pour ne pas dire impossible à un candidat d'un grand parti politique de remporter les élections dès le premier tour.
Les deux charismatiques politiciens, Mamadou Tandja et Issoufou Mahamadou n'avaient pas pu réaliser cette prouesse malgré leur popularité.
Il serait donc hautement souhaitable d'aborder le second tour dans la sérénité, dans la cohésion sociale, dans le fair-play et la fraternité légendaire reconnue à notre peuple souverain.
Que le meilleur gagne, c'est toujours le Niger qui gagne et notre démocratie qui progresse.
À bon entendeur salut !
Par Issoufou BOUBACAR KADO MAGAGI.
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A chacun son tour chez le barbier : Les fugitifs saison 2
La presse favorable au régime déchu du PNDS ne ratait aucune occasion pour monter en épingle les déboires judiciaires, suscités et entretenus par ce pouvoir, de Hama Amadou. L’emprisonner, l’empêcher de se présenter aux élections ne semblent plus suffire. Il fallait l’atteindre dans ce qu’il a de plus cher, dans ce qui constitue sa raison de vivre : son humanité. Il sera affublé du nom de fugitif par cette presse. Toutes les occasions sont bonnes pour traiter Hama Amadou de fugitif, de couard. Cette attitude est devenue tellement régulière pour donner l’impression d’un feuilleton à plusieurs épisodes. Les protagonistes de cette série, les dirigeants du parti PNDS, sont présentés comme des courageux, des résilients. On mettait en exergue leur long séjour à l’opposition sans jamais quitter le pays. Malheureusement pour les laudateurs, comme on dit à juste titre chez nous,
le mensonge à beau courir, la vérité finit toujours par le rattraper. Les évènements du 26 juillet qui ont mis fin au régime du PNDS sonnent comme un cinglant démenti. Les épiques épopées écrites et déclamées par les nouveaux griots laissent un vulgaire goût de mensonges. Les héros sont fatigués. Beaucoup ont pris la poudre d’escampette. Ils sont les nouveaux protagonistes de la saison deux de la série les fugitifs. Si Hama Amadou est passé par le Burkina Faso pour bruler la politesse aux limiers du ministre Albadé Abouba, mon grand frère Hassoumi Massaoudou a choisi le Nigeria pour échapper à Tchiani et au CNSP. Qui l’eût cru ? Le grand guerrier du PNDS emprunter les tortueux sentiers des fraudeurs ? On aurait tout vu dans ce pays. Pourtant, il suffit simplement d’une petite réflexion pour se rendre compte que cela dans l’ordre normal des choses. L’instinct de survie est l’une des choses communes et essentielles aux espèces. Il n’est ni dégradant, ni honteux de tout mettre en oeuvre pour sa survie. C’est la leçon qui s’impose aux responsables du PNDS aujourd’hui. Pour espérer conquérir ses droits, il faut d’abord être en vie. L’autre enseignement à tirer des évènements du 26 juillet réside dans la résilience. Les seuls capables de cette qualité sont sans conteste les plus démunis. Si les dirigeants du PNDS ont fait preuve de résilience dans leur longue traversée du désert, c’est surement parce qu’ils étaient pauvres. Aujourd’hui qu’ils sont, grâce au pouvoir d’Etat, devenus riches, ils ont perdu bien de qualités, bien de réflexes. Si le prolétariat s’enrichit, la lutte de classe se termine.
Modibo
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- Catégorie : Politique
À Élisabeth Sherif : Par Dr Farmo Moumouni
Je salue la mère qui a tant souffert ce que les mères de ses adversaires ont ou auront à souffrir.
Je salue l’intellectuelle qui pense et pense sa société.
Je salue l’enseignante compétente et consciencieuse.
Je salue la combattante debout devant l’injustice.
À mes yeux, Élisabeth est assurément une grande dame face à des adversaires dont je ne saurai ici dire la taille.
Élisabeth, ayant pris connaissance du différend qui vous oppose à l’université, me sont venus à l’esprit « Les lois fondamentales de la stupidité humaine » de Carlo M. Cipolla, cet historien de l’économie, de renommée mondiale qui ne vous est certainement pas étranger.
Parce que vous êtes prise dans la spirale de la stupidité, je voudrais rappeler à votre souvenir, afin qu’elles vous servent, quelques-unes de ses observations.
Sachez Élisabeth que « Les gens que l’on croyait rationnels et intelligents s’avèrent outrageusement stupides »
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- Catégorie : Société
A L’ANDP ZAMAN LAHYA : Un nouveau bureau mis en place à Tillabéry
L’alliance nigérienne pour la démocratie et le progrès (ANDP Zaman lahiya) de la région de Tillabéry a tenu ce dimanche 23 avril 2017 son assemblée générale élective des membres du bureau de son conseil régional, dans la salle du gouvernorat de Tillabéry.
la cérémonie a débuté par le mot de bienvenue du président communal de l’ANDP Zaman Lahiya de Tillabéry monsieur Seyni Harouna qui a souhaite la bienvenue a tous les participants a les a remercie pour le choix porte sur la commune de Tillabéry pour abriter les travaux de cette assemblée générale ensuite ,fut l allocution du président sortant monsieur Hassane Hamidou bindio , il a salue la présence effective de tous les délégués de la région a cette assemblée générale il affirme que l’ANDP Zaman Lahiya de Tillabery a traduit dans les faits les consignes donnes par le parti a soutenir candidat Issoufou Mahamadou lors des élections présidentielles 2016 et celle des candidats du PNDS Tarraya dans la région de Tillabery, après la vérification des mandats par un huissier choisi pour la circonstance on a note la présence de douze(12) présidents sur les treize(13) , le président de séance qui est le représentant du bureau politique national a explique le processus électoral, l ANDP Zaman Lahiya étant un parti de consensus ou tous les partis du Niger inspirent a mis en œuvre sa pratique au sortir du consensus ou tous les présidents départementaux ont témoigne devant l assistance du consensus qui a prévalu ,un nouveau bureau du conseil régional de l’ANDP Zaman Lahiya de Tillabéry a été mis en place ; ibrahim issifisadou est elu President zakou Hima premier vice président hassane hamidou badio deuxieme vice président, le secrétaire general moussa Morou Hassan et le tresorier hassane adamou.
Apres la présentation du nouveau bureau le président a pris la parole pour remercier tous les participants a cette assise pour la confiance placée a sa modeste personne en le plaçant a la tête du conseil regional de tillaberi il a rassure que l’homme a qui il viennent de faire confiance usera de tous ses efforts ,de tous ses moyens et de son engagement politique pour ne pas decevoir, il exhorte tous a plus de cohésion, de respect et de concertation mutuels pour conjuguer leurs efforts afin de défendre les intérêts de la région de Tillabery ,il a pris l’engagement de travailler ensemble pour changer l image de la region, enfin il a adresse tous ces remerciements aux partis politiques amis et aux autorités administratives de la région de Tillabéry pour l’hospitalité légendaire dont elles ont fait preuve.
HAROUNA SOUMAYE CORRESPONDANT REGIONAL TILLABERY
CONTROLE CITOYEN DE L’ACTION PUBLIQUE ET SUIVI BUDGETAIRE AU NIVEAU LOCAL
Un atelier sur la question s’est tenu à Tillabéry
La salle de réunion de la mairie de Tillabéry a servi de l’ouverture d’un atelier de formation sur le contrôle citoyen de l’action publique et le suivi budgétaire au niveau local, le samedi 22 avril 2017cet atelier organisé par l’ONG SOS-civisme –Niger en partenariat avec la commune urbaine de Tillabéri, est destiné aux conseillers municipaux de la commune urbaine, des responsables des ONG et association de développement et les représentants des organisations féminines et les structures des jeunes.
C’est le maire de la commune urbaine de Tillabéry monsieur Morou Kaboye qui a présidé la cérémonie d’ouverture de cet atelier. il a au nom des conseillers municipaux et des populations de sa commune remercie l’ONGSOS-civisme-Niger et OxfamNovib pour cette initiative qui cadre parfaitement avec les orientations de leur plan de développement communal (pdc). En effet a dit le maire, la commune urbaine de Tillabéry adhère a toutes les démarches et atouts les outils qui favorisent la transparence et la recevabilité dans la gestion des affaires locales , il a dit que le contrôle citoyen de l’action publique (ccap) n est pas une activité subversive de la société civile pour déstabiliser les autorités locales mais c’est un outil et une démarche de partenariat constructif entre les organisations de la société civile et les autorités communales qui se mettent ensemble pour identifier les problèmes de développement en analyser les causes et trouver les solutions adéquates ,,t le maire de la commune urbaine de Tillabéri est entièrement disposé à travailler avec les organisations de la société civile ,qui sont partie intégrante du corps social pour affronter les défis du développement local ,tant pour la sécurité des personnes et de leurs biens ,que pour des actions durables en faveur des groupes les plus vulnérables de notre société ,il a enfin dit que les services techniques municipaux sont toujours disponibles pour donner les informations nécessaires aux acteurs de la société civile a la fois sur les recettes collectées et les investissements réalisés au profit de chacun et de tous , quand au coordonnateur national de l’ONG SOS civisme Niger il a explique l’objectif global de cet atelier qui est l’amélioration de la gouvernance locale a travers le renforcement du contrôle de l action publique et le suivi budgétaire pour un réinvestissement en faveur des groupes les plus vulnérables, les objectifs spécifiques de cet atelier sont :amener les organisations de la société civile et les conseillers municipaux a comprendre le contenu les objectifs et les principales étapes de la mise en œuvre du contrôle citoyen de l’action publique ,,promouvoir la transparence et la recevabilité dans la gestion des affaires locales, a travers le renforcement des capacités des organisations de la société civile et les conseillers municipaux sur la reddition des comptes et les mécanismes internes et externes de contrôle du budget communal, et enfin renforcer les capacités des capacités des organisations de la société civile a collaborer avec les autorités communales pour le suivi du recouvrement des recettes fiscales et de leur investissement prioritaire dans les secteurs sociaux
HAROUNA SOUMAYE CORRESPONDANT TILLABERI
25 avril 2017
Source : La Nation
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A L’ASSEMBLEE NATIONALE : Ouhoumoudou se joue des Nigériens en refusant de dire la vérité
Cela fait longtemps que certains observateurs avisés plaignaient pour Bazoum de ne pas avoir la liberté du choix des hommes qui doivent l’accompagner dans la mise en oeuvre de son programme. En effet, combien de fois, certains analystes ont relevé que Bazoum n’a pas eu les bons hommes qu’il lui faut ? Surtout, peuvent-ils déplorer qu’en acceptant de travailler avec certains hommes connus pour leur passé récent lourd de passifs, il a, d’une part, choisi de ne pas pouvoir avancer et surtout, d’autre part, de ne pas pouvoir combattre l’impunité pour laquelle il prenait des engagements avec le peuple nigérien. La preuve est donnée malheureusement avec le mauvais choix des hommes qui, inexorablement, est en train de le pousser à l’échec, peut-être même à la faillite de son système qui aura ainsi fait le choix dramatique d’échouer et de décevoir. Sensément, des gens qui ont été du cercle d’Issoufou et qui trainent des casseroles bruyantes, peuvent-ils l’aider à remonter la pente, à réussir mieux que leur champion, et surtout à lutter efficacement contre la corruption et les infractions assimilées surtout quand une telle action doit les viser. Le samedi, 15 avril 2023, à l’assemblée nationale, le député Oumarou Hamidou dit Ladan Tchana, a jeté un pavé dans la mare à la suite d’une interpellation du Premier ministre par rapport à des irrégularités dans l’attribution des marchés publics. C’est à jute titre que, symboliquement, faisait son interpellation, il fit référence à l’avènement du Conseil Militaire Suprême (CMS) avec le discours de Seyni Kountché qui fait date dans l’histoire du pays. Aussi, parodiant les propos de l’illustre homme du 15 avril 1974, alors que nous sommes à la date anniversaire ce 15 avril 2023, il dira, rappelant à notre mémoire l’Histoire : « Ce jour 15 avril 2023, l’Opposition a décidé de prendre ses responsabilités en interpellant le régime que vous connaissez. Après deux ans de règne jalonné d’injustices, de corruption et d’indifférence à l’endroit des Nigériens auxquels il prétendait assurer le bonheur, le peuple ne doit plus permettre la permanence de cette oligarchie ». L’heure est donc grave et il faut que cela s’arrête, c’est du moins ce que le député de l’Opposition laisse entendre. Son clin d’oeil à notre histoire et à cet homme, connu pour sa rigueur dont la main n’a jamais faibli pour imposer la discipline et la rigueur dans la gestion des affaires publiques, est fait pour montrer à quel point il avait défendu une certaine image du Nigérien, non celui d’insouciant et de voleur que les socialistes construisent depuis des années. Il rappelait alors le beau souvenir d’un homme dont se souviendront longtemps les Nigériens aujourd’hui assoiffés de justice et de vérité, de gestion « où les crimes étaient châtiés et où les Nigériens vivaient en harmonie. [Mais] Depuis deux ans que vous avez usurpé le pouvoir [poursuit- il], la démocratie est dévoyée et l’insécurité s’est généralisée, la justice est aux ordres, l’école est en panne, l’hôpital est à genoux, [luimême malade], les jeunes subissent un chômage endémique, ils sont obligés de montrer pattes roses pour accéder au moindre stage, [ce depuis qu’ils ne peuvent plus accéder à un emploi décent désormais réservé aux enfants du clan, c’est-àdire sans qu’ils ne soient fils ou filles d’un tel] ». Cette section de son intervention brosse un tableau triste de la situation du pays et il faut reconnaitre ainsi que ledit le député, que cela ne peut plus continuer ainsi. Et on ne peut que s’en indigner quand, poursuivant son intervention, il s’insurge : « […] octroyant des marchés illégaux à vos amis, vous agissez en parfaits catalyseurs de la mauvaise gouvernance. Ainsi, en effet, depuis six conseils des ministres avec votre bénédiction et celle de Mohamed Bazoum, les ministres cachent les montants et les attributaires des marchés en violation de l’article 16 de l’arrêté 018/PM/ ARCOP du 23 janvier 2023 ». Fautil donc croire que ce gouvernement est un ramassis d’affairistes où chacun joue à profiter de sa position pour faire des affaires, pour profiter de l’Etat, sans rien donner en retour de leur intelligence, de leurs compétences, de leurs probité ? Comment des gens qui ont prêté serment, peuvent- ils se comporter de cette manière alors même qu’ils ont juré de gouverner bien et mieux ? Ladan Tchana s’en offusque et s’interroge, gravement : « Quand allez-vous vous conformer à votre serment [coranique] ? », tonne-t-il en face du P.M. visiblement au désarroi.
Le problème que soulève Oumarou Hamidou dit Ladan Tchana, n’a pourtant rien d’imaginaire. Il ne dit que la cruelle réalité, celle-là à laquelle, le régime depuis douze ans, s’est refusé à avoir une oreille attentive, faisant la sourde oreille, et résistant à changer de cap dans la gouvernance désastreuse qu’il a imposée aux Nigériens. La presse, les acteurs de la société civile, les citoyens lambda ne se sont jamais lassés d’exposer les tares de ce système fantôme qui a pris en otage le pays et les deniers publics, le Niger et sa démocratie. Mais, au lieu d’écouter avec sérieux les récriminations qui sont faites à l’encontre de leur gouvernance, le Premier Ministre vient jouer à la diversion. Pourtant, une lettre ouverte adressée au Premier Ministre (que nous publions in extenso) confirme cet état de fait, appelant à faire attention, à ces pratiques que l’on observe depuis quelques temps lors des conseils des ministres avec des communications qui peuvent à dessein, et depuis des temps que cela est de règle, occulter des informations obligatoires et utiles relativement aux communications sur des marchés publics octroyés.
De la réponse moqueuse et méprisante du Premier ministre
Où sont la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, la France, l’Union Européenne, les Etats-Unis d’Amérique, quand le Premier Ministre nigérien, sans avoir à baisser la tête, péremptoirement, prétend que le Niger serait à 11.5% de croissance et ce pendant que la misère tenaille le peuple, et quand tout devient cher et de manière incontrôlée dans le pays et pendant que les revenus s’amenuisent, réduisant drastiquement le pouvoir d’achat des ménages nigériens aujourd’hui condamnés à la misère, juste pour la survie ?
Au lieu de tout le sérieux que requiert une telle situation, le Premier ministre fait de la diversion, jouant à la vedette, se gargarisant de tristes tonnerres d’applaudissements hypocrites commandés, venant de députés godillots qui jouent aux griots, se jouant des Nigériens et oublieux de ce que l’on ne plaisante pas avec de telles questions sérieuses et notamment lorsqu’il s’agit, en démocratie, de dire la vérité au peuple. Lorsqu’il réduit cette interpellation à « Une comparaison entre un régime démocratiquement élu – et ce n’est pas à Ladan Tchana qu’il le dit, lui qui, jusqu’à preuve du contraire, continue de dénoncer l’illégitimité de ce pouvoir et le mot « usurpé » qu’il continue d’utiliser parlant de ce mandat en est la preuve – où vous avez l’avantage de poser des questions au gouvernement, contrairement à un régime d’exception dont beaucoup de Nigériens ont souffert les affres ». Ouhoumoudou ici encore ne dit pas la vérité ? Ceux qui ont souffert n’est-ce pas ce qui ont volé, et ceux qui ont essayé par un moyen ou par un autre de diviser le Niger et les Nigériens ? Peut-il croire que les Nigériens sont aussi ignares à ne rien comprendre de la marche de ce pays quand, à la conférence nationale, mentant, un certain clan dont il est peut-être issu, venait pour faire croire que le malheur de ce pays, viendrait d’une exception dont Kountché serait le symbole le plus incarné ? Peut-il croire qu’on n’a pas fini par voir tout le monde et de comprendre ce que chacun vaut politiquement ? Peut-il penser que les Nigériens croient à l’image trop réductrice qu’il veut donner à Seini Kountché ? Pourtant, que n’entendon pas, nostalgiquement évoqué de la part de beaucoup Nigériens de ce que fut son règne, de ce qu’une justice existait pour tous, et notamment de ce que le Nigérien était à l’époque partout respecté ? Les Nigériens ne sont pas dupes et ils savent bien qu’on leur mentait. Cela fait longtemps, quand d’autres venaient enfin par découvrir les réalités de certaines régions qu’un certain discours rancunier et faussement jaloux faire croire qu’elles seraient les mieux loties du pays. Une des preuves c’est de constater qu’il n’y a pas eu de route goudronnée pour aller chez Ali Saibou, Chez Diori, chez Seini Kountché et que chez ces premiers dirigeants, l’on n’avait rien de particulier comme infrastructures. Comment comprendre qu’il ait fallu attendre 2023 pour que l’Etat du Niger consente enfin, à doter la région de Tillabéri d’une zone de défense (n°9) alors que cette région partage des frontières du pays avec au moins trois pays ? Ce vieux discours indigeste que le Premier ministre, insidieusement, tente de réchauffer à la consommation de certains milieux qui ne se remettent toujours pas de l’intox, ne passe pas dans ce Niger où la majorité a fini par comprendre avec le temps les visées manipulatoires d’un tel discours. Et l’homme est d’autant fier de son bilan qui n’existe pourtant pas qu’il décrit un Niger imaginaire qui n’existe que dans les contes. D’ailleurs même s’il a été fait pour tromper sur son action, l’on sait bien que ses services se sont servis de rafistolages, avec souvent de vieilles images comme celles qu’on a pu voir à Tillabéri et à Dosso, pour faire croire qu’il y a eu des investissements ? Qui peut croire ces images de l’extension de l’électrification à Dalwey qui a pourtant l’électricité depuis plus d’une décennie ? Qui ne sait pas qu’après plusieurs années de blocage du chantier, il a fallu que le MCC consente à récupérer et à reprendre la route Dosso-Bela, pour le poursuivre jusqu’à sa fin ? Est-ce Ouhoumoudou ça ? Des partenaires se sont rendus compte qu’il est injustifié d’abandonner pendant si longtemps une telle voie capitale pour l’économie nationale, et ils venaient à la sauver et mettre fin au calvaire qu’elle fait subir aux usagers. Se perdant dans la répétition fastidieuse, il prétend, sans pudeur :
« Nous venons de présenter le bilan de l’année 2022. Cette année s’est soldée par un taux de croissance de 11.5% ; il n’y a aucun pays de l’UEMOA qui a atteint un tel taux de croissance. Il n’y a pratiquement aucun pays africain qui a atteint un tel taux de croissance. Nous sommes donc le champion de la croissance économique ». Il faut être humble pour ne pas oser de telles paroles indéfendables, de telles broutilles. 11.5% de croissance dans le pays et ça sent la misère et l’on est presque toujours à la même place de l’IDH ? A qui, Ouhoumoudou peut-il vendre une telle parole ?
Contrevérités…
Le Premier ministre a tragiquement échoué sa communication comme il a échoué lamentablement son action à la tête de l’équipe gouvernementale. En face de la représentation nationale dont il se joue de l’importance dans le protocole de la République, il prétend qu’il n’est pas tenu obligé de communiquer, notamment par rapport aux marchés publics. Ce n’est pas vrai. En effet, quand le PM dit que déclarer les marchés en conseil des Ministre est un choix personnel, il ne dit pas la vérité car même si la loi a été revue, notamment dans le Journal Officiel à travers son numéro spécial n°25 du 26 octobre 2022, il reste que la mention qui fait obligation de déclarer les marchés est antérieure et a existé depuis des années, notamment depuis l’arrêté n°107/PM/ ARMP du 01 août 2019, donc bien avant que lui ne soit Premier ministre (voir article 13). Aussi, s’inscrivant dans la même veine, l’article 13 de l’arrêté n°18 de janvier 2023 somme les ministres de dire expressément le montant du marché et à qui ce dernier a été octroyé. Peut-il ne pas savoir l’existence de cet autre texte de loi, l’arrêté n°0018/ PM/ARCOP du 18 janvier 2023 fixant les seuils dans le cadre de la passation des marchés publics et qu’évoquait à juste titre le Député Ladan Tchana, en l’occurrence son article 13 qui dit : « Tout achat public dont le montant est égal ou supérieur à trois cent millions (300.000.000) de francs CFA hors taxe sur la valeur ajoutée doit faire l’objet d’une communication préalable en Conseil des Ministres de la part du Ministre en charge du secteur concerné. La communication est faite à titre d’information et porte sur l’objet du marché ; le mode de passation utilisé ; le montant ; le délai d’exécution et le nom de l’attributaire provisoire. Cette communication doit intervenir avant l’approbation du marché ».
Mais alors, pourquoi donc le conseil des ministres, soigneusement, choisit de violer cet arrêté, refusant de se plier à cette injonction de l’article 13 du même texte ? Que cherche- t-on à cacher aux Nigériens en taisant et les noms des entreprises et les montants des marchés dont elles sont bénéficiaires ? Et quand la pratique devient systématique depuis six conseils de ministres, il y a de quoi s’en préoccuper. Mais c’est d’autant intrigant que cette autre question s’impose : comment Bazoum, qui préside les conseils des ministres, peut-il ne pas se rendre compte de ces pratiques anormales sur six conseils ? Peut-il ignorer la loi ? Les Nigériens doivent s’en inquiéter.
Bazoum peut-il être complice de ces violations quand on sait quand même que c’est lui dirige les conseils de ministres ou faut-il croire qu’un autre abuserait de son ignorance des textes, pour faire passer, en violant les textes, certains marchés attribués à la clientèle politique qui, plus, fait souvent partie de la pègre qui a contribué à mettre à terre le pays pendant dix ans sous Issoufou ? Dès lors, Ouhoumoudou, est-il venu pour servir Bazoum et son programme ou pour servir le même clan qui avait pignon sur rue sous Issoufou pour perpétuer la même prédation décriée ? D’ailleurs, Ouhoumoudou n’est-il pas cet homme qui, dès les premières heures du premier quinquennat d’Issoufou, commettait des gaffes au ministère des finances d’où « son » frère avait été contraint, face à l’indignation que son acte provoquait, de le congédier pour l’amener, comme une insulte au peuple, d’abord à la BIA, puis à la présidence, comme Directeur de cabinet en chef.
Ouhoumoudou, avec un tel discours et un tel mépris, n’est pas en train de saboter le système Bazoum et l’empêcher de mieux gouverner et surtout d’être en phase avec les Nigériens ? D’ailleurs, en tant que chef de gouvernement, peut-il avoir tenu au respect de textes issus de son entité, notamment ce J.O. que nous évoquons plus haut pour par exemple se conformer à l’article 16 (pages 7 & 8) qui stipule : « les autorités contractantes doivent inviter les candidats ou soumissionnaires à justifier de leur capacité techniques telles que définies par les dossiers d’appel d’offres et de leur éventuelle inscription à un registre professionnel dans les conditions prévues par la législation du pays où ils sont établis » et ce pendant que l’article 18 définit par plusieurs références les capacités financières de l’entreprise désignée.
En vérité, la gouvernance telle qu’elle est menée par le Premier ministre, comme pour donner raison à ceux qui ont douté de sa personnalité, est marquée par un manque de transparence, par la corruption, par une opacité totale sur l’attribution des marchés publics, reproduisant le mal, que leur clan, sous Issoufou, avait perpétué. Quand il dit que la communication est faite en conseil de ministres, accuserait-il le secrétariat général du gouvernement de ne pas intégrer dans le compte-rendu, toutes les informations à propos des marchés déclarés en conseil ? Cela n’est pas vrai, car tous les ministres savent très bien que ce n’est pas la vérité et que si les informations supplémentaires ne sont pas consignées dans le compte-rendu, c’est qu’elles ne sont jamais fournies. Qui donc cherche à tricher avec les textes et avec le président de la République ? Faut-il croire que parce qu’il est censé connaitre certains milieux, pour comprendre qu’on lui cache certaines informations, certains noms pourraient tout de suite le tiquer pour demander alors plus de clarifications ? Mais alors, pourquoi refuse-t-on de donner l’information, la vraie aux Nigériens ? Quelqu’un voudrait-il continuer à perpétuer la même gabegie décriée ? Ça sent le complot autour de Bazoum.
Il y a de bonnes raisons de le croire quand on considère certains noms tus et auxquels certains marchés avaient été attribués. Comment à celui-là qui a été indexé dans l’affaire du MDN-Gate, avec un marché de six milliards pour la réalisation de la piste d’atterrissage de Dirkou qu’il n’a pas pu exécuter et pour lequel il a pourtant pris les deux milliards, peut-il aujourd’hui bénéficier de nouveaux marchés alors que l’audit du ministère de la Défense l’a justement incriminé ? Comment et pourquoi, peut-il gagner ce marché de quelques 14 milliards (14.077.438.557f pour être plus précis) ? On est où là ? Sontils les seuls Nigériens ? Pourquoi, des opérateurs délinquants, peuvent continuer à bénéficier des marchés publics quand d’autres entreprises plus compétentes existent ? Ce samedi, Ouhoumoudou n’a pas répondu à la question qui lui a été posée. Il devrait avoir le courage, si tant est qu’il est sûr de la régularité des marchés visés, de donner des noms et des montants devant les députés nationaux. Mais l’affaire n’est pas terminée. On n’est qu’à la saison un.
Bazoum a donc intérêt à ouvrir les yeux et à voir ce qui se trame autour de lui : il y en a qui jouent faux jeu autour de lui. Il faut que les gens paient pour leur gestion, en les renvoyant aussitôt de leurs postes afin que cela serve de leçon. Il n’y a pas d’autres moyens de promouvoir la bonne gouvernance.
Mairiga
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A l’Assemblée nationale : Adoption de trois projets de lois relatifs à la prorogation de l’état d’urgence dans les zones affectées par l’insécurité
Les travaux en séance plénière de la 2ème session ordinaire au titre de l’année 2022, dite session budgétaire de l’Assemblée nationale se poursuivent activement à l’hémicycle, Place de la Concertation. Au cours de la séance du vendredi 28 octobre 2022, les parlementaires ont procédé à l’examen et l’adoption de trois projets de lois relatifs l’état d’urgence dans les régions de Tillabéri, de Tahoua et de Diffa. C’est le troisième Vice-président de l’Assemblée nationale, M. Zakara Karidio qui a présidé les travaux en présence des commissaires du gouvernement, le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, M. Hamadou Adamou Souley et celui de la Communication chargé des Relations avec les Institutions, M. Mahamadou Lawaly Dan Dano.
Au cours de la plénière, la Commission de la Défense et de Sécurité saisi au fond a, à travers son rapport expliqué le bien-fondé de la prorogation, tout en recommandant à la plénière d’approuver les projets de loi soumis pour permettre au gouvernement de faire face à cette situation d’insécurité dans les localités touchées du pays. Pour faire face à cette menace sécuritaire préoccupante, le Gouvernement a régulièrement fait recours aux mesures exceptionnelles prévues par les dispositions de l’article 68 de la Constitution du 25 novembre 2010, déterminant les conditions d’exercice des pouvoirs publics en période de crise à travers des mesures comme l’état d’urgence.
C’est ainsi que la plénière a procédé à l’adoption du projet de loi portant prorogation de l’état d’urgence dans la région de Diffa et dans certains départements des régions de Tahoua (département de Tassara et de Tillia) et de Tillabéri départements de Ouallam, d’Ayorou, de Bankilaré, d’Abala, de Banibangou, de Say, de Torodi, de Téra, de Tillabéri et de Gothèye (deux articles). Ledit projet a été adopté par 104 voix pour 0 contre et 0 abstention. Précisons que la dernière prorogation de l’état d’urgence dans ces localités, a été prise le 28 juillet 2022, conformément à l’ordonnance n° 2022-016 et expire le 2 novembre 2022.
S’en est suivie l’adoption du projet de loi portant prorogation de l’Etat d’urgence dans le département de Filingué (région Tillabéri). Ce deuxième projet de loi a été adopté par 92 voix favorables, 0 contre et 0 abstention. Il faut noter que la dernière prorogation de l’état d’urgence dans ledit département a été prise le 28 juillet dernier, conformément à l’ordonnance n°2022-017 et expire le vendredi 28 octobre.
Le dernier projet de loi adopté est relatif à la prorogation de l’état d’urgence dans les départements de Balléyara et de Kollo (région de Tillabéri) avec 96 voix pour, 0 contre et 0 abstention. Ainsi, le présent projet de loi est pris pour proroger l’état d’urgence pour une durée de trois (3) mois allant du 19 novembre 2022 au 16 février 2023 inclus, dans les départements de Balléyara et de Kollo (région de Tillabéri).
A l’issue de ces travaux, le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, M. Hamadou Adamou Souley a félicité les parlementaires pour cette marque de confiance à l’endroit du gouvernement à travers l’adoption de ces trois de projets de lois relatifs à la prorogation de l’état d’urgence dans trois régions notamment Tillabéri, Tahoua et Diffa. Pour lui, ce vote témoigne de l’intérêt qu’accorde cette institution aux questions sécuritaires dans notre pays. Il a aussi expliqué que l’Etat d’urgence est une exigence de sécurité qui oblige les autorités à prendre des décisions pareilles. «Personne ne peut jouer avec la sécurité de ses citoyens, le Gouvernement le fait en fonction de la situation», a-t-il déclaré. Par ailleurs, Hamadou Adamou Souley a salué les efforts consentis par le Gouvernement pour assurer la sécurité de la population nigérienne en général et surtout celle vivant dans les localités touchées par l’insécurité. Pour le ministre en charge de l’Intérieur, ces efforts ont permis au Gouvernement de contenir les populations déplacées à l’interne et d’accueillir d’autres venues des pays voisins. «La gestion de ce problème sécuritaire ne va pas se faire sans vous. Chacun de nous doit se sentir concerné», a-t-il dit à l’endroit des députés.
Relativement à la situation de Tamou, le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation a invité la population à la retenue et surtout à éviter la propagation des fausses informations. Car, dit-il après vérification, «nous avons constaté que certaines images publiées ne sont pas du Niger». Pour ce qui est de l’évaluation de la situation de l’état d’urgence, le ministre a rassuré les députés que, cet exercice se fait chaque semaine autour du Président de la République à travers le Conseil National de Sécurité. «C’est en fonction de cette évaluation que nous faisons recours à la reconduction ou pas à l’état d’urgence. Conformément à ses responsabilités, le Gouvernement vous rend compte», a-t-il précisé. Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation a réitéré son appel à l’endroit de la population à plus de collaboration car leur pleine implication à ce processus est primordiale pour l’établissement d’une paix durable au Niger.
Il faut noter qu’au cours de cette plénière, les parlementaires ont suivi la prestation de serment d’un nouveau membre de la Haute Cour de Justice, M. Mano Salaou désigné par le Conseil d’Etat en remplacement de M. Ibrahim Oumarou, nommé Directeur général de l’Agence Judicaire de l’Etat (AJE). Il faut enfin à souligner que les travaux en séance plénière reprendront le samedi 5 novembre 2022 avec le contrôle de l’action gouvernementale à travers les questions d’actualités adressées aux membres du gouvernement.
Mamane Abdoulaye(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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A l’Assemblée Nationale : Communication du PAN relative suite à l’attaque violente contre l’Assemblée Nationale lors de la manifestation de dimanche dernier
Les travaux de la 2ème session ordinaire au titre de l'année 2017, dite session budgétaire se poursuivent à l’hémicycle de l'Assemblée nationale, sous la présidence de SE. Ousseini Tinni. Au cours de la séance plénière, les députés ont examiné et adopté le projet de compte rendu sommaire de la séance plénière du samedi 28 octobre 2017. Par la suite, le président de
l’Assemblée nationale, SE. Ousseini Tinni a fait une brève communication relativement à la manifestation organisée le 29 octobre dernier par un groupe d’organisations de la société civile. (Lire ci-dessous, l’intégralité de la communication du PAN).
«Le dimanche 29 octobre 2017, l'Assemblée nationale a été la cible d'une attaque violente à l'occasion de la manifestation organisée à l'initiative de certains acteurs de la société civile.
Manifestement, l'objectif était de détruire les locaux de l'institution et de porter atteinte à l'intégrité physique des députés comme l'atteste l'incitation à la haine et au vandalisme contre l'institution abondamment relayée par les réseaux sociaux avant même le début de la manifestation.
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A l’Assemblée nationale : Le président de l’institution reçoit la Cheffe de Délégation de l’Union Européenne en fin de mission au Niger
Le président de l’Assemblée Nationale, M. Seini Oumarou a reçu, le jeudi 4 août 2022, l’Ambassadeur, Chef de la Délégation de l’Union Européenne au Niger, Mme Denisa-Elena Ionete en fin de mission dans notre pays. Elle est venue faire ses adieux au président du parlement nigérien. A sa sortie d’audience, la diplomate européenne a déclaré qu’elle est venue dire au revoir au président de l’Assemblée nationale. «C’est avec beaucoup d’émotion que je suis revenue, car je garde toujours à l’esprit la période électorale qui a conduit à la constitution de l’Assemblée nationale. J’ai aussi exprimé ma satisfaction de la façon dont l’Union Européenne a pu collaborer, pendant ces 4 ans, avec l’Assemblée nationale», a relevé Mme Denisa-Elena Ionete.
L’Ambassadeur Chef de la Délégation de l’UE a également rappelé qu’elle avait eu une première session de dialogue politique en 2019 centrée sur la question de la gouvernance et de l’appui budgétaire ; une autre rencontre également avec les femmes parlementaires quelques jours après l’installation de la nouvelle Assemblée nationale. Mme Denisa-Elena Ionete devait ensuite expliquer que l’Union Européenne a d’autres éléments à développer dans l’avenir notamment pour la poursuite de l’appui aux institutions nationales dans le cycle électoral. «Si on a réussi les élections de 2022, il faut toujours préparer celles de 2024-2025. L’Union Européenne a un important appui pour toutes les grandes institutions à savoir la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), le Conseil Supérieur de la Communication (CSC), mais aussi au dialogue politique à travers le Conseil National de Dialogue Politique (CNDP), a-t-elle souligné.
La Cheffe de la Délégation de l’UE au Niger a enfin assuré que si la pandémie de la Covid-19 laisse plus de liberté de mouvement, le dialogue entre l’Assemblée nationale et le parlement Européen reprendrait avec des visites qui pourraient avoir lieu dans les mois à venir.
Seini Seydou Zakaria(onep)
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A l’Assemblée nationale : Le président de l’institution reçoit une délégation de la plateforme paysanne du Niger
Le président de l’Assemblée nationale, M. Seini Oumarou a accordé hier en début d’après-midi, une audience à une délégation des membres de la plateforme paysanne du Niger conduite par son président, M. Djibo Bangna. A leur sortie d’audience, le président de la plateforme paysanne a déclaré à la presse l’objectif de la rencontre avec le président du parlement nigérien. Selon lui, l’organisation paysanne est en train de mobiliser des ressources internes pour être actionnaire majoritaire au niveau de la Banque Agricole du Niger (BAGRI) avec le parrainage du Conseil Economique Sociale et Culturel (CESOC).
Le président de la plateforme paysanne a ensuite expliqué que, le secteur rural aujourd’hui dépend fortement des financements pour se développer d’où l’objectif de la création de la BAGRI. « La Banque devrait être dotée de trois (3) fonds lui permettant d’être une Banque Agricole. Il s’agit des fonds de calamité, de bonification et de garantie. Mais, compte tenu des difficultés, l’Etat n’arrive jusque-là pas à rendre effectif ces fonds. Ce qui fait que, nous avons décidé, au niveau des organisations paysannes de mobiliser des ressources pour nous positionner afin d’être des actionnaires majoritaires avec l’Etat. Nous avons expliqué au président du parlement notre démarche pour avoir son soutien », a souligné Djibo Bagna.
Selon le président de la plateforme paysanne, le président de l’Assemblée nationale leur a accordé une oreille attentive, étant initiateur de la création de la BAGRI au Niger. « Il a été très sensible et s’engage à accompagner la plateforme et le CESOC dans cette démarche. Pour lui, le secteur rural mérite beaucoup d’attention et la mise en œuvre de toute initiative nécessite un financement. Il s’est personnellement engagé à mobiliser le parlement pour que la plateforme soit accompagnée dans cette belle initiative », a conclu M. Djibo Bangna.
Seini Seydou Zakaria(onep) et Nafissa Yahaya (Stagiaire)
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A l’Assemblée nationale : Les députés adoptent plusieurs projets de loi portant ratification d’accords de prêt
Les députés nationaux en travaux de séance plénière de la 1ère session ordinaire au titre de l’année 2021, dite session des lois de l’Assemblée nationale ont procédé, vendredi 22 octobre 2021 à l’examen et à l’adoption de cinq projets de loi portant ratification d’accords de prêt. La séance plénière a été présidée par le premier vice-présidente de l’Assemblée nationale, M. Kalla Ankouraou en présence des commissaires du gouvernement, M. Mahamadou Zada, ministre de la Communication, Chargé des Relations avec les Institutions et le ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, M. Youssouf Mohamed Elmoctar.
Les députés nationaux ont examiné et voté le premier projet de loi soumis à leur appréciation par 96 voix pour, zéro contre et zéro abstention. Il s’agit du projet de loi portant ratification de l’Ordonnance n° 2021-15 du 09 septembre 2021 autorisant la ratification de l’Accord de prêt N°141 AP LA /B/DC/EBID/ 06/2020 d’un montant maximum de trente-neuf millions sept cent mille Dollars US (39 700 000 $ US) signé, le 06 juillet 2021 à Niamey, entre le Gouvernement de la République du Niger et la Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC), pour le financement partiel du Projet d'électrification rurale par systèmes solaires photovoltaïques de 250 localités en République du Niger. Ce financement a pour objectif global de contribuer à l'amélioration des conditions de vie des populations rurales vivant dans 250 localités isolées du réseau électrique conventionnel en assurant leur autonomie énergétique par l'installation de mini réseaux solaires et des solaires photovoltaïques autonomes. Il permet aussi de promouvoir l’accès des populations marginales aux services énergétiques des infrastructures communautaires de base.
Le deuxième projet de loi portant ratification de l’Ordonnance n°2021-16 du 09 septembre 2021 autorisant la ratification de l'Accord de prêt N°141/AP/LA/BIDC/EBID/06/
2020 d'un montant maximum de cinquante-six millions sept cent mille Dollars US (56 700 000 $ US), signé le 06 juillet 2021 à Niamey entre le Gouvernement de la République du Niger et la Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC), pour le financement partiel du Projet d'extension et de renforcement du système d'alimentation en Eau Potable des trois chefs-lieux des Régions de Maradi Dosso et Diffa en République du Niger quant à lui est adopté par les parlementaires avec 98 voix pour, zéro contre et zéro abstention que. L'objectif global de ce projet consiste en la réalisation des équipements de production, de refoulement, de distribution, de stockage, de branchements sociaux, de bornes fontaines et de réhabilitation du réseau existant dans les 3 régions ; Maradi, Dosso et Diffa.
En outre, il contribuera à assurer l’accès universel à l’eau potable à un coût abordable en milieu urbain à travers l’amélioration de la couverture des besoins en eau potable des populations et leur cadre de vie.
C’est avec 94 voix pour, zéro contre et zéro abstention que les députés ont entériné le troisième projet de loi qui est celui portant ratification de l'Ordonnance N°2021-17 du 09 septembre 2021 de ratification de l’Accord de financement composé d'un Crédit N°6888-NE d'un montant de quarante-deux millions sept cent mille Euros (42 700 000 Euros) et d’un Don N°0621-NE dont le montant équivalent est à trente-cinq millions trois cent mille Droits de Tirages Spéciaux (35 300 000 DTS), signé le 05 août 2021 à Niamey, entre le Gouvernement de la République du Niger et l’Association Internationale de Développement (AID) pour le financement du Projet Communautaire de Prélèvement et de labialisation du Sand. L'objectif global de ce projet est de contribuer au relèvement et à la résilience des communautés dans les zones cibles de la région du Liptako Gourma au Burkina Faso, au Mali et au Niger à travers une approche régionale en soutenant les services et infrastructures socio-économiques des moyennes subsistances et du développement territoriale ainsi que des données et de la coordination régionales.
Le projet de loi portant ratification de l'Ordonnance n" 2021-18 du 23 septembre 2021 autorisant la ratification de l'Accord de prêt Nº142/AP/ LA/BIDC/EBID/06/2020 d'un montant maximum de dix millions cinq cent mille dollars US (10 500 000 $ US), signé le 06 juillet 2021 à Niamey, entre le Gouvernement de la République du Niger et la Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC), pour le financement partiel du Projet d'électrification des sites de réinstallation du plan d'actions de réinstallation-deuxième vague (PAR 2) du Programme Kandadji et de renforcement du réseau de distribution électrique dans la zone du barrage de Kandadji en République du Niger constituant le quatrième projet examiné et adopté par la représentation nationale avec 94 voix pour, zéro contre et zéro abstention. Ce projet a pour objectif principal, la construction sur les sites de réinstallation des personnes déplacées du programme, d’un réseau électrique constitué de lignes moyenne et basse tensions.
En fin, le projet de loi portant ratification de l’ordonnance n° 2021-19 du 23 septembre 2021, autorisant la ratification de l'Accord de prêt Nº144/AP/ LA/BIDC/EBID/08/2020 d'un montant maximum de quatorze millions six cent mille Dollars US (14 600 000 $ US), signé le 06 juillet 2021 à Niamey, entre le Gouvernement de la République du Niger et la Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC), pour le financement partiel du Projet d'aménagements hydro-agricoles des sites de réinstallation du plan d'actions de réinstallation (phase 2 A) du Programme Kandadji en République du Niger adopté avec 102 voix pour, zéro contre et zéro abstention. Il a pour objectif la réduction de la pauvreté grâce à la mise en valeur des terres agricoles irriguées à partir du fleuve Niger la régénération du milieu naturel ainsi que la contribution à la sécurité alimentaire des populations.
Les travaux en séance plénière reprendront, mercredi 27 octobre 2021 à partir de 09h30 à l’hémicycle de l’Assemblée nationale avec à l’ordre du jour l’examen et le vote du projet de loi portant deuxième rectification de la loi N°2020-67 du 10 décembre 2020 portant loi de finances pour l’année budgétaire 2021.
Seini Seydou Zakaria
25 octobre 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A l’Assemblée nationale : Les députés examinent et adoptent le projet de loi modificatif de la loi N° 2022-033 portant loi minière au Niger
Les députés ont adopté le vendredi 5 mai 2023, en procédure d’urgence à la demande du gouvernement, le projet de loi modifiant et complétant la loi
N° 2022-033 du 05 juillet 2022 portant Loi minière. Cette modification intervenue 10 mois après son adoption permet au gouvernement de se conformer à la Constitution du 25 novembre 2010 et d’améliorer les recettes tirées de l’exploitation minière dans le pays. La séance plénière a été présidée par l’honorable Kalla Ankourao, 1er vice-président de l’Assemblée nationale.
Les députés ont adopté le projet de loi modificatif proposé par 95 voix pour, 0 contre et 0 abstention. Les modifications de la loi minière portent sur les articles 185, 186, 187, 188, 192, 193, 195, 211 et 218. Pendant l’examen des articles et au cours des consignes de votes donnés par les différents groupes parlementaires, les députés ont apporté des enrichissements et des recommandations aux échanges, preuve du soutien unanime dont bénéficie le secteur minier à l’hémicycle.
Dans le rapport d’avis favorable qu’elle a présenté, la Commission des affaires économiques et du plan a souligné que la loi No 2022-033 du 05 juillet 2022 portant loi minière a été adoptée par l’Assemblée Nationale pour rendre plus compétitif et attractif le secteur minier et optimiser les recettes fiscales de l’Etat, ainsi que la prise en compte des instruments juridiques nationaux, sous-régionaux, régionaux et internationaux. Dix mois après l’adoption de cette loi, note le rapport, sa mise en œuvre est contrariée par des insuffisances relevées dans son décret d’application.
Le projet de loi modificatif, relève le rapport, vise non seulement à harmoniser certaines dispositions qui se sont révélées inapplicables du fait de leur contrariété avec le règlement No 18/2003/CM/UEMOA du 23 décembre 2003 portant Code minier communautaire, mais également «à prendre en compte d’autres dispositions qui ont omis d’assujettir certains exploitants au paiement de la redevance minière ou du renvoi à la loi des impositions nullement prévues par celle-ci». La Commission des affaires économiques et du plan a ainsi donné un avis favorable à l’adoption du projet de loi modificatif, sous réserve de la prise en compte des amendements qu’elle a formulés.
La ministre des Mines, Mme Ousseini Hadizatou Yacouba, a remercié les députés et les a assurés de la prise en charge, en amont, des recommandations soulevées par certains d’entre eux lors de l’examen du texte qui comporte trois articles. «Effectivement, comme l’a dit un des présidents de groupe, les ressources minières appartiennent à notre pays. C’est pour nous tous. C’est pour améliorer les conditions de vie de nos populations», a-t-elle souligné. Mme Ousseini Hadizatou Yacouba a reconnu que cette erreur découlait de la démarche choisie et a remercié de vive voix les députés pour avoir aidé à la corriger. «Soyez sûr que nous allons continuer à travailler la main dans la main. Nous allons revenir vers vous en cas de difficultés», a-t-elle dit, «parce que, en tant que représentants du peuple, c’est à vous de nous aider à mettre en œuvre cette loi et tous en ensemble, pour que nous puissions améliorer autant l’environnement minier que l’environnement de vie des populations locales».
Souleymane Yahaya(onep)
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A l’Assemblée Nationale : Ouverture solennelle de la première session au titre de l’année 2023
Le Président de l’Assemblée Nationale, SEM Seyni Omarou, a présidé hier matin dans la salle des plénières de l’hémicycle, l’ouverture de la première session de ladite institution au titre de l’année 2023. Pendant 90 jours, les députés vont se pencher sur plusieurs projets de lois soumis par le gouvernement et exercer leur droit de contrôle de l’action gouvernementale à travers des interpellations. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de plusieurs personnalités et des membres du corps diplomatique accrédité au Niger.
Dans son discours, le président de l’Assemblée Nationale a souhaité que les députés soient revenus à l’hémicycle « armés de bonnes résolutions pour faire avancer notre chantier législatif et pour stimuler nos partenaires du gouvernement dans la recherche du mieux-être des populations nigériennes ». Il a aussi rappelé que la session s’ouvre dans un contexte marqué par de nombreux évènements importants au niveau national et sur la scène internationale. Les deux ans du président Mohamed Bazoum, a-t-il indiqué, « furent deux années au cours desquelles notre pays a beaucoup avancé, plus particulièrement sur la lutte contre le terrorisme ».
Sur le plan sécuritaire, SEM Seyni Oumarou a rendu un hommage appuyé aux Forces de Défense et de sécurité qui continuent, malgré le contexte régional complexe, à préserver l’intégrité du territoire. Il a félicité le gouvernement pour les importants efforts qu’il consent « pour mieux équiper nos troupes et soutenir leur moral » et l’a exhorté « à déployer toutes les stratégies et approches possibles pour endiguer cette crise sécuritaire ». En politique, SEM Seyni Oumarou s’est félicité de la tenue dans la sérénité des congrès des grandes formations politiques. Toute fois SEM Seyni Oumarou s’est inquiété du fléau du nomadisme politique dans les collectivités territoriales. « Il est en effet devenu courant que des conseillers élus sous une bannière particulière migrent ailleurs pour déstabiliser l’exécutif communal », a-t-il relevé, tout en appelant à la fin de cette pratique.
SEM Seyni Oumarou a rappelé que l’ordre du jour de la présente session des lois dépend largement de l’agenda gouvernemental. En attendant de recevoir de nouveaux projets de lois, a-t-il déclaré, la session entamera ses travaux par l’examen exhaustif de l’ensemble des ordonnances que le gouvernement a passé dans le cadre de la loi d’habilitation.
Enfin, le président de l’Assemblée Nationale a demandé aux députés nationaux d’entamer des missions terrain sur les thématiques d’actualité et de conduire des sensibilisations pour inviter la population à travailler avec les Forces de Défense et de Sécurité dans la lutte contre le terrorisme.
Par Souleymane Yahaya(onep)
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A l’Assemblée Nationale : Prestation de serment du représentant des avocats à la CNDH
Le Président de l’Assemblée Nationale, M. Seïni Oumarou a présidé, le vendredi 7 Avril 2023, la poursuite des travaux en séance plénière de la première session ordinaire au titre de l’année 2023, dite session des lois. Deux points étaient inscrits à l’ordre du jour. L’examen et l’adoption des projets d’ordre du jour et de calendrier des travaux et la prestation de serment d’un membre de la Commission Nationale des Droit Humains.
Après lecture des différents projets, les parlementaires ont examiné et adopté les projets d’ordre du jour et le calendrier des travaux.
Peu après, M. Oumarou Diori Hamani, représentant des avocats à la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH) a prêté serment devant les élus nationaux. Et cela, conformément aux textes qui régissent la CNDH. En effet, il est exigé qu’avant leur prise de fonction, les membres de la CNDH doivent prêter serment devant les parlementaires. C’est ainsi que M. Oumarou Diori Hamani a prêté serment à travers la formule suivante : «Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions telles que prévues par la Constitution et la loi, de les exercer en toute indépendance, d’assurer sans défaillance les devoirs que la Constitution et la loi m’imposent et de garder le secret des informations et des délibérations. En cas de parjure que je subisse les rigueurs de la loi».
Oumar Issoufou(onep)
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A l’Assemblée nationale : Report du débat sur la levée de l’immunité parlementaire du député Sidi Lamine
L’examen suivi de débats, prévus pour se dérouler ce 15 avril 2017 à l’hémicycle de l’Assemblée nationale sur le rapport de la commission ad’ hoc mise en place pour étudier la requête de levée de l’immunité parlementaire du député Sidi Lamine, cité dans une affaire de trafic de drogue, n’a pas eu lieu. Selon nos informations, la plénière de ce samedi a décidé de reporter l’examen de ce rapport à la séance du mardi prochain. On ignore encore les raisons de ce report quand on sait que la commission ad’ hoc a déjà déposé son rapport.
Rappelons qu’en plus de cette requête de levée d’immunité parlementaire d’un député, les députés nationaux auront également à statuer sur deux autres demandes adressées par le gouvernement pour la mise en accusation de deux anciens ministres.
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A l’Assemblée nationale : SE Seini Oumarou reçoit la cheffe de délégation de l’Union Européenne au Niger
Le Président de l’Assemblée nationale, SE Seini Oumarou, a accordé hier une audience à l’Ambassadeur, Cheffe de délégation de l’Union Européenne au Niger, SE. Denisa Elena Lonete. A sa sortie d’audience, la diplomate a déclaré à la presse qu’elle est venue effectuer sa première visite de courtoisie et de prise de contact avec le Président de l’Assemblée nationale. Cette rencontre a permis à l’Ambassadeur de l’Union Européenne au Niger et au Président Seini Oumarou de discuter de certains dossiers, comme le processus de proclamation du cadre financier multi annuel qui se consulte avec les autorités nationales et les grandes institutions.
M. Denisa Elena Lonete a saisi l’occasion pour rassurer le Président de l’Assemblée de la disponibilité de son institution pour appuyer le renforcement des capacités des institutions nationales dont l’Assemblée nationale. De ces discussions, « Je retiendrai de notre première rencontre avec les femmes parlementaires qui a apporté une efficacité dans la promotion de l’approche genre », a-t-elle rappelé.
La Cheffe de délégation de l’Union Européenne au Niger s’engage à appuyer le parlement nigérien pour donner un impact à cause de l’opportunité extraordinaire qui est d’avoir 49 femmes députés. « Nous sommes tout à fait ensemble pour continuer sur ce chemin. C’est une grande qualité pour un parlement d’avoir une diversité de genres, de professions et d’origine géo démographique du Niger. Fort de cette diversité, le parlement peut compter sur nous pour appuyer la promotion du genre et le droit de la femme à commencer par le renforcement de capacité et les relations avec les femmes parlementaires. Nous y tenons tant institutionnellement et je souhaite le dire à titre personnel comme femme Ambassadeur, mère, médecin et partenaire du Niger et des femmes », a conclu SE.Denisa Elena Lonete.
Par Seini Seydou Zakaria
16 avril 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A l’Assemblée Nationale: La représentation nationale procède à l’élection des nouveaux membres du bureau
Les travaux de la première session de l’Assemblée Nationale au titre de l’année 2023 se sont poursuivis, pour la troisième journée consécutive, ce samedi matin à l’hémicycle, avec l’élection des membres du bureau comme unique point inscrit à l’ordre du jour. Conformément à son règlement intérieur, l’Assemblée Nationale est tenue de renouveler l’ensemble de ses membres au début de chaque année, à l’exception du poste de Président de l’institution qui est élu pour un mandat de cinq ans.
Après l’adoption, sous réserve des modifications apportées, du compte rendu des travaux de la journée précédente, la plénière s’est penchée sur l’élection des vice-présidents, des questeurs et des secrétaires parlementaires qui sont appelés à exercer pour les douze mois à venir.
A la suite du processus de vote à bulletins secrets, l’ensemble des postes ont été pourvus sans difficulté, a l’exception du poste de 6ème vice-président qui reste pour l’instant vacant. L’honorable Omar Hamidou Tchiana qui s’était porté candidat à ce poste, a vu son choix rejeté par les députés par un score de 64 voix pour, 95 contre et3 abstention.
Les cinq (5) vice-présidents élus sont des habitués car, ils ont tous été reconduits.. Il s’agit dans l’ordre des honorables Kalla Ankourao, Alkabouss Jalaoui, Zakara Karidio, Mahaman Laoual Bako Galadima et Oumarou Yahaya.
Souleymane Yahaya(onep)
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A l’Hôtel de ville de Niamey : Le député maire, président du Conseil de Ville rencontre l’ambassadeur du Royaume Uni au Niger
Le député maire, président du Conseil de Ville de Niamey, l’honorable Oumarou Dogari Moumouni a reçu hier l’ambassadeur de Royaume Uni au Niger, Mme Catherine Inglehearn. A sa sortie d’audience a déclaré qu’elle a échangé avec les responsables de la Ville de
Niamey pour mieux comprendre les défis, la situation et le contexte dans lequel se trouve l’entité. Elle a aussi indiqué qu’elle avait échangé avec le député maire, président du Conseil de Ville de Niamey sur les activités du Royaume Uni au Niger. Cette rencontre, a-t-elle fait savoir, lui a permis de mieux comprendre les priorités du premier responsable de la Ville de Niamey pour son évolution et son développement et d’évoquer la possibilité de coopération entre son pays et le conseil de la Ville. Mme Catherine Inglehearn s’est réjouie d’avoir été reçue par le député maire, président du Conseil de Ville de Niamey. Elle a en fin précisé qu’elle est la première ambassadeur du Royaume Uni avec résidence au Niger avant de noter qu’elle va prendre en considération tout ce qui a été dit lors de la rencontre.
Aïchatou Hamma Wakasso
24 novembre 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A l’international : le Niger célébré à travers sa jeunesse
Décidément, Abdoul Razak Issoufou Alfaga a ouvert les portes de la consécration des nigériens à l’extérieur. Et, les jeunes se succèdent sur les grands podiums internationaux.
« Un temps bienheureux pour le Niger » ! Ainsi s’est exclamé un artiste nigérien à l’annonce de l’attribution du prix spécial UEMOA à notre compatriote, Oumarou Kadry Koda à la 10ème édition de Clap Ivoire à Abidjan pour son film documentaire « Nos faiseurs de bonheur ». Dans ce documentaire, Oumarou Kadry Koda se focalise sur le métier de fabricant des marmites en aluminium au Niger qui « continue (…) de faire le bonheur des foyers ». C’est parti pour une belle carrière cinématographique de l’écrivain et scénariste nigérien qui compte à son actif plusieurs prix dans le domaine de la littérature. D’un Alfaga à un Oumarou Kadry Koda en passant par une Mariam Kamara et un Omar Adamou Harouna, les Nigériens se succèdent sur les grands podiums internationaux.
Pour Mme Mariam Kamara qui n’est personne d’autre que la fille du Président de la République, Issoufou Mahamadou, ce fut le prix d’or au LafargeHolcim Awards à Nairobi qui récompense les meilleurs projets en conception durable, le concours le plus important au monde en la matière, rapporte plusieurs médias internationaux. « L’engagement étroit avec le tissu social et bâti du village, crée une réinterprétation intelligente de la tradition, qui correspond très bien au contexte du projet » ; Dixit le jury qui explique là sa motivation sur son choix porté sur le projet de Mme Mariam Kamara et Yasaman Esmaili qui a consisté à transformer une mosquée en bibliothèque.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat rencontre les ministres de l’UEMOA en charge de l’Agriculture et l’Elevage
Le Président de la République Mohamed Bazoum, a rencontré, hier en fin d’après-midi à son cabinet, les ministres en charge de l'agriculture et de l'élevage des pays membres de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine. Ces responsables régionaux sont présents au Niger dans le cadre des travaux de la 10ème réunion du comité de haut niveau sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Au sortir de l’audience, le président de la commission de l’UEMOA, M. Abdoulaye Diop, a indiqué que la délégation a rencontré le Chef de l’Etat nigérien pour lui rendre compte de la campagne agricole mitigée dans certains pays de l’espace commun et lui présenter les initiatives globales qui visent à améliorer le fonctionnement de la commission à travers un document dénommé « Cap 2025 ». Cette vision, dit-il, promeut une agriculture compétitive et qui génère des ressources pour les acteurs. Il précise que c’est une agriculture inclusive qui vise la création de
« beaucoup d’emplois ».
Le président de la commission de l’UEMOA a indiqué que SE Mohamed Bazoum a donné des orientations « très précises » pour les mois à venir et qui sont consacrées à la préparation du comité de haut niveau sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle qu'il préside et qui se réunira bientôt. « Il nous a donné des orientations pour améliorer les actions que nous menons et a insisté particulièrement sur cette nécessité d'instituer une solidarité parfaite entre les Etats de l'Union économique et monétaire ouest africaine. Il nous a également engagé à améliorer le cadre de préparation et d'intervention de la commission en matière de politique agricole et de reformes dans le secteur de l'agriculture, de l'élevage, et de la pêche », a expliqué M. Abdoulaye Diop.
Par Souleymane Yahaya
22 octobre 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit la Cheffe de la Délégation de l’Union Européenne
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM Issoufou Mahamadou, a reçu hier en fin de journée, l’ambassadeur, cheffe de la délégation de l’Union Européenne au Niger, Dr Denise Elena Ionete. Celle-ci a annoncé à sa sortie d’audience qu’elle a eu un entretien très riche avec le Président de la République car ‘’le partenariat qu’il y’a entre le Niger et l’Union Européenne est très substantiel’’.
En effet, a-t-elle indiqué, elle a fait un suivi des différentes initiatives de haut niveau, tel que celui de la réunion virtuelle de haut niveau entre le président du Conseil Européen et les chefs d’Etat et de Gouvernement du G5 Sahel. Aussi, a-t-elle ajouté, au cours de ces entretiens, ils ont évoqué le suivi de l’alliance Europe Afrique qui, selon elle, va se développer encore, notamment avec le nouveau domaine de travail qui est celui de la santé. « Cette alliance va se dynamiser encore plus avec la création de 5 plates-formes, dont la 5ème est la santé ; une plateforme supplémentaire », a déclaré Dr Denise Elena Ionete.
L’ambassadeur, cheffe de la délégation de l’Union Européenne, a confié qu’elle a recueilli quelques propositions de la part du Président de la République, SEM Issoufou Mahamadou : « je pense que le Niger aura une vision très avancée et très développée sur le fonctionnement de ces grandes plates-formes et de partenariat quant à l’alliance Europe Afrique », a-t-elle estimé.
Elle a en outre ajouté que d’autres sujets, qui sont des matières courantes de partenariat, ont également été évoqués. Il s’agit de sujets touchant le domaine de la sécurité, tant les appuis aux différents services de sécurité et aux structures de défenses mais également d’autres domaines comme la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Il y a aussi des sujets concernant le domaine de la migration, les élections avec l’appui de l’Union Européenne à la CENI, mais aussi la société civile pour s’assurer que les élections de décembre 2020 soient des élections apaisées et crédibles. « Comme nous le disons toujours, c’est le souhait des partenaires et le souhait des Nigériens, pour que les élections se tiennent dans la meilleure des conditions et nous travaillons ensemble pour cela », a-t-elle souligné. « Comme d’habitude, nous avons aussi fait un grand tour d’horizon avec un zoom sur des dossiers très importants et très pertinents, tant pour le Niger que pour l’Union Européenne, et nous continuerons à travailler ensemble pour des meilleurs résultats, encore plus excellents », a conclu Dr Denise Elena Ionete.
Par Aminatou Seydou Harouna
20 novembre 2020
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A la découverte du Canton de Kiota : Chef lieu Harkanassou
L’image de nombreux cantons du Niger, celui de Kiota a pour chef coutumier un ancien haut fonctionnaire de l’Etat. Il s’agit du colonel à la retraite Amadou Seyni Magagi élu le 12 septembre 2013. Il a succédé à un autre haut fonctionnaire, Zarmakoye Maîdanda descendant de la dynastie des Zarmakoye du Boboye connue sous le sobriquet de «Tobili Hu» pour désigner la descendance de Ali Koda, le cadet des fils du grand Tagour Gana, créateur d’un royaume Zarma à Kobi a la fin du 17ème siècle. L’officier supérieur très proche compagnon du Président Seyni Kountché, Amadou Seyni «Maiga », diplômé de l’Institut des Hautes Etudes de Défense et de l’Ecole de Guerre de Paris, a été appelé à faire » valoir ses droit à la retraite au lendemain de la conférence nationale souveraine. Le Zarmakoye qui veille désormais sur la destiné de la communauté coutumière de Kiota (capitale administrative Hari-Kanassou) en dehors du rôle pivot qu’il occupe aujourd’hui au sein de l’Association des Chefs Traditionnel du Niger(ACTN), laisse derrière lui une longue et exceptionnelle carrière miliaire, administratives, politique et diplomatique; jugez plutôt (A titre indicatif) : Aide de camp du Président Diori Hamani (1967), Commandant la 1ère CCAS de Niamey, Préfet (Gouverneur)des département de Niamey, Maradi et Zinder sous les présidents Kountché et Ali Saybou, Ministre de la Santé publique(1980), Secrétaire politique du MNSD parti Etat ( 1989) , Commandant en chef du 1er Bataillon nigérien d’intervention au cours de la guerre du Golfe (1990) puis, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Niger au Koweït (1997). Au titre des distinctions honorifiques le Zarmakoye Amadou Seyni Magagi est Médaillé de 18 décorations nationales et étrangères dont : la médaille Militaire des interventions extérieures, Grand officier de l’ordre de National du Niger, et la distinction exceptionnelle Commandeur de ordre Nationale de de la légion d’honneur française.

CHEF LIEU HARKANASSOU
1. Aspect historique
Le canton de Kiota dont le chef lieu est Harikanassou est situé dans le Boboye (le Dallol Bosso) qui est une vallée fossile (un ancien affluent du fleuve Niger). Selon le Dr Adamou Boubé archéologue à l’Institut de Recherche en Sciences humaines (IRSH), qui a recueilli des informations auprès de Alpha Boukari Hima de Deytagui Amadou, à l époque précoloniale, outre l Emirat qui a régné à Birni Garuré et à Tamakala crée par Boubacar Louloudjé (dont les descendants règnent de nos jours à Birni Bayéro), il existait également d’autres chefferies coutumières parmi lesquels : (1) la chefferie de Goubey, une population d’origine hausa qui seraient parmi les premiers groupes arrivés dans le Dallol Bosso ; (2) la chefferie de «Tokaye » : descendants des Sandi (petits fils de Zarmakoye Tagourou Gana par Boukar ) ; (3) la chefferie de « Tobili Hu », (à laquelle appartient la communauté coutumière de Kiota) issues du deuxième fils de Tagour (Zamo Séga), (4) enfin la chefferie de la descendance de Toman, issue de la dislocation de la chefferie de Tobili Hu (la maison de tobili), suite à une querelle successorale entre deux enfants de Zam (Mahar Sané et Toumanà . La communauté coutumière de Kiota, aujourd’hui canton de Harikanassou, est donc issue de la lignée de Zem par Mahar Sané, petit fils de Ali Koda dont le frère Touman ira créer sa propre chefferie (Zarmakoytarey) à Tessa (dans le Zigui), suite à une révolution de Palais.
2. Aspect géographique
De nos jours, le Canton de Kiota couvre une superficie de 55km2. Il est subdivisé en deux communes rurales : Kiota et Harikanassou. Le Chef-lieu de Canton est Harikanassou. Ce Canton est limité à l’Est par le Sultanat de Dosso, au Nord par le Canton de Koygolo, au Sud et à l’Ouest par le Canton de Birni N’Gaouré, au Nord-Ouest par les Cantons de Kouré et de Dantchandou. La population du Canton de Kiota est composée de Zarma (majoritaire), de Peuhls, de Touaregs et d’Haoussa. Elle est estimée à 60 000 habitants répartis dans 67 villages. Cette population se caractérise par sa jeunesse qui représente près de 65 %. La profondeur de la nappe phréatique varie de moins d’un mètre dans le lit du Dallol à 30 mètres ailleurs sur le plateau.
3. potentialités socio économique et contraintes majeures Les activités économiques dans le Canton sont basées sur le secteur primaire que constituent l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’artisanat, l’extraction du natron et la cueillette, lesquels représentent près de 98% des activités de la population. Le Canton de Kiota est une zone propice aux cultures irriguées. On note l’’existence de nombreuses organisations paysannes qui constituent un levier pour la mise en oeuvre d’actions de développement communautaires compte tenu des ressources humaines qu’elles peuvent mobiliser : Fédération Mooriben, Fédération Adiallé , union Soudji Ma Zoumbou implantée dans l’ensemble des villages des deux la communes et intervenant dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la protection de l’environnement, la protection des moyens d’existences des populations, etc.
4. Aspect touristique,
Au plan touristique, la forte dégradation de la végétation a engendré la disparition progressive de plusieurs espèces importantes telles que les hyènes, les gazelles, les singes, les canards sauvages, les autruches etc. Actuellement, la faune est surtout représentée par les girafes, les oiseaux aquatiques, les rongeurs et des perdrix.On dénombre plus de 300 girafes environ qui mènent leur vie dans les terroirs de 15 des 33 villages administratifs que compte la commune. Le Canton de Harikanassou représente en effet le terroir d’attache des dernières girafes d’Afrique de l'ouest
GENEALOGIE DYNASTIQUE DES ZARMAKOYE DE KIOTA DEPUIS MALI BERO
La ville de Kiota : Haut lieu de l’islam
Priez inlassablement pour votre Seigneur le puissant, le miséricordieux, sollicitez son pardon. ….. Cultivez vos terres car, ce que la terre ne vous donne pas, personne d’autre ne vous le donnera’’, a coutume de dire le Cheik Aboubacar Hassoumi le guide spirituel de la confrérie Tidjaniya.
Son oeuvre immense de bienfaisance (de recherche perpétuelle de la paix, la prospérité pour sa communauté et pour l’ensemble du Niger) est désormais poursuivie avec dévouement et loyauté envers ses disciples par son fils, le Khalife Moussa Aboubacar
Source : SEEDA - Mensuel nigérien d’informations générales
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A là la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le Premier ministre Bissau Guinéen
Le Président de la République, Chef de l’Etat SE. Issoufou Mahamadou a reçu hier en début de soirée en audience à la Résidence présidentielle, le Premier ministre Bissau Guinéen SE. Umaro Sissoco Embalo, qui revenait du Congo. «J’ai profité de mon escale pour venir présenter au Chef de l’Etat, les condoléances du peuple bissau guinéen et exprimer au nom du président de Guinée Bissau et en mon nom propre, la solidarité africaine pour tous les morts enregistrés par le Niger suite aux attaques terroristes», a déclaré M. Umaro Sissoco Embalo. «Nos relations sont au beau fixe avec le Niger. C’est pourquoi, toutes les fois qu’on peut on passe ici pour échanger avec le président Issoufou», a-t-il ajouté, rappelant l’escale récente effectuée récemment à Niamey par le président Bissau Guinéen. À noter que cette audience s’est déroulée en présence de la ministre déléguée aux Affaires étrangères, chargée de l’Intégration africaine et des Nigériens à l’Extérieur, Mme Lamido Ousseini Salamatou Bala Goga.
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A la mémoire de Ousmane dan Galadima, stratège des sawabistes – Gloire aux vaincus !
Peu de Nigériens ont entendu parler de Ousmane dan Galadima, l’homme qui s’est silencieusement éteint à l’âge de 91 ans, dans son terroir de Madaoua, le 5 octobre dernier. Ou s’ils en ont entendu parler, peu connaissent son histoire, et sa signification pour notre histoire. Comme dit le terrible adage latin : vae victis ! Malheur aux vaincus !
Dan Galadima est né à Madaoua en 1927. On connaît mal les détails de ses premières années. Scolarisé, il a d’abord servi l’administration coloniale en qualité d’interprète adjoint mais il s’est très tôt joint à la lutte contre le colonialisme, puisqu’on le retrouve dans le vivier du Parti Progressiste Nigérien (PPN), au milieu des années 1940, alors qu’il avait à peine vingt ans. Durant cette période, dan Galadima a acquis une solide culture marxiste qui a structuré des sentiments patriotiques brûlants, leur donnant une certaine assise idéologique qui sera celle-là même du futur mouvement Sawaba.
Sous l’égide du colonialisme, un nouveau groupe socio-culturel était apparu au Niger de façon assez rapide, entre la fin des années 1910 et le début des années 1940 – les « évolués ». Il s’agissait d’hommes (et de quelques femmes) qui avaient reçu une instruction à l’« école du Blanc » et étaient employés dans ce qu’on appellera plus tard le « secteur moderne » de l’économie et dans l’administration. A l’échelle de l’Afrique Occidentale Française (AOF), les évolués dont le statut était plus privilégié (les fonctionnaires comme Diori et les grands entrepreneurs comme Houphouët) vont peu à peu modérer leur discours anticolonial et révolutionnaire. En 1950, le Rassemblement Démocratique Africain (RDA), dont le PPN était la branche nigérienne, rompit avec le Parti Communiste Français. Ce « désapparentement », comme on l’appela, déplut aux évolués qui défendaient les intérêts des moins privilégiés tels que les petits employés du secteur privé urbain (formel comme informel) et les sans voix du monde rural auxquels ils liaient consciemment leur sort social et politique – bref, le petit peuple.
Du côté des privilégiés (ou de ceux qui avaient l’ambition de devenir des privilégiés) le leadership fut assumé par Diori Hamani (que Houphouët chargea de faire une tournée d’explication du « désapparentement » avec Ouezzin Coulibaly de la Haute-Volta et Mamadou Konaté du Soudan français) et Boubou Hama ; du côté du petit peuple, il fut pris par Djibo Bakary et Ousmane dan Galadima.
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A la place de la résistance : Le ministre Yaou Bakary Sangaré s’exprime sur l’attitude de l’ONU lors de la 78ème session de l’Assemblée générale
La Place de la Résistance sise au rondpoint Escadrille a, le dimanche 1er octobre dernier accueilli un invité exceptionnel. En effet, le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur, M. Yaou Bakary Sangaré a intervenu à la tribune de ce lieu symbolique devant des milliers de citoyens qui se mobilisent depuis plus de 2 mois en soutien aux décisions historiques du CNSP. Dans un discours franc, le ministre Sangaré a expliqué les raisons du refus du SG de l’ONU d’autoriser son discours à la 78ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies (ONU).
C’est dans une ambiance patriotique que le ministre des affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’extérieur M. Yaou Bakary Sangaré a été accueilli à la place de la résistance. Ainsi au cours de son intervention, le ministre a rappelé qu’il a d’abord pris part au sommet G77 de Cuba avant d’assister aux travaux de la 78ème session des Nations Unies. Au sommet du G77, les même gens qui ont voulu perturbé la participation de la délégation Nigérienne à l’Assemblée Générale des Nations Unies, avaient voulu faire pareil, mais Cuba ne leur a pas donné l’occasion. Après, la délégation a assisté au sommet sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) et les rencontres bilatérales menées avec les différents partenaires du Niger. « Au cours de ces rencontres nous avons largement expliqué les raisons qui ont conduit nos forces de défenses et de sécurité à mettre fin à l’ancien régime. Nous avons fait part de l’adhésion du peuple et aussi de toutes les incompréhensions dont le Niger fait l’objet, notamment au niveau des organisations sous régionales », a-t-il expliqué.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a par ailleurs fait savoir qu’à son retour à Niamey aux environs de 2 heures du matin, il était très impressionné par la foule qu’il a trouvée et qui l’attendait malgré l’heure tardive. « Les gens étaient là pour nous témoigner leur soutien et leur détermination à se battre jusqu’au bout pour la reconquête de la souveraineté de notre pays, pour la reconquête de l’indépendance véritable du pays et pour la dignité retrouvé de notre peuple. A New York, le bruit que vous émettez à partir de la place de la résistance était plus bruyant au sein de l’AG des Nations Unies. Les gens faisaient du bruit ici mais nous, on entendait ce qu’ils disaient plus que ce qui sont ici. Ce bruit a contribué à mettre à nu les tentatives de déstabilisation orchestrées par la France », a-t-il dit.

Cependant, a estimé M. Yaou Bakary Sangaré, agir comme l’ONU l’a fait est du mépris. « C’est un manque de respect pour notre peuple en donnant la parole aux délégations du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso, du Gabon qui a connu récemment un coup d’Etat et d’autres pays qui ont connu des coups d’Etat institutionnels et de refuser cette même parole au Niger. On a peut-être pas pris la parole mais on a quand même assisté au sommet des ODD, aux travaux de la 78ème session des Nations Unies jusqu’à la fin. Ceux qui voulaient nous déstabiliser n’ont même pas eu accès à la salle », a-t-il déclaré.
« Aujourd’hui le Niger est devenu la clé de l’actualité internationale. La France ne voulait pas que la délégation nigérienne s’exprime parce qu’elle ne voulait pas qu’elle dénonce le système de prédation de nos ressources dont elle est très friande. Malheureusement pour elle c’est fini. Notre richesse n’appartient qu’à nous » a-t-il ajouté. De ce fait le ministre des Affaires étrangères a exhorté la population à garder le cap, à rester concentrée sur l’objectif. « Le Niger ne sera plus comme avant, le peuple nigérien est désormais uni et solidaire. Alors restons unis et remettons nous au travail », a-t-il conclu.
Salima Hamadou Mounkaila (ONEP)
Source : https://www.lesahel.org
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A la Présidence : Le Chef de l’Etat félicite les joueurs du Mena A’
Le Président de la République, Chef de l’Etat SE Mohamed Bazoum a reçu hier après- midi l’équipe nationale le Mena A’ qui a participé au 7ème Championnat d’Afrique des Nations en Algérie. On rappelle que le Mena A’ a fini 4ème de cette compétition africaine des équipes locales. En s’adressant aux joueurs et encadreurs de l’équipe nationale A’, le Président de la République, Premier capitaine du Mena, a exprimé sa joie de recevoir cette équipe, qui, grâce à ses prouesses au CHAN 2022 a procuré un immense plaisir aux Nigériens. «Il nous arrivent de soutenir des équipes, mais ce sont des équipes d’autres pays, et quand elles gagnent on est très heureux ; mais la forme de bonheur et de joie que j’ai éprouvé de vous voir jouer contre le Cameroun, puis contre le Ghana, je n’ai jamais éprouvé quoi que ce soit de pareil. Et j’ai compris, à l’échelle même de l’individu, le bienfait que peut procurer le bonheur de voir son équipe, l’équipe de son pays, gagner. Je vous félicite ! Harouna Doula, je vous félicite» a dit le Chef de l’Etat à l’adresse des joueurs.
«Nous avons eu beaucoup de prestige, j’écoute les commentaires, il y avait beaucoup de respect dans la façon de parler de notre équipe. Ce sont des choses auxquelles nous ne sommes pas habitués et les commentateurs avaient beaucoup de respect pour Harouna Doula, pour son génie, son talent et la façon d’organiser l’équipe. Nous avons vécu par conséquent des moments singuliers et après évidement, nous avons vu les limites de ce que nous sommes en train de faire et c’est normal. On n’a pas à éprouver quelque gène que ce soit. Il faut regarder ce que nous avons entrepris», a déclaré SE Mohamed Bazoum.
Ce qu’il faut retenir à partir de maintenant, selon le Président de la République, c’est d’être sérieux en matière de sport. «Moi je le serais en tout cas ; je vais vous le dire parce que vous louez un peu trop souvent ce que je fais mais nous ne devrions pas être dans cette situation là. Nous devons régler le problème de façon structurelle et ça ne doit pas tenir à la disponibilité d’une personne, à son humeur, à son état d’esprit sur le moment. Non ! Nous sommes un Etat, nous sommes un pays, nous devons être sérieux. Et on va en finir avec les bricolages, car ce que nous faisons jusqu’à présent est très artisanal. Et nous devons faire ce que font les autres. Nous sommes 25 millions maintenant, on n’est plus les 3 millions d’habitants de 1960. On n’est pas ce petit pays et grâce à Dieu notre population s’est accrue. Et donc votre devoir doit aussi s’accroitre d’autant plus que nous devons avoir des ambitions dans les choses que nous pouvons faire. Il nous faut bien nous préparer. L’équipe du Sénégal qui a remporté le trophée est une équipe constituée de jeunes qui n’ont pas 20 ans, alors que la moyenne d’âge de nos joueurs est supérieure à 20 ans. Il faut préparer les jeunes et il faut définir une politique de préparation des jeunes car nous avons beaucoup de jeunes. Nous sommes le pays qui a le plus de jeunes au monde. 50 % de la population a moins de 15 ans. C’est un grand défi, c’est aussi une grande chance. Alors, il ne faut pas que nous voyons l’aspect défi de la situation. Il faut voir le côté chance et se mettre au travail pour mettre en valeur cette chance.», a-t-il affirmé.
Le Président de la République a aussi promis aux joueurs que dans les prochaines semaines, il va s’asseoir avec la Fédération nigérienne de football pour réfléchir sérieusement afin de définir la politique de sport de façon générale mais du football en particulier. «Nous allons faire des choses de telle sorte que nous puissions mettre en valeur nos atouts. Je sais que nous en avons. Nous avons beaucoup d’atouts et il s’agit de mettre les ressources qu’il faut ; il s’agit de mettre en place l’organisation qu’il faut avec la rigueur requise pour rentabiliser tout cela. Je serai très exigent. Mais pour que je sois exigent, il faut que je fasse en sorte que nous disposions des ressources pérennes pour le financement de sport et du football en particulier. C’est ce que font les autres et nous allons faire comme eux. Nous aurons suffisamment de ressources pour faire le football et nous donnerons des ressources à la mesure de ce que nous possédons», a annoncé le Chef de l’Etat.
Pour le Président Bazoum, aucun atout ne doit être négligé y compris la constitution physique des Sahéliens que nous sommes. «Ce sont des atouts qui jouent en notre faveur. Et nous allons faire en sorte que les Nigériens se passionnent du football à travers l’organisation de nos clubs. Nous allons consacrer le temps qu’il faut à la réflexion nécessaire pour que nous repensions l’organisation de notre football et déjà nous allons soutenir cette équipe là, mais nous allons investir dans l’avenir. C’est cela ma vision», a-t-il conclu.
Pour sa part, le ministre de la Jeunesse et du Sport, M. Sekou Doro Adamou a précisé que le Président de la république a toujours apporté son appui pour le sport et le football doit être le moteur qui va tirer les autres disciplines sportives. Pour sa part, le 1er vice-président de la Fédération nigérienne de Football (Fenifoot), M. Amadou Hadari a salué le soutien du Président de la République à l’équipe du MENA A’.
Yacine Hassane(onep)
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A la Présidence : Le Chef de l’Etat préside une réunion sur le secteur de l’éducation
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum, a présidé, hier matin, une réunion de haut niveau sur le secteur de l’éducation. Cette rencontre qui a réuni autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Chef du gouvernement, SE Ouhoumoudou
Mahamadou, et les responsables des ministères concernés, notamment ceux en charge de l’Education, des Finances et de la Fonction Publique a pour but de réfléchir sur les modalités de recrutement de certaines catégories d’enseignants. Les conclusions de la réunion feront l’objet d’une communication gouvernementale au prochain Conseil des ministres.
13 janvier 2022
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’État reçoit l’Ambassadeur du Royaume d’Espagne au Niger
Le Président de la République, Chef de l’État, SE. Issoufou Mahamadou, s’est entretenu, hier dans l’après-midi, avec l’Ambassadeur du Royaume d’Espagne au Niger, SE. Ricardo Mor Solà, en fin de mission au Niger. Le diplomate espagnol est au Niger depuis juin 2017. A l’issue de cette audience S.E Ricardo Mor Solà a déclaré qu’il est venu faire ses adieux au Chef de l’État. « Pendant tout mon séjour au Niger, j’ai eu l’opportunité de comprendre comment le Niger a évolué. Avec le Président de la République, nous avons aussi discuté de la coopération bilatérale entre les deux pays. En effet, il y a eu beaucoup de domaines dans lesquels le Niger et l’Espagne peuvent travailler ensemble. Nous avons toujours fourni des efforts dans les domaines de la sécurité, de l’Agriculture; la promotion de la femme, et la jeunesse », a précisé le diplomate espagnole, avant de souligner que malgré la situation de la pandémie de la COVID-19, il y’a toujours la volonté de l’Espagne à travailler avec le Niger.
M. Ricardo Mor Solà a également indiqué que leurs échanges ont aussi porté que la question de la Zone de Libre-échange Continentale, dont le siège social du Secrétariat Permanent a été inauguré à Accra au Ghana, le 17 août dernier. L’Ambassadeur espagnol a en outre félicité le Président de la République pour son action diplomatique qui a permis au Niger d’avoir une visibilité sur le plan international. A cet effet, le diplomate espagnol a souligné qu’au mois de septembre prochain, le Niger assurera la présidence par intérim de conseil de sécurité de l’ONU. « Il s’agit d’un travail important pour le Niger du point de vue de la visibilité internationale mais aussi par rapport aux sujets inscrits dans l’agenda. C’est également un moment important pour le Niger dans tous les domaines qui concernent les Nations Unies», a conclu SE. Mor Solà.
Issoufou A. Oumar(onep)
19 août 2020
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A la présidence de la République : Après quoi courent certaines personnes ?
Depuis quelques semaines, deux sujets font l’actualité. Le détournement d’environ cinq milliards à la Banque agricole du Niger et la gestion de la Ville de Niamey. Les plateformes des associations de la presse sont inondées par des articles qui viennent pour la plupart d’animateurs tous issus d’une cellule logée à la présidence de la République. Ainsi en dépit du fait que l’affaire de la Bagri soit pendante à la justice, des personnes identifiées osent donner des informations relativement à cette affaire, sans respect à la présomption d’innocence et surtout sans égards à la confidentialité et au secret de la procédure judiciaire. On peut penser que ces personnes, dans leur rôle, voudraient présenter cette affaire comme la preuve de l’engagement du président de la République de lutter contre la corruption. Cette lutte, présentée comme un cheval de bataille du premier magistrat, semble, en dépit des professions de foi plusieurs fois réitérées, donner peu de résultats. Et c’est normal, pour des gens chargés de l’image du président, de s’agripper à toute affaire de corruption. Seulement, ce scandale de la Bagri semble beaucoup plus sérieux que le traitement qui en est fait. Et l’honnêteté aurait voulu que ces communicateurs en fassent un peu plus pour permettre aux Nigériens d’avoir les moyens de juger et de se faire un avis. Réduire cette affaire à un simple détournement et désigner sans ambages les coupables peut cacher une tentative d’orienter les enquêtes et empêcher aux juges d’aller au fond, sans chercher des ramifications beaucoup plus étendues. Il aurait été utile de rappeler que le péché original est à chercher dans sa création. On se rappelle qu’à la création de cette banque, des voix se sont élevées pour attirer l’attention. La nomination du premier directeur général a été décriée. Et depuis, elle accumule un déficit de cent trente milliards. Dame Aouami, une cadre de l’institution, avait tiré la sonnette d’alarme elle ne fut pas écoutée et fut éjectée de la boîte. Tous ces avertissements n’ont pas eu d’écho. Aucune inspection sérieuse n’a été diligentée. Aucune sanction n’a été prononcée en l’encontre des dirigeants. Certains ont même été récompensés. Il faut aussi dire, au lieu de tirer la couverture sur quelqu’un, qui a débusqué l’affaire. C’est la CENTIF. Même si cette cellule qui relève du ministère des Finances, elle a des partenaires qui veillent principalement au blanchiment d’argent, la source principale du financement du terrorisme et du trafic de drogue. Probablement l’intervention de cette cellule, dans cette affaire, serait due à l’intervention de ces partenaires. Dans ces conditions, il s’agirait plus de blanchiment que de détournement. Qui sont susceptibles de blanchir de l’argent ? Les trafiquants et ceux qui ont depuis plus de dix ans procédé aux pillages des ressources de ce pays et déposé l’argent sous leurs matelas. Voilà pour cette affaire. On sait désormais où chercher les fautifs.
Relativement à la gestion de la ville aussi, les écrits sur les réseaux sociaux viennent aussi pour la majorité du même groupe. Aucun cas de mauvaise gestion n’y transparaît. Il n’y a que de la littérature. L’objectif est de dénigrer. Le président du Conseil de Ville semble être, sans raison, dans le collimateur de certaines personnes. Si l’on sait qu’en 2013, Oumarou Dogari a été victime, dans les mêmes conditions, des roses, il va sans dire que, quelque part, certains cherchent une duplication. Ils doivent se dire que l’histoire ne se répète pas. Même si les initiés en philosophie pourraient brandir Hegel qui, un moment, a estimé que l’histoire peut se répéter. Heureusement qu’un autre philosophe- que les roses connaissaient et dont ils ont oublié les enseignements une fois au pouvoir- a dit que Hegel a oublié d’ajouter : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce. A moins que tout ceci n’est qu’une manière de se faire de l’argent. Profitant de leur position du moment, dans le rouage des hautes institutions, où les voix sont autorisées, pour intimider et se faire par la suite du blé. Du chantage en clair. Toutes choses que le président de la République a promis de combattre.
Modibo
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A la Présidence de la République : La Cour des Comptes présente son rapport 2021 au Chef de l’Etat
Les membres de la Cour des Comptes sont allés, hier mardi 19 avril 2022, au Palais de la Présidence de la République, présenter au Chef de l’Etat le rapport général public établi par la Cour au titre de l’année 2021. Ce rapport, faut-il le rappeler, est prévu par la loi organique régissant la Cour des Comptes et qui lui fait obligation de l’établir. Il contient deux parties.
La première est consacrée au suivi des recommandations formulées antérieurement et la seconde partie est constituée des observations faites par la Cour au titre de l’année 2021. Ledit rapport a été présenté au Chef de l’Etat en présence du ministre de la Justice, garde des sceaux, M. Ikta Abdoulaye Mohamed. «Le suivi des recommandations a révélé qu’il y’en a qui ont été complètement mises en œuvre, certaines ont fait l’objet d’une mise en œuvre partielle, d’autres n’ont pas été du tout mises en œuvre», a indiqué le premier président de la Cour des Comptes, Pr. Narey Oumarou.
En ce qui concerne les observations, la cour a, selon le premier président, procédé par activité. Sur les opérations de l’Etat dont la première chambre est chargée, «la Cour a relevé un certain nombre de dysfonctionnements, des irrégularités dans le cadre de la conduite de ses opérations», a-t-il déclaré.
La seconde activité menée par la cour, porte sur les opérations des collectivités territoriales. «A ce niveau également, la Cour a relevé des irrégularités dans la gestion des collectivités territoriales ainsi que des dysfonctionnements dans le cadre de la mise en œuvre des activités par lesdites collectivités», a ajouté le premier président de la Cour des comptes. Pareil dans la gestion des sociétés, entreprises et projets, où la cour des comptes constate également des irrégularités et des dysfonctionnements en leur sein.
Les partis politiques qui sont tenus de produire annuellement des comptes et des comptes des élections, sachant qu’au Niger nous avons connu au cours de la période des élections générales, n’ont pas aussi répondu aux exigences de la cour. «Nous avons constaté beaucoup de dysfonctionnent au sein des partis en matière de production des comptes, mais aussi dans les comptes des élections. Rares sont les partis politiques qui les ont produits. Et même ceux qui sont produits ne sont pas en état de permettre à la Cour de se prononcer sur leur régularité et leur sincérité», a déploré le premier président de la Cour des comptes.
Enfin, s’agissant de la déclaration des biens des personnalités assujetties, à ce niveau aussi la Cour de compte déplore que d’autres ne l’ont pas fait dans le délai imparti, même s’il y’en a qui se sont acquittés régulièrement dans le délai. «D’autres n’ont même pas daigné le faire», a révélé Pr. Narey qui dit avoir présenté la situation au Président de la République, Chef de l’Etat, SE Bazoum Mohamed.
Ismaël Chékaré(onep)
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A la Présidence de la République : La diaspora Nigérienne en Chine apporte un soutien de 6,5 millions de FCFA au CNSP dont 1,5 million au comité chargé de veille citoyenne
Depuis l’annonce de la création du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, les bonnes volontés continuent d’apporter leurs appuis. Ainsi, les citoyens nigériens de l’intérieur comme de la diaspora continuent à se mobiliser. C’est dans ce cadre que la diaspora nigérienne en Chine a remis hier à la Présidence de la République, une somme de 5 millions de FCFA en guise de soutien aux actions du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP).
Cette réponse patriotique vise à réponde à l’appel lancé il y a quelques jours par le CNSP. C’est la présidente du Comité de gestion du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, Mme Brah Réki Moussa Djermakoye qui a réceptionné cette contribution en présence du Secrétaire Permanent du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, le Colonel Sahabi Sani.
Pour rappel, la communauté Nigérienne en Chine a d’ores et déjà fait un autre geste de 1,5 million de FCFA à l’endroit du comité en charge de la‘’ Veille Citoyenne’’ au niveau du Rond-point escadrille.
En réceptionnant cet appui, la présidente du Comité de gestion du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, a salué cet effort de la diaspora Nigérienne en Chine, un appui qui traduit l’attachement de ces concitoyens à la vision du CNSP. «Votre contribution exprime la vitalité du patriotisme qui vous anime. Au nom du Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, nous vous exprimons nos sincères remerciements et notre gratitude pour cette contribution», a déclaré Mme Brah Réki Moussa Djermakoye.
Pour sa part, le président de la Communauté Nigérienne vivant en Chine, M. Abdou Gatti Ali a dit que cette contribution vise à soutenir le CNSP. « Nous faisons partie des premiers Nigériens à l’extérieur à se mobiliser pour apporter leur soutien aux autorités de notre pays mais certaines contingences ont fait en sorte que cela a pris un léger retard. Dieu merci, c’est chose faite. D’ores et déjà, depuis le 5 septembre 2023, nous avons fait un autre geste de 1,5 million de FCFA au comité en charge de veille citoyenne au niveau du rond-point Escadrille pour qu’il puisse continuer son combat», a-t-il indiqué. « Nous sommes de cœur avec le CNSP. Nous suivons avec intérêt l’actualité du pays. Nous prions pour que le Niger retrouve la paix, la sécurité et se lance sur la voie de son développement», a-t-il conclu.
Mamane Abdoulaye (ONEP)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l'État a accordé une série d'audiences à plusieurs personnalités
Le Président de la République, Chef de l'État, SE. Mohamed Bazoum a accordé hier mardi 26 octobre 2021 une série d'audiences à plusieurs délégations. Ainsi, le Chef de l'État a successivement reçu SE. Linda Thomas Greenfield, Ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies, le président du CESOC M. Mairou Malam Ligari et une délégation des Leaders Paysans et les Organisations de la Société Civile.
Concernant la première audience accordée à l'ambassadrice des Etats Unis auprès des Nations Unies, les deux personnalités ont passé en revue la façon dont les deux pays travaillent ensemble sur les ''4D'' à savoir, la Diplomatie, le Développement, Démocratie et la Défense. SE. Linda Thomas Greenfield a rappelé qu'elle a eu à rencontrer plusieurs autres membres du Gouvernement dont le Ministre de la Défense Nationale, M. Alkassoum Indatou. "Je voudrais exprimer ma reconnaissance au Président Bazoum et à tous les autres d'avoir pris le temps de discuter de questions d'intérêt commun. Lors de notre rencontre, j'ai réitéré les félicitations du Gouvernement des États Unis au Président Bazoum pour son investiture. J'ai félicité le Président Bazoum particulièrement pour la première passation de pouvoir pacifique et démocratique au Niger d'un président à l'autre'' a-t-elle déclaré.
La deuxième audience accordée à la délégation du CESOC consistait à présenter des civilités et féliciter le Président de la République pour son élection à la magistrature Suprêmes du Niger. A l'issue de cette audience le président du Conseil Économique Social et Culturel, M. Mairou Malam Ligari a rappelé que l’institution a démarré sa deuxième session ordinaire au titre de l'année 2021 ce lundi 25 octobre dernier. Au cours de cette session, le CESOC a invité des illustres personnalités dont le président du conseil économique et social du Bénin et celui du Mali et le président de l'association des Chefs traditionnels de l'Afrique Unie. ''Nous avons voulu rencontrer SE. Mohamed Bazoum pour lui présenter nos civilités. Nous sommes également venus auprès du Président de la République afin de le féliciter pour son élection à la magistrature suprême de notre pays et le saluer pour tous les intérêts qu'il a marqués de collaborer avec le CESOC, pour faire en sorte que l’institution puisse jouer véritablement son rôle auprès du pouvoir Public'' a expliqué M. Mairou Malam Ligari.
Pour la troisième audience avec les acteurs de la société civile et les leaders des organisations paysannes, les échanges ont porté sur la question du financement de l'agriculture et l'élevage, la campagne agricole déficitaire dans certaines zones, la proposition de loi émanant des Organisations de la société civile et paysannes, notamment le droit à l'alimentation portée et soumise au Gouvernement par un parlementaire, etc. « Nous avons souhaité que cette proposition devienne une loi qui va protéger tout le monde et qui va résolument engager l'Etat du Niger sur la voie de la concrétisation du droit à l'alimentation. Vous savez que le droit à l'alimentation est une loi fondamentale qui est déjà consacrée par des instruments juridiques internationaux et par la Constitution de la République du Niger. Le Président de la République avait déjà pris l'engagement étant candidat aux élections présidentielles de soutenir cette initiative. Le Président a également parlé de sa vision et ce qu'il compte faire pour le monde rural'' a annoncé M. Moussa Tchangari acteurs de la Société Civile nigérienne.
Dans l’après-midi, le chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum a reçu les membres du Syndicat National des Enseignants et Chercheurs du Supérieur (SNECS). A l’issue de l’audience, le secrétaire général du Bureau Exécutif du SNECS, M. Bakasso Sahabi a indiqué que plusieurs questions relativement au bon fonctionnement des universités publiques ont été évoquées, notamment la construction des infrastructures, les subventions des universités, le recrutement des enseignants et chercheurs, etc. « Nous sortons satisfaits de cette rencontre. Nous avons eu quelques séances de suspension des cours, précisément à l’université de Niamey et avant cette rencontre le problème a été résolu », a rassuré le secrétaire général du BEN SNECS M. Bakasso Sahabi.
Abdoul-Aziz Ibrahim
27 octobre 2021
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A la Présidence de la République : Le Chef de l'Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l'Etat, Chef suprême des armées, SE. Issoufou Mahamadou, a présidé, hier matin, la réunion du Conseil national de sécurité. Cette instance regroupe, autour du chef de l'Etat, le Premier ministre, Chef du gouvernement, les ministres en charge de l'Intérieur, de la Défense, de la Justice, des Affaires Etrangères et des Finances, ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité.
Onep
13 septembre 2017
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A la Présidence de la République : Le Chef de l'État préside le Conseil National Sécurité
Le Président de la République, Chef de l'État, SE. Issoufou Mahamadou a présidé, hier dans la matinée, la réunion du Conseil national de Sécurité. Cette instance regroupe autour du Chef de l'Etat, le Premier ministre, Chef du gouvernement ; les ministres en charge de l'Intérieur et de la Sécurité publique ; de la Défense nationale ; de la Justice ; des Affaires étrangères et de la Coopération ; des Finances ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité.
17 avril 2019
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À la Présidence de la République : Le Chef de l'Etat préside une réunion sur la mobilisation des ressources pour la mise en œuvre du programme de la Grande Muraille Verte
Le
Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum a présidé hier matin au Palais de la Présidence une réunion sur le programme de la Grande Muraille Verte(GMV). Cette réunion vise la création des conditions nécessaires pour une mobilisation des fonds au profit de cet important projet. Étaient présents à cette réunion, le Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Ouhoumoudou Mahamadou, des membres du Gouvernement, des acteurs impliqués dans le cadre de la mise en œuvre du programme GMV, etc.
Lors de cette réunion, les participants ont discuté des opportunités et possibilités qui s’offrent au Niger pour proposer des projets bancables qui seront introduits au niveau de la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification afin de bénéficier davantage de fonds pour la réalisation de cette initiative.
Au sortir de la réunion, la ministre de l’Environnement et de la Lutte Contre la Désertification, Mme Garama Saratou Rabiou Inoussa, a déclaré qu’à l’issue du »One Planet Summit », ce sont environ près de 19 milliards de dollars qui ont été mobilisés pour la mise en œuvre de la Grande Muraille Verte. A ce jour, a-t-elle précisé, sur les 19 milliards de dollars, seulement 6 milliards de dollars sont mobilisés pour les pays, dont 1,3 milliards de dollars pour le Niger. Et cela est reparti entre les différents bailleurs de fonds comme la Banque Mondiale, le FIDA, l’Union Européenne, etc.
« Comme vous le savez, la mise en œuvre de la Grande Muraille Verte concerne beaucoup de secteur notamment l’environnement, l’agriculture, l’hydraulique, l’élevage, l’énergie, etc. C’est pourquoi, le Président de la République nous a réunis pour nous instruire d’instaurer une task-force qui va réunir tous les acteurs concernés par la Grande Muraille Verte afin de proposer urgemment des projets que nous allons soumettre pour mobiliser plus de fonds au profit du Niger », a déclaré la ministre de l’Environnement et de la Lutte Contre la Désertification.
Pour rappel, la Grande Muraille Verte (GMV), est une initiative qui a pour vocation de lutter contre les effets du changement climatique et de la désertification en Afrique. Elle est l’expression d’une coopération des Etats dans la lutte face aux défis environnementaux et climatiques.
Abdoul Aziz Ibrahim(onep)
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À la Présidence de la République : Le Chef de l'Etat reçoit le président du CESOC, l’ambassadeur d’Algérie au Niger et l’Envoyé spécial de la présidence française du Conseil de l’UE
Le Président de la République, Chef de l’État, SE Mohamed Bazoum, a successivement reçu, hier matin en audience, une délégation du Conseil Economique, Social et Culturel (CESOC) conduite par le président de ladite institution, M. Mairou Mallam Ligari, et l’ambassadeur d’Algérie au Niger, SE. Ali Drouiche. Dans l’après midi, le Chef de l’Etat s’est entretenu avec SE. Alain Holleville, ambassadeur, envoyé spécial de la présidence française du Conseil de l’Union Européenne pour la préparation du sommet entre l’Union Européenne et l’Union Africaine, prévu du 17 au 18 février 2022 à Bruxelles.
A l’issue de la première d’audience, le président du CESOC a précisé que son institution a demandé cette entrevue afin de se conformer à un exercice consacré par les textes qui déterminent l’organisation et le fonctionnement du CESOC. Au cours de cette audience, le président du CESOC a présenté au Chef de l’Etat le rapport de la deuxième session ordinaire du Conseil Économique Social et Culturel et son nouveau plan d’actions de développement. »Le Président de la République a reçu le rapport du CESOC et il nous a marqué toute son attention dans les activités que nous sommes en train de conduire. Il a marqué également l’intérêt sur tous les thèmes qui ont été développés et nous a promis son accompagnement pour que le Conseil Économique Social et Culturel puisse continuer à jouer pleinement son rôle sur l’échiquier politique national », a déclaré M. Mairou Malam Ligari.

Au cours de la deuxième audience accordée à l’ambassadeur de la République Algérienne, démocratique et populaire au Niger, plusieurs questions ont été évoquées, notamment l’état des relations de coopération entre l’Algérie et le Niger, les différents projets que l’Algérie compte mettre en œuvre au Niger, relativement au secteur de la santé et des affaires religieuses, la situation sécuritaire, etc. Ainsi, l’ambassadeur d’Algérie a confié qu’un certain nombre de projets ont été décidés par le président algérien au profit du Niger et qui seront mis en œuvre par l’Agence Algérienne de Coopération Internationale pour la Solidarité et le Développement.
»Nous avons évoqué des résultats de la visite officielle du Président de la République SE. Mohamed Bazoum en Algérie en juillet dernier, notamment la réouverture de la frontière terrestre entre l’Algérie et le Niger qui a permis la reprise des échanges commerciaux, des exportations algériennes vers le Niger et également la tenue de la commission mixte de coopération bilatérale en particulier le comité frontalier bilatéral qui s’est tenu il y a deux mois. Nous avons également évoqué la perspective de la grande commission mixte Algéro-nigérienne qui est de nature à impulser une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale », a expliqué SE Ali Drouiche.
Par ailleurs, l’ambassadeur d’Algérie au Niger d’ajouter avoir saisi cette occasion pour écouter les avis du Président de la République, ses orientations et ses appréciations sur un certain nombre de questions régionales d’intérêt commun qui concernent les deux pays. «Nous avons évoqué la crise malienne, ses répercussions sur la sous-région et l’initiative de l’Algérie de faciliter le dialogue pour essayer de trouver une issue à cette impasse qui est préjudiciable au peuple malien en premier lieu mais également à tous les pays de la sous-région de la CEDEAO. Nous avons évoqué les tristes événements qui viennent de survenir ces dernières heures au Burkina, situation qui tend à toucher, malheureusement après le Mali, la Guinée, le Burkina Faso», a déclaré l’ambassadeur d’Algérie au Niger.

En fin d’après-midi, le Chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum a reçu SE. Alain Holleville, ambassadeur, envoyé spécial de la Présidence Française du conseil de l’Union Européenne pour la préparation du sommet entre l’Union Européenne et l’Union Africaine, prévu du 17 au 18 février 2022 à Bruxelles.
Le but de cette rencontre, selon l’envoyé spécial, est d’apporter aux plus hautes autorités du Niger les informations disponibles à un mois du sommet UE-UA et aussi de recueillir les questions et les manifestations d’intérêt du Niger dans la préparation dudit sommet. «Le dernier sommet entre l’Union Européenne et l’Union Africaine s’est tenu en 2017 à Abidjan, il y a eu une alternance entre un sommet en Afrique, un sommet en Europe. Les circonstances sanitaires ont fait que la tenue de ce sommet de Bruxelles a été décalée. Nous tenons tous à ce que ce sommet puisse se dérouler aux dates prévues, c’est à dire les 17 et 18 février», a déclaré SE. Alain Holleville.
Abdoul-Aziz Ibrahim(Onep)
25 janvier 2022
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l'Etat reçoit une délégation du Waqf et le président de la BAD
Le Président de la République, Chef de l'Etat, SE. Mohamed Bazoum a respectivement reçu hier après-midi, les responsables de la Haute Autorité du Waqf (HAWAQF) et le président de la Banque Africaine de Développement, M. Akinwumi Adesina.
La première audience accordée à la délégation de la Haute Autorité du Waqf, conduite par le président du Conseil d'Orientation et de Contrôle de ladite institution, Dr Hamid ALGABID, a pour objectif de faire le point de la mise en œuvre du chantier du Waqf et de ses perspectives.
A l’issue de l’audience, la Directrice Générale du Waqf, Mme BANA Khadijah DIALLO a précisé que Dr Hamid ALGABID a félicité et remercié le gouvernement Nigérien pour la mise en œuvre du cadre règlementaire pour la promotion du Waqf au Niger. Elle a notifié que le président du Conseil d’orientation et de contrôle du Waqf a ensuite rendu compte à son SE. Mohamed Bazoum des activités de la Haute autorité du Waqf durant les deux années d’activités. Il s’agit entre autres de la gestion du 1er fonds Waqf public des ayants droits des agents des FDS tombées sur le champ d’honneur, des campagnes de sensibilisation et de familiarisation du concept du Waqf à l'endroit des parties prenantes dans la chaine de décision pour le développement du Waqf au Niger.
S’agissant des perspectives 2022 de la HAWAQF, placée sous «l'année d'offensive pour la mobilisation des ressources» au niveau national, sous-régional et l'international, Mme BANA Khadijah DIALLO, a annoncé qu’un plan d'actions a été déjà élaboré avec une série d’activités dont la tenue de la conférence internationale sur les investissements Waqf en 2022 au Niger, etc. «Nous sommes venus informer le Chef de l’Etat de toutes nos initiatives et recueillir ses instructions concernant la tournée de plaidoyer et les objectifs à atteindre. Dr. Hamid ALGABID a informé et recueilli les instructions de SE Mohamed Bazoum sur la campagne de plaidoyer dans quelques pays membres de l'OCI qui ont une expérience avérée dans la gestion du Waqf. Le Président de la République a réitéré tout son soutien à la Haute autorité du Waqf et a rappelé que le Niger réunit tous les critères pour bénéficier des retombées du Waqf» a déclaré la Directrice Générale du Waqf.
Quant à la deuxième audience, elle a été accordée au président de la BAD. Les échanges entre le Chef de l’Etat et M. Adesina ont porté sur des sujets relatifs au développement en Afrique. Selon le président de la Banque Africaine de Développement, M. Akinwumi Adesina, le Niger joue un rôle très important dans la région, particulièrement au Sahel. Cette audience a été l’occasion pour M. Akinwumi Adesina de féliciter SE. Mohamed Bazoum pour ses efforts dans le cadre de la sécurisation et l’intégration de la région du Sahel. «Je suis venu pour partager avec le Président de la République les défis liés aux changements climatiques, l’impact des conflits, les mesures à prendre pour pouvoir réagir efficacement contre le changement climatique et l’insécurité, etc. Nous avons partagé des idées sur comment la Banque Africaine de Développement peut apporter beaucoup plus pour le développement du Niger et des autres pays. Je peux vous dire qu’au niveau de la BAD nous avons une relation excellente avec le Niger», a déclaré M. Akinwumi Adesina.
Abdoul-Aziz Ibrahim(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat a assisté aux obsèques officielles de l’ancien Premier ministre Elhadj Souley Abdoulaye
Le Président de la République, SE Mohamed Bazoum a assisté hier mardi 7 mars 2023, à la cérémonie officielle des obsèques nationales organisées en l’honneur de M. Souley Abdoulaye, ancien Premier ministre, rappelé à Dieu le Mercredi 1er Mars 2023 à Paris des suites d’une maladie.Tenue au sein du Palais de la Présidence, cette cérémonie émouvante a permis, aux membres de la famille, aux responsables de l’Etat, aux proches amis et collaborateurs, de dire un «au revoir» au défunt. C’est dans une ambiance où tristesse et compassion se lisaient sur les visages qu’un détachement spécialisé du Groupement national des sapeurs-pompiers procédait à la mise en place du corps de l’ancien Premier ministre.
Dans l’oraison funèbre qu’il a prononcée à cette occasion, son ami et frère, M. Moustapha Kadi Oumani a loué les hautes qualités personnelles du défunt ainsi que ses mérites professionnelles au service de l’Etat. On retient qu’Elhadj Souley Abdoulaye était un homme de valeur, toujours heureux, fier, généreux et courageux. Son intelligence, sa modestie et sa force de conviction étaient unanimement respectées et faisaient honneur au Niger. «Elhadj Souley Abdoulaye, symbolisait dans la plus grande courtoisie ce qui unit et rassemble, par-delà les différences», déclare M. Moustapha Kadi Oumani. Elhadj Souley Abdoulaye savait traiter chacun avec civilité et égard au point où certains le qualifiaient de ‘’monument de la simplicité et de la générosité’’.
Né en 1956 à Kaoura Acha dans le département de Illéla, Elhadj Souley Abdoulaye a, durant son jeune âge, escaladé les collines, traversé les vallées, arpenté les sentiers sinueux des campagnes et bravé les intempéries pour construire sa vie au point de se hisser à un niveau de responsabilité avec l’envie tenace de toujours servir son pays. Il était un travailleur infatigable qui a constamment une passion pour le travail. C’est cette passion qui lui a permis d’intégrer la BDRN au début de sa carrière. Et, de gravir les échelons jusqu’à occuper le poste de directeur central des engagements.
Ces mérites lui ont valu une expérience des plus enrichissantes. De ce fait, il fut Premier ministre, Chef du gouvernement (du 28 septembre 1994 au 8 février 1995) puis, ministre du Commerce, des Transports et Tourisme (de 1996 à1997 sous la présidence de feu Ibrahim Baaré Mainassara), ministre de l’Intérieur chargé de la Police et de la Sécurité intérieure (de 1997 à 1999). Une vie pleine de mérite. Partout (plus précisément au Bénin, au Togo et en Côte d’ivoire) où il a servi, le défunt a rempli sa part de mission avec honneur et dignité.
«Durant toute sa vie, Feu Elhadj Souley Abdoulaye a su faire passer l’intérêt supérieur de la Nation avant le sien. Même au plus haut de ses responsabilités, combien complexes parfois, il a su garder la foi en notre pays et la loyauté envers les autorités nationales», a souligné M. Kadi, le visage morne et la voix enroué par l’émotion, ajoutant que ces mots ne peuvent à eux seuls exprimer toute la profondeur de la douleur et la compassion ressenties suite à cette disparition.
Après la lecture de ces mots chargés de compassion, une prière a été dite par le président de l’Association islamique pour le repos de l’âme du défunt.
Le Chef de l’Etat s’est recueilli devant la dépouille mortelle, ainsi que le Premier ministre, le 2ème Vice-président de l’Assemblée nationale, le Haut représentant du Président de la République et l’ancien Président de la République du Niger Issoufou Mahamadou. Par la suite, le corps du défunt a été transporté au cimetière musulman de Yantala où il a été inhumé.
Rahila Tagou(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat a reçu le Premier ministre Tunisien
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Issoufou Mahamadou, a reçu hier matin en audience, le Premier ministre Tunisien, M. Youssef Chahed, qui a achevé dans l’après-midi, sa visite de travail dans notre pays.
A sa sortie d’audience, le Chef du gouvernement tunisien a déclaré avoir échangé avec le Chef de l’Etat, sur plusieurs questions d’intérêt commun touchant les deux pays. Les échanges ont porté sur les relations historiques entre la Tunisie et le Niger, les défis que les deux Etats visent en ce moment en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme ; la lutte contre l’immigration illégale. Face à ces défis a précisé le Premier ministre Tunisien, «le Niger et la Tunisie vont davantage renforcer leur collaboration».
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat a reçu une délégation de la fondation Konrad Adenauer
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM. Issoufou Mahamadou, a reçu, hier, en audience une délégation conduite par M. Tinko Weibezahl, Directeur de Programme Commadant (Res), en charge du Programme pour le Dialogue sur la sécurité en Afrique Subsaharienne à la fondation Konrad Adenauer.
Au terme de l’audience, le Directeur de Programme à la Fondation Konrad Adenauer a confié que l’objectif de leur entretien avec le Chef de l’Etat était de lui présenter la publication intitulée « Le Renseignement en Afrique de l’Ouest, Etat des Lieux et Perspectives ».
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat adresse des messages aux dirigeants de différents pays frères et amis du Niger
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM. Issoufou Mahamadou, a adressé, hier, des messages aux dirigeants de différents pays frères et amis du Niger. C’est ainsi qu’il a adressé un message de félicitations au Président de la République Populaire de Chine, SEM. Xi Jinping, à l’occasion de la célébration du 68ème anniversaire de la République chinoise ; un message de félicitations à Sa Majesté Salman Bin Abdoul Aziz Al Saoud; Serviteur des Deux Saintes Mosquées, Roi d’Arabie Saoudite, à l’occasion de la célébration de l’anniversaire de sa fête nationale ; un message de félicitations à la Chancelière de la République Fédérale d’Allemagne, SE. Mme Angela Merkel, suite à sa réélection ; et enfin un message de condoléances et de compassion au Président de la République de Cuba, SEM. Raul Castro, suite aux dégâts occasionnés par le passage de l’ouragan Irma. (Lire ci-dessous les différents messages tels qu’ils sont libellés)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat échange avec les membres de l’OPIN sur la question de l’éducation
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum a échangé, le vendredi 3 mars dernier avec les membres de l’Organisation des Professionnels de l’industrie du Niger (OPIN). Cette rencontre s’est déroulée en présence du Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Ouhoumoudou Mahamadou, de la présidente de l’Organisation des Professionnels de l’Industrie du Niger, Mme Maidah Mamoudou Zeinabou, des représentants des Ministères concernés notamment ceux en charge de l’Education. Il s’agit pour les acteurs présents, de discuter avec le Chef de l’Etat au sujet de l’éducation et surtout de contribuer à travers des propositions concrètes qui peuvent aider le Chef de l’Etat dans sa volonté de reformer le secteur éducatif.
A l’issue de ces échanges qui ont duré plusieurs heures, la présidente de l’Organisation des Personnels de l’Industrie du Niger, Mme Maidah Mamoudou Zeinabou, a rappelé que l’éducation est l’une des préoccupations majeures du Chef de l’Etat. «Nous venons de rencontrer le Président de la République avec la Section Industrie et Arts Graphiques. L’un des axes majeurs du Programme de la Renaissance Acte 3 du Président Mohamed Bazoum est fortement basé sur la redynamisation du système éducatif. Il est de ce fait normal pour nous de venir discuter avec lui de toutes les opportunités et de l’appui qu’on peut lui apporter dans la refonte du système éducatif», a-t-elle déclaré.
Rappelons que la Politique éducative du Niger est basée sur l’accroissement des capacités d’accueil des établissements scolaires, des centres de formation professionnelle et des Universités, la scolarisation de la jeune fille, le développement du capital humain et la gouvernance de l’école en faisant en sorte que des mesures d’ordre institutionnel soient édictées et respectées.
Mamane Abdoulaye(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat Issoufou Mahamadou préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Issoufou Mahamadou a présidé, hier matin à la Présidence de la République, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Ont pris part à cette rencontre, le Premier ministre, Chef du gouvernement, S.E Brigi Rafini, le ministre Directeur de Cabinet du Président de la République, Ouhoumoudou Mahamadou, le ministre de la Défense Nationale, Pr Issoufou Katambé, le ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé du Budget, Ahmat Jidhoud, ainsi que les responsables des Forces de Défense et de sécurité (FDS), dont ceux des Armées, de la Gendarmerie nationale, de la Garde nationale du Niger et de la Police nationale. Le Conseil national de sécurité est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité et à la défense nationale, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Mahamadou Diallo
29 juillet 2020
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la 1ère Session du Conseil Supérieur de la Magistrature au titre de l’année 2022
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, SE Mohamed Bazoum, a présidé, hier matin, l’ouverture des travaux de la première session du Conseil Supérieur de la Magistrature au titre de l’année 2022. Cette réunion a regroupé autour du Chef de l’Etat, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, les présidents des hautes juridictions et d’autres membres du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette importante instance a pour principale fonction de gérer la carrière des magistrats, de se prononcer sur les questions relatives à la déontologie des magistrats ainsi que sur toute question relative à l’amélioration du fonctionnement de l’institution judicaire.
A l’ouverture de cette session, le Président Mohamed Bazoum a évoqué certains disfonctionnements de la justice, la nécessité de restaurer la confiance des citoyens vis-à-vis de la justice, le sens de responsabilité des magistrats, le renforcement des Cours d’Appel en ressources humaines et une bonne gestion de la carrière des magistrats. Par ailleurs, le Président de la République a réitéré son vœu le plus cher sur la base duquel le Peuple Nigérien a porté son choix sur lui, celui de l’instauration de la bonne gouvernance en milieu judicaire, c’est-à-dire une justice de qualité, une justice juste, équitable et impartiale, respectueuse des droits et libertés de chaque citoyen. Bref, une justice qui rassure les citoyens honnêtes en même temps qu’elle traque les délinquants grands ou petits, riches ou pauvres.
(Nous-y reviendrons).
Mamane Abdoulaye(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la première session du Conseil d’orientation stratégique de l’Office National de la Population
La première réunion du Conseil d’orientation stratégique de l’Office National de la Population (ONP) s’est tenue hier matin au Palais de la Présidence de la République sous l’égide du Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum. Cette rencontre axée sur la population notamment le dividende démographique a regroupé autour du Chef de l’Etat, outre le Premier ministre par intérim, le ministre d’Etat, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, M. Hassoumi Massoudou, une dizaine de membres du gouvernement concernés par les questions démographiques.
Au cours de cette rencontre, élargie à d’autres personnes ressources, les participants ont statué sur le point inscrit à l’ordre du jour à savoir l’examen et l’adoption du Plan d’Action de l’office et bien d’autres points y afférents. Notons que l’ONP a pour mission principale la maitrise de la croissance démographique et la capture du dividende démographique. Il s’agit, de manière spécifique pour l’ONP, d’élaborer et de mettre en œuvre, à travers les ministères sectoriels concernés, une politique et une stratégie d’accompagnement de la transition démographique.
Mamane Abdoulaye(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Comité de haut niveau sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans l’espace UEMOA
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Issoufou Mahamadou, a présidé, vendredi matin au Palais de la Présidence, la réunion du Comité de Haut niveau sur la sécurité alimentaire dans l’espace UEMOA, comité dont il assure la présidence. Cette rencontre intervient au lendemain de la 6ème réunion des ministres de l’Agriculture et de l’Elevage de l’espace UEMOA, qui s’est tenue jeudi dernier à Niamey.
Elle s’est déroulée en présence du Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Brigi Rafini, du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, M. Albadé Abouba, du président de la Commission de l’UEMOA, M. Abdallah Boureima, ainsi que des représentants des ministres en charge de l’Agriculture des pays membres de l’espace communautaire, des experts et partenaires techniques et financiers.
La réunion visait entre autres à faire le point sur les dernières décisions arrêtées lors des travaux du Comité de Haut niveau, d’entériner et faire des projections, les meilleures, capables de faire face aux besoins et aux défis de sécurité alimentaire et nutritionnelle qui se posent aux populations de ce grand espace communautaire et ceci afin de les mettre à l’abri de la faim, de la sous-alimentation et de la malnutrition.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum, Chef Suprême des Armées a présidé, hier mardi 20 décembre 2022 à son cabinet, la réunion du Conseil National de Sécurité. La réunion a regroupé autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Chef du Gouvernement SE Ouhoumoudou Mahamadouet de plusieurs membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité.
Le CNS rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Onep
Source : http://www.lesahel.org
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Á la Présidence de la République : Le Chef de l’État préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’État, SE. Mohamed Bazoum a présidé, hier matin, une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Organe constitutionnel, le Conseil National de Sécurité donne des avis au Président de la République sur les questions relatives à la Sécurité, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et sur toutes autres questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre ainsi que certains membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité.
ONEP
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Mohamed Bazoum a présidé hier matin au palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité.
Ce Conseil, rappelle- t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre, Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
ONEP
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’État préside la réunion du conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, M. Mohamed Bazoum, a présidé hier matin, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le Conseil National de Sécurité, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le CNS assiste le Chef de l’Etat et donne des avis sur les questions relatives à la sécurité de la Nation, à la défense du territoire, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
ONEP
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprêmes des Armées, SE Mohamed Bazoum a présidé hier matin, au Palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Cette réunion regroupe autour du Président de la République, outre le Premier Ministre, Chef du gouvernement, plusieurs membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Organe constitutionnel, le CNS donne des avis au Chef de l’Etat sur des questions relatives à la sécurité, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes autres questions d’intérêts vitaux et stratégiques du pays.
04 octobre 2021
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, M. Mohamed Bazoum a présidé, hier au palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le CNS, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
28 avril 2021
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République SE. Issoufou Mahamadou, Chef de l’Etat et Chef suprême des Armées, a présidé hier après midi, au palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Cette instance est un organe constitutionnel qui regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le Conseil National de Sécurité assiste le Chef de l’Etat et donne des avis sur les questions relatives à la sécurité de la Nation, à la défense du territoire, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
ONEP
23 mars 2021
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SEM Issoufou Mahamadou a présidé, hier matin au palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le CNS, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre, Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
ONEP
25 février 2021
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Issoufou Mahamadou a présidé, hier matin, une réunion de Conseil National de Sécurité. Pour rappel, le Conseil National de Sécurité (CNS), est un organe constitutionnel qui donne des avis sur des questions relatives à la sécurité et à la défense nationale, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Cet organe a pour mission d’assister le Chef de l’Etat dans les prises de décision en matière de sécurisation du pays dans tous les secteurs. Le CNS regroupe, autour du Chef de l’Etat, certains membres du Gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Abdoul-Aziz Ibrahim
10 décembre 2020
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République SE. Issoufou Mahamadou, Chef de l’Etat, et Chef suprême des Armées, a présidé hier matin, au palais de la Présidence, une réunion du Conseil national de sécurité (CNS). Cette instance est un organe constitutionnel qui regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, certains membres du gouvernement ainsi que des Hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le Conseil national de sécurité assiste le Chef de l’Etat et donne des avis sur les questions relatives à la sécurité de la Nation, à la défense du territoire, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
ONEP
11 novembre 2020
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des Armées, SE Issoufou Mahamadou a présidé, hier mardi 26 novembre à la Présidence de la République, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Ont pris part à cette rencontre, le ministre de la Défense Nationale, les ministres délégués à la Sécurité, au Budget, ainsi que les responsables des Forces de Défense et de sécurité (FDS), dont ceux des Armées, de la Gendarmerie, de la Garde et de la Police nationales.
Cet organe constitutionnel, donne son avis sur les questions relatives à la sécurité et à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Mahamadou Diallo(onep)
27 novembre 2019
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des Armées, SE Issoufou Mahamadou a présidé, hier, à la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Ont pris part à cette rencontre, le Premier ministre, Chef du gouvernement, le ministre d’Etat en charge de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de la Décentralisation et des Affaires Coutumières et Religieuses, le ministre de la Défense nationale, celui des Finances, celui de la Justice, ainsi que les responsables des Forces de Défense et de sécurité (FDS). Le Conseil national de sécurité est un organe constitutionnel qui donne son avis sur les questions relatives à la sécurité et à la défense de la nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Mahamadou Diallo
16 octobre 2019
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat SE. Issoufou a présidé hier, au Palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité. Cette instance regroupe, autour du Chef de l’Etat et président dudit Conseil, le Premier ministre, Chef du Gouvernement, les ministres en charge de la Sécurité ; de la Défense ; des Affaires étrangères ; de la Justice et des Finances ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le Conseil national de sécurité est un organe constitutionnel qui traite des questions de sécurité nationale, de la défense, de la politique étrangère et d’une manière générale, de toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Onep
02 octobre 2019
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Issoufou Mahamadou, a présidé, hier matin, la réunion du Conseil national de sécurité. Cette instance regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Chef du gouvernement, SE. Brigi Rafini, les ministres en charge de l’Intérieur et de la Sécurité publique ; de la Défense nationale ; de la Justice ; des Affaires étrangères et de la Coopération ; des Finances ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Elle traite des questions de sécurité nationale et d’intérêts vitaux du pays.
Onep
07 novembre 2018
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Issoufou Mahamadou a présidé hier dans la Salle de réunion du Conseil des ministres, la réunion du Conseil National de Sécurité. Cette instance regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, chef du Gouvernement, les ministres en charge de l’Intérieur ; de la Défense ; des Affaires étrangères ; de la Justice et des Finances ainsi que les hauts responsables des forces de défense et de sécurité.
Onep
16 mai 2018
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM. Issoufou Mahamadou, a présidé, hier, la réunion du Conseil National de Sécurité. Cette instance regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, chef du gouvernement, les ministres en charge de l’Intérieur et de la Sécurité publique ; de la Défense nationale ; de la Justice ; des Finances ; des Affaires étrangères et de la Coopération ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité.
1er novembre 2017
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SEM Issoufou Mahamadou, a présidé jeudi après-midi, 5 octobre 2017, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Cette instance regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, chef du Gouvernement, les ministres en charge de la Défense nationale, de l’Intérieur, de la Justice, des Affaires étrangères, des Finances ainsi que les hauts responsables des Forces de défense et de sécurité.
Onep
10 octobre 2017
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil national de sécurité (CNS)
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, S.E Mohamed Bazoum, a présidé, hier au Palais de la Présidence de la République, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le Conseil National de Sécurité, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le CNS assiste le Chef de l’Etat et donne des avis sur les questions relatives à la sécurité de la Nation, à la défense du territoire, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS)
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des Armées, S.E Mohamed Bazoum, a présidé, hier matin au Palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le Conseil National de Sécurité est un organe constitutionnel qui regroupe autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, certains membres du gouvernement ainsi que des hauts responsables des Forces de défense et de sécurité. Le CNS donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS)
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE Mohamed Bazoum a présidé hier matin au Palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Etaient présents à cette rencontre, le Premier ministre, Chef du Gouvernement, le ministre d’Etat en charge des Affaires Etrangères et de la Coopération, le ministre de la Défense Nationale, celui de l’Intérieur et de la Décentralisation, le ministre des Finances, celui de la Justice, Garde des Sceaux, le ministre Conseiller à la Présidence de la République, le président de la Haute Autorité à la Consolidation de la Paix et des haut responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Le CNS, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
ONEP
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion du Conseil National de Sécurité hier matin
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des armées, SE. Mohamed Bazoum a présidé hier matin au Palais de la Présidence, la réunion du Conseil National de Sécurité (CNS).
Outre le Premier ministre et d’autres membres du gouvernement concernés par cette question, le Conseil National de Sécurité (CNS) réunit autour du Chef de l’Etat des Hauts Responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS). Organe constitutionnel, le Conseil National de Sécurité donne des avis au Président de la République sur les questions relatives à la sécurité, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et toutes autres questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
ONEP
Source : http://www.lesahel.org
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside la réunion interministérielle sur l’Entreprenariat des jeunes et les reformes relatives au «Doing Business»
Le Président de la République, Chef de l’Etat S.E Issoufou Mahamadou, a présidé, hier matin, dans la salle de réunion du Conseil des ministres, la réunion interministérielle sur l’entreprenariat des jeunes. L’ordre du jour de cette réunion a porté sur l’examen du plan d’actions de l’entreprenariat des jeunes et les réformes relatives au «Doing Business». La cérémonie d’ouverture de cette réunion s’est déroulée en présence du Premier ministre, Chef du gouvernement ; des membres du cabinet du Président de la République ; de plusieurs membres du gouvernement ; du ministre, Conseiller Spécial du Président de la République, chargé du climat des Affaires, M. Alma Oumarou, ainsi que des cadres centraux des ministères concernés.
À l’issue de la réunion interministérielle sur l’Entreprenant des jeunes, le ministre, Conseiller spécial du Président de la République, chargé des questions relatives au climat des Affaires M. Alma Oumarou a d’abord relevé que le Président de la République attache une très grande importance à l’amélioration du climat des affaires et également à la promotion de l’entreprenariat des jeunes. Il s’agit d’ailleurs des pans très importants du Programme de Renaissance acte II. En effet, sous le leadership du Président de la République, le Niger a enregistré des rangs appréciables au cours de ces trois dernières années. « Le Niger qui était autour de la 200ème place du classement «Doing Business», a progressé. Aujourd’hui, il occupe la 150ème place pour ce qui est du rapport « Doing Business » 2016-2017. Nous sommes en train de faire des reformes pour que cet élan pris ne soit pas cassé. Le Président veille personnellement à ce que le Niger ne connaisse pas de régression. Voilà pourquoi, un certain nombre de mesures ont été prises pour le « Doing Business» 2017-2018. Pour ce faire, comme à l’accoutumée, le Président de République réuni autour de lui à un intervalle régulier tout le dispositif chargé de la mise en place du « Doing Business », a expliqué M. Alma Oumarou. Dans ce sens, a-t-il ajouté, le Niger a effectué des reformes très importantes pour l’année qui s’annonce, c’est-à-dire 2018. Toutefois, notre pays doit continuer à opérer des reformes dans la mesure où il s’agit d’une œuvre permanente. Il ne s’agit pas de se contenter des acquis. Il faudrait mettre les moyens pour maintenir les acquis mais aussi et surtout se projeter sur l’avenir. Ce sont là, un ensemble de reformes qui ont été prises à court, moyen et long termes. Elles ont été revues avec le Chef de l’Etat. Des instructions claires ont été données précisément à chacun des ministères pour que le Premier ministre veille à ce que chacun joue sa partition, a expliqué le ministre Conseiller spécial du Président de la République M. Alma Oumarou. Par ailleurs, il faut relever que le Niger connait aujourd’hui des avancées importantes en matière de création d’entreprises, d’exécution des contrats, d’insolvabilité, de transfert de propriété, bref dans un certain nombre de domaines, le Niger est cité en exemple. Le tribunal du Commerce du Niger est une fierté en matière d’exécution de contrat.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion de Doing Business et adresse ses sincères condoléances à la famille de l’étudiant, feu Mala Bagalé
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM. Issoufou Mahamadou, a présidé, hier dans la matinée, une réunion de Doing Business consacrée au suivi du plan d’actions des réformes sur le climat des affaires sur la période de novembre 2016 à mai 2017.
Cette réunion s’est également penchée sur le suivi des conclusions de la réunion du 22 mars dernier. En effet, le Chef de l’Etat accorde une grande importance au suivi de la mise en œuvre des réformes à court terme dans le cadre de Doing Business 2018. La rencontre s’est déroulée en présence notamment du Premier ministre, Chef du Gouvernement, SE. Brigi Rafini.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil National de Sécurité
Une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS) s’est tenue hier matin au Palais de la Présidence sous la présidence du Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées, SE Mohamed Bazoum.
Cette réunion regroupe outre le Premier ministre, Chef du gouvernement et d’autres membres du gouvernement concernés par cette question, des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) autour du Chef de l’État.
Organe constitutionnel, le Conseil National de Sécurité donne ses avis au Président de la République sur les questions relatives à la sécurité, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et toutes autres questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Mamane Abdoulaye (onep)
Source : http://lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil National de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des armées, SE Mohamed Bazoum, a présidé, hier matin au Palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS).
Le CNS, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Plusieurs membres du gouvernement, ainsi que des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité ont pris part à cette réunion.
Aminatou Seydou Harouna(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Mohamed Bazoum, a présidé hier matin, au Palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité. Ce Conseil, rappelle- t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre, Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
ONEP
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Mohamed Bazoum, a présidé, hier matin au Palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité. Ce conseil, rappelle- t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la nation, à la politique étrangère et, de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre, Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Ali Maman(Onep)
26 janvier 2022
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil national de sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE Mohamed Bazoum a présidé, hier matin au palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Ce Conseil, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale, sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du Pays. Il regroupe, autour du Président de la République, le Premier ministre, Chef du gouvernement, certains membres du gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Ali Maman(onep)
1er décembre 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef suprême des armées, SE Issoufou Mahamadou a présidé, hier 27 octobre 2020 dans la matinée, au Palais de la Présidence, une réunion du Conseil National de Sécurité (CNS). Le Conseil National de sécurité regroupe, autour du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Chef
du gouvernement, des membres du gouvernement, des hauts responsables des forces de défense et de sécurité (FDS) ainsi que plusieurs autres personnalités civiles.
Le CNS, faut-il le rappeler, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur les questions relatives à la sécurité nationale, à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Ismaël Chékaré(onep)
28 octobre 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion extraordinaire du Conseil National de Sécurité
Le Président de la République, Chef Suprême des Armées, SE Issoufou Mahamadou, a présidé, hier matin, une réunion extraordinaire du Conseil national de sécurité, suite aux événements survenus, le 2 janvier dernier, qui ont occasionné la mort de plusieurs personnes à Tchombangou et Zaroumdareye dans le département de Ouallam. Le Conseil national de sécurité, rappelle-t-on, est un organe constitutionnel qui donne des avis sur des questions relatives à la sécurité et à la défense nationale, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays. Cet organe a pour mission d’assister le Chef de l’Etat dans les prises de décision en matière de sécurisation du pays dans tous les secteurs. Le CNS regroupe, autour du Chef de l’Etat, certains membres du Gouvernement et des hauts responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS).
Issoufou Adamou Oumar
05 janvier 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A la présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion extraordinaire du Conseil National de sécurité (CNS)
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, SE. Issoufou Mahamadou a présidé hier après-midi au palais de la présidence, une réunion extraordinaire du Conseil National de Sécurité (CNS).
Cette réunion a regroupé autour du Chef de l’Etat, le Premier Ministre Chef du Gouvernement, les ministres en charge de la Défense nationale ; de l’Intérieur, le ministre délégué auprès du ministre des Finances chargé du Budget, des officiers supérieurs des Forces Armées Nigériennes et des Hauts responsables des Forces de Défenses et de Sécurité.
Le Conseil National de Sécurité, rappelle-t-on, est un organe qui assiste le Chef Suprême des Armées sur des questions relatives à la sécurité. Il donne des avis sur les questions relatives à la sécurité et à la défense de la Nation, à la politique étrangère et de manière générale sur toutes les questions liées aux intérêts vitaux et stratégiques du pays.
Cette session extraordinaire du CNS s’est tenue le lendemain de l’attaque ‘’lâche et barbare’’ perpétrée le 9 août dernier dans la réserve de Kouré par des terroristes qui, ont assassiné huit personnes (deux Nigériens et six Français, tous des civils).
Aminatou Seydou Harouna(onep)
11 août 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat préside une réunion sur la salubrité
Quelques jours après sa visite sur certains chantiers et quartiers de la capitale, le Président de la République Chef de l’Etat, SE. Issoufou Mahamadou a présidé hier matin, dans la salle de réunion du conseil des ministres, une réunion sur la gestion des déchets et l’assainissement de la ville de Niamey. Cette réunion qui s’est tenue en présence du Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Brigi Rafini, a regroupé autour du Chef de l’Etat, les ministres concernés par les questions de salubrité, le Haut commissaire au programme Niamey Nyala, le gouverneur de Niamey, le Coordonnateur du PGRC/DU et plusieurs autres acteurs concernés par les questions de salubrité.
Rappelons qu’à l’issue de la visite qu’il a effectuée, le vendredi dernier au quartier Zango et au niveau de l’immeuble BDRN, le Chef de l’Etat n’a pas caché son ressentiment vis-à-vis de laxisme et de l’indifférence des responsables communaux face à l’insalubrité de la ville qui selon les mots du Président Issoufou ‘’étouffe sous les ordures’’.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit dix jeunes nigériens admis au programme Yali 2017 et une délégation américaine
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Issoufou Mahamadou, a reçu en audience hier dans la matinée, une dizaine de jeunes nigériens sélectionnés dans le cadre du Programme Young Africain Leadership Initiative (Yali 2017). Au sortir de l’audience, le représentant de ces jeunes leaders, M. Labaran Alio Maidoukia, a indiqué qu’ils sont dix jeunes sur 350 candidats à avoir été sélectionnés sur des bases assez rigoureuses. «Nous remercions sincèrement le Chef de l’Etat de nous avoir reçu et c’est tout un honneur pour nous de représenter le Niger aux Etats Unis», a-t-il déclaré.
Ce Programme, faut-il préciser, a été lancé en 2010 par le président Barack Obama sous le nom de Young Africain Leadership Initiative (YALI). En 2017, ce programme permettra à 1000 jeunes leaders, une fois aux Etats-Unis, de suivre une formation et recevoir des conseils en leadership. YALI 2017 fournira entre autres à ces jeunes des occasions uniques de mettre en pratique leurs nouvelles compétences en Afrique afin de stimuler la croissance économique et la prospérité et de consolider les institutions démocratiques.
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’État reçoit l’ambassadeur de Chine au Niger
Le Président de la République, Chef de l’État, SE. Mohamed Bazoum a reçu en audience, le vendredi 30 septembre dernier, l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Niger, SE. Jiang Feng. Les échanges ont porté sur les projets phares entre les deux pays. Il s’agit de la rénovation du Stade Général Seyni Kountché et du projet de réhabilitation de la route Abalak-Tamaya, d’un montant de plus de 100 millions de Dollars.
À l’issue de l’entretien, le diplomate Chinois a déclaré que l’audience a porté essentiellement sur les projets clés entre les deux pays. «Le Président est très soucieux de la rénovation du Stade Général Seyni Kountché, la Chine va ainsi accélérer le processus de cette rénovation pour répondre aux exigences de la Fédération Africaine de Football», a confié SE. Jiang Feng. Il a aussi indiqué avoir échangé avec le Chef de l’État sur le projet de réhabilitation de la route Abalak-Tamaya qui sera mise en œuvre très prochainement. «C’est un don du gouvernement chinois d’une valeur d’un peu plus de 100 millions de Dollars américains», a-t-il précisé.
SE. Jiang Feng a, ensuite dit avoir informé le Président de la République de la tenue prochaine en Chine du 20ème congrès du Parti Communiste Chinois. «C’est un évènement qui fera le bilan global de l’accomplissement majeur et d’espérance précieuse qu’a obtenu la Chine dans la réforme et le développement pour répondre aux nouvelles attentes, et aux nouveaux objectifs du peuple chinois», a-t-il ajouté.
Enfin, le diplomate chinois a souligné que, son pays va déployer tous ses efforts pour construire une communauté mieux partagée pour l’humanité et aussi déployer de grands efforts pour développer la coopération amicale avec le Niger et d’autres pays africains.
Oumar Issoufou(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit l’ambassadeur de France et la cheffe de la Coopération Suisse au Niger
Le Président de la République Mohamed Bazoum a accordé hier 17 Janvier 2023, dans l’après-midi deux audiences. Le Chef de l’Etat s’est d’abord entretenu avec l’ambassadeur de France au Niger M. Sylvain Itté. Il a ensuite reçu la cheffe de la coopération Suisse au Niger, Mme Pia Hänni. La coopération entre le Niger et ces deux pays a été au centre des échanges.
Au sortir de la première audience, l’ambassadeur de France au Niger a déclaré que l’objet de cette rencontre est de faire avec le Chef de l’Etat, le point des différents dossiers de la coopération entre le Niger et la France d’une part, mais
aussi échanger sur un événement en perspective en l’occurrence le Business forum entre l’Union Européenne et le Niger qui se tiendra les 7 et 8 Février 2023 à Niamey. Les discussions à cet effet ont permis de faire le tour des questions relatives à la présence des entreprises françaises et des possibilités d’investissements pour celles-ci. M. Sylvain Itté devait par ailleurs annoncer l’arrivée d’une mission importante du MEDF (Mouvement des entreprises françaises) qui viendra avec une trentaine d’entreprises à l’occasion de ce forum.
Au cours de ce forum, une centaine d’entreprises européennes viendra au Niger pour échanger avec les entreprises nigériennes sur les possibilités de développement, de création et d’investissement. «Nous sommes aujourd’hui tous conscients qu’il est fondamental d’aider le Niger à développer son économie, donc à créer des emplois parce que c’est à travers la création des entreprises qu’on créera des emplois et permettre ainsi à la jeunesse d’avoir des perspectives d’emplois», a estimé le diplomate français. M. Sylvain Itté a ajouté qu’un Etat ne fonctionne pas avec uniquement des fonctionnaires. «Il est très important que nous soyons en mesure d’accompagner ; d’amener des entreprises étrangères notamment françaises à venir au Niger investir et créer des emplois», a-t-il précisé.
Il faut noter que cette entrevue a également permis aux deux personnalités d’échanger sur la situation régionale et la coopération dans le domaine sécuritaire entre le Niger et la France. A cela s’est aussi ajouté le sujet sur la création des internats pour jeunes filles et le renforcement des capacités pédagogiques des enseignants. «Nous allons proposer des projets dans le domaine des internats et aussi dans celui du renforcement des capacités pédagogiques et d’enseignement du français au profit du corps enseignant nigérien», a promis M. Sylvain Itté.
L’entretien avec la cheffe de la Coopération Suisse au Niger a pour sa part porté sur deux points essentiels. Il s’agit, selon Mme Pia Hänni dans un premier temps de renouveler l’engagement de la Coopération Suisse au Niger. La cheffe de la coopération Suisse au Niger a annoncé qu’il a été institué une nouvelle fonction d’Envoyé spécial pour le Sahel. Elle (puisque c’est une dame) sera bientôt au Niger pour rencontrer les autorités au plus haut niveau selon la diplomate suisse.
La deuxième raison de cette visite a expliqué Mme Pia Hänni est d’échanger avec le Président sur l’importance de la décentralisation et de la réforme de la décentralisation. «Nous restons convaincus que c’est le moment opportun pour le Niger d’avancer là-dessus surtout par rapport au transfert des ressources aux collectivités territoriales. Des ressources financières avec une inscription chaque année dans la loi des finances au niveau des Ministères sectoriels et aussi par rapport à l’opérationnalisation de la fonction publique territoriale. Nous sommes convaincus qu’avec ces deux points, on peut faire avancer la réforme de la décentralisation au bénéfice des populations», a déclaré la cheffe de la Coopération Suisse au Niger.
Rahila Tagou(onep)
Source : http://www.lesahel.org
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’État reçoit l’Ambassadeur de l’EU au Niger et un Envoyé Spécial de la République Tchèque
Le Président de la République, Chef de l’État, SE. Mohamed Bazoum a reçu en audience, hier matin, l’Ambassadeur, chef de Délégation de l’Union Européenne, Mme Denisa-Elana Ionete en fin de mission au Niger. A sa sortie d’audience, la diplomate européenne a déclaré avoir exprimé au Président de la République ses remerciements et toute sa satisfaction pour le mandant accompli au Niger pendant 4 ans. Mme Denisa-Elena Ionete a aussi témoigné que c’est un honneur de servir au Niger, de travailler avec les autorités du Niger et de rencontrer les populations et échanger avec elles. Elle a par ailleurs relevé que l’Union Européenne est un partenaire qui déploie au Niger tous les instruments et mécanismes de son action externe. «Lors de mon mandant, j’ai pu interagir avec une palette très large d’autorités nationales et locales mais aussi des Nigériennes et Nigériens qui, jour par jour, bâtissent leur destin», a confié Denisa-Elena Ionete.
La cheffe de la Délégation de l’Union Européenne a en outre souligné que son mandat au Niger a été ponctué par des visites de haut niveau témoignant de la qualité et de la profondeur de la relation entre le Niger et l’Union Européenne. Des relations qui se développent chaque jour et s’approfondissent au nom des valeurs et des intérêts que le Niger et l’Union européenne partagent. Elle s’est ensuite félicitée des moments importants témoignés au Niger dont entre autres les élections de 2020-2021. Mme Denisa-Elena Ionete a en effet noté que ces élections ont marqué un tournant dans l’engagement du pays sur la voie de la gouvernance et de la démocratie. «Ce sont des éléments qui unissent le destin du Niger et celui de l’Europe», a-t-elle précisé.

Quelques instants après, le Chef de l’État s’est entretenu avec un Envoyé Spécial de la République Tchèque pour le Sahel, M. Tomas Ulciny, porteur d’un message du Président de la République Tchèque au Président Mohamed Bazoum.
À l’issue de l’entretien M. Tomas Ulciny a confié avoir exprimé au Chef de l’État la volonté de son pays à soutenir le Niger dans la lutte contre le terrorisme. Il dit aussi informer le Chef de l’État du souhait de la République Tchèque d’approfondir la coopération avec le Niger dans le domaine économique. «Nous nous sommes convenus que le Niger et la République Tchèque soient des partenaires qui puissent travailler sur une piste d’amitié et de compréhension dans la Région du Sahel», a affirmé M. Tomas Ulciny. Il a enfin assuré que son pays est en mesure de soutenir le Niger à travers des efforts concrets. «J’ai fait part au Président de la République de notre capacité et de notre disposition à renforcer les capacités des forces spéciales du Niger», a-t-il conclu.
Oumar Issoufou(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit l’ambassadeur de la Fédération de Russie auprès du Niger
Le Président du Conseil national pour la Sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani a reçu hier matin à son Cabinet, l’ambassadeur de la Fédération de Russie auprès du Niger avec résidence à Bamako au Mali, SE. Igor Gromyko.
A sa sortie d’audience, le diplomate russe a indiqué que l’entretien avec le Président du CNSP a porté sur plusieurs questions d’intérêt commun. « Nous entretenons de bonnes relations d’amitié avec le Niger, tout comme la plus part du monde et la plus part des pays africains et nous allons développer davantage notre coopération gagnant-gagnant », a-t-il précisé.
SE. Igor Gromyko a rappelé que les relations entre son pays et le Niger «sont traditionnellement d’une nature amicale» et qu’elles couvrent divers domaines. Il a cité en exemple les bourses d’études accordées par la Fédération de Russie aux étudiants nigériens qui leur permettent de poursuivre des études supérieures dans les Universités russes. Le diplomate russe a, par ailleurs, relevé le rehaussement significatif en 2023, du nombre des bourses en faveur du Niger.
Souleymane Yahaya (ONEP)
Source : https://www.lesahel.org
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A la Présidence de la République : Le chef de l’Etat reçoit l’ambassadeur du Royaume de Belgique en fin de mission au Niger
Le Président de la République, Chef de l’Etat, M. Mohamed Bazoum a reçu en audience, hier en début d’après-midi, l’ambassadeur du Royaume de Belgique au Niger, Mme. Myriam Bacquelaine en fin de mission. « Je suis venue dire au revoir au président Bazoum parce que ma mission en qualité d’ambassadeur du Royaume de Belgique se termine le 31 juillet et je quitterai le Niger. Je suis très heureuse de la rencontre, car nous avons évoqué la longue coopération entre le Niger et la Belgique », a t- elle dit à sa sortie d’audience.
Mme. Myriam Bacquelaine a aussi indiqué avoir échangé avec le Chef de l’Etat sur le programme des repentis et l’intégration des jeunes qui sont tentés par le terrorisme, dans les forces de défense et de sécurité. Les échanges ont également porté sur le programme de l’éducation, un programme phare du Président de la République notamment, l’éducation des filles. « Le président doit être soutenu par la communauté internationale pour mieux mener son projet à bien », a –t-elle déclaré. « Nous avons aussi parlé de l’importance du secteur privé qui doit s’engager dans le développement du pays », a ajouté Mme Myriam Bacquelaine. À cet effet, elle a rappelé que des efforts doivent être faits de la part du Niger, mais également de la part du secteur privé européen.
« Je peux parler du secteur privé Belge qui devrait être un peu plus audacieux et venir au Niger pour présenter les compétences dont il est dotées, en particulier des compétences reconnues comme dans le domaine de l’énergie et dans toutes les technologies qui peuvent lutter contre le changement climatique », a estimé la diplomate belge qui s’est engagée à informer les partenaires belges des multiples possibilités et opportunités d’investir au Niger. « Je vais aussi bien porter haut l’image du Niger auprès de mes autorités », a-t-elle conclu.
Oumar Issoufou (ONEP)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit l’ambassadeur du Royaume du Maroc au Niger, porteur d’un message écrit de Sa Majesté le roi Mohamed VI
Le Président de la République, SE Issoufou Mahamadou s’est entretenu hier matin avec l’ambassadeur du Royaume du Maroc au Niger, SE Allal El Chab porteur d’un message écrit de sa Majesté, le Roi du Royaume du Maroc, Mohamed VI au Chef de l’Etat. Les relations bilatérales, entre les deux pays, étaient au centre des échanges entre les deux personnalités.
A l’issue de cette audience, l’ambassadeur du Royaume du Maroc a déclaré avoir remis au Chef de l’Etat un message écrit de sa Majesté le Roi du Royaume du Maroc Mohamed VI. Ceci entre dans le cadre de la concertation permanente qui existe entre nos deux pays aux plans bilatéral, régional ou mondial. SE Allal El Chaba dit avoir saisi cette occasion pour aborder avec le Président de la République et l’informer des dernières évolutions du dossier Sahara Marocain (Sahara Occidental). A ce sujet, il a confié avoir évoqué «les agissements du Front Polisario» qui depuis le 21 Octobre dernier a bloqué le passage de Guerguerat, poste-frontalier entre le Maroc et la Mauritanie où la circulation des personnes et des biens est bloquée».
L’ambassadeur du Royaume du Maroc SE Allal El Chaba fait remarquer «qu’en plus de ce blocage, ledit front a entrepris des activités de banditisme et destruction des infrastructures routières». «Devant cette situation, le Maroc a été contraint de réagir en essayant de rétablir l’ordre dans cette zone», a précisé le diplomate marocain. Pour SE Allal El Chab, le Front Polisario a ignoré les appels des Nations-Unies l’invitant à se dégager de cette zone. «Malgré tout cela, ledit front a persisté, ce qui a contraint le Maroc à intervenir pour rétablir la circulation», a-t-il insisté.
L’ambassadeur du Royaume du Maroc a, par ailleurs, rappelé que le Niger, en tant que membre non permanent de Conseil de Sécurité, a participé activement au vote de la résolution 2548 dans laquelle le Conseil de Sécurité de l’ONU a appelé le Front Polisario à cesser toute activité illégale dans cette région.
Mamane Abdoulaye
18 novembre 2020
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair
Le Président de la République, Chef de l’Etat SE Mohamed Bazoum a reçu hier en audience l’ancien Premier ministre britannique, Tony Blair. A sa sortie d’audience, l’ancien Premier ministre britannique a confié avoir échangé avec le Chef de l’Etat sur le projet que son institut veut lancer au Niger pour accompagner le Gouvernement dans les réformes qu’il est en train d’entreprendre en vue d’améliorer les conditions de vie des populations. M. Tony Blair a aussi apprécié la position du Niger qui, a-t-il dit, est un pays d’une importance stratégique dans le monde d’aujourd’hui, «un grand espoir au niveau de la communauté internationale».
Aïchatou Hamma Wakasso(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit l’Envoyé spécial du SG de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Issoufou Mahamadou a reçu, hier matin en audience, M. Mohamed Ibn Chambass, Envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel. A sa sortie d’audience, le diplomate onusien a déclaré que sa visite au Niger, à l’occasion du second tour des élections présidentielles 2020-2021, s’inscrit dans le cadre de la solidarité avec la CEDEAO et l’Union Africaine qui sont en mission d’observation électorale et envers le Niger et le peuple nigérien.
«Nous félicitons le Président Issoufou Mahamadou pour son leadership dans l’affermissement de la démocratie au Niger à travers l’organisation de cette élection qui aboutira au transfert du pouvoir d’un président élu à un autre président élu», a-t-il dit. Aussi, M. Ibn Chambass a salué le déploiement des organisations de la société civile nigérienne pour l’observation, la CENI pour l’organisation et le peuple nigérien pour sa participation pacifique au scrutin du dimanche 21 février 2021.
L’Envoyé du SG de l’ONU a encouragé les partis politiques et leurs militants à rester mobilisés contre toute incitation à la violence et au discours de haine et «à maintenir leur engagement pour une transition pacifique et démocratique, et à recourir, en cas de désaccord, aux dispositions légales en vigueur».
Auparavant, l’Envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel a regretté le décès de 7 agents électoraux suite à un accident causé par une mine dans la région de Tillabéry, de même que celui d’un autre agent survenu à la suite d’une attaque terroriste dans la région de Diffa. M. Ibn Chambass a condamné l’utilisation des mines et des engins explosifs improvisés.
L’Envoyé du SG de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel a, enfin, présenté ses condoléances aux familles affligées, au Gouvernement et au peuple du Niger et souhaite un prompt rétablissement aux agents blessés.
Souleymane Yahaya
24 février 2021
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit la ministre belge de la Coopération au Développement, Mme Meryame Kitir ...
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM Mohamed Bazoum, a reçu, en fin d’après-midi d’hier, jeudi 6 octobre 2022, à son Cabinet, la Ministre belge de la Coopération au Développement, Mme Meryame Kitir, en visite de travail au Niger. Elle a indiqué, à sa sortie d’audience, avoir eu un échange très constructif avec le Président Mohamed Bazoum. « Je visite le Niger parce qu’on a une belle coopération de plus de 50 ans », a-t- elle déclaré. Mme Kitir a ajouté que les échanges ont porté notamment sur la question de l’éducation, ‘‘qui est très importante pour le Président de la République et aussi sur les sujets de la santé et de la sécurité alimentaire’’. Mme Meryame Kitir a annoncé que la Belgique va mettre en œuvre au Niger un nouveau programme d’investissement, en réponse aux défis du changement climatique, ‘‘parce nous savons que le changement climatique a un grand impact sur la sécurité alimentaire, notamment pour les enfants’’, a-t-elle souligné.
Par Mahamadou Diallo (onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit la Procureure de la CPI et le chef d’état-major des Armées Françaises
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Issoufou Mahamadou, a reçu en audience, hier, Mme Fatou Bensouda, Procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI) en visite de travail dans notre pays. Mme Bensouda a dit avoir rencontré le Président de l’Assemblée Nationale ainsi que le Premier ministre et le ministre de la Justice, Garde des Sceaux.
Au sortir de cette audience, la procureure de la CPI a dit avoir transmis au Chef de l’Etat toute sa gratitude pour la coopération et l’assistance du Niger avec la Cour, ‘’une coopération concrète et excellente’’. Mme Fatou Bensouda a dit avoir aussi saisi l’occasion pour remercier le Niger et ses autorités qui ont permis le transfert du terroriste malien Al Mahdi à la Cour. «La Cour continue à demander l’appui et la coopération du Niger dans le cadre de son action», a confié la procureure qui s’est réjouie de l’assurance que lui ont donnée toutes les autorités nigériennes.
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le comité d’organisation du Forum de Tillabéri
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum a reçu hier dans l’après-midi en audience, les membres du Comité d’Organisation du Forum sur la sécurité, la cohésion sociale et le développement durable dans la région de Tillabéri. A leur sortie, le président du comité, M. Moussa Harouna a confié à la presse qu’ils sont venus présenter au Président Mohamed Bazoum les résultats dudit forum qui s’est tenu du 26 au 27 mars dernier à Tillabéri. Ils ont ainsi mis cette occasion à profit pour exposer au Chef de l’Etat les 23 principales recommandations issues du Forum et un appel à la clémence. «Le Président de la République nous a bien écouté, il a apprécié le travail qui a été fait et dont certaines recommandations ont déjà eu de réponse», s’est réjoui le président du comité d’Organisation, M. Moussa Harouna.
Aïchatou Hamma Wakasso(onep)
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le Commandant de la force Barkhane
Le Président de la République, SEM Issoufou Mahamadou a reçu en audience, hier dans l’après-midi, le commandant de la Force Barkhane, le Général Marc Conruyt. Ce dernier, accompagné de l’Ambassadeur de la France au Niger est venu faire au Président Issoufou Mahamadou, le point sur les opérations menées par la force Barkhane ainsi que les forces armées des pays alliés au Sahel.
Le Général Marc Conruyt, Commandant de la force Barkhane a indiqué à la presse que l’audience a été l’occasion de présenter au Président de la République, les opérations qui sont en train d’être conduites au Sahel mais aussi celles planifiées pour le futur.
Ainsi, sur l’état d’avancement des opérations, il a affirmé que des actions conséquentes sont menées dans le Gourma malien. Et ces opérations, a précisé le Commandant de la Force Barkhane, engagent de nombreux soldats de tous les pays alliés face à la question du terrorisme. « Je ne donnerai pas de détails sur ce qui se passe mais les opérations sont en cours», a-t-il ajouté. Il a notifié que des résultats positifs et satisfaisant sont obtenus.
Rahila Tagou
13 janvier 2021
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le député français, M. M’Jid El Guerrab
Le Président de la République, SE Issoufou Mahamadou a reçu en audience, le samedi 10 octobre dernier à sa résidence, M. M’Jid El Guerrab, député des français qui vivent au Niger. Cette audience s’est déroulée en présence du Directeur de Cabinet du Président de la République, M. Ouhoumoudou Mahamadou et de l’ambassadeur de France au Niger, SE Alexandre Garcia.
A sa sortie d’audience, M. M’Jid El Guerrab a remercié le Président de la République du Niger pour cet entretien, qui lui a été accordé, en tant que député des français qui vivent au Niger, mais plus généralement ceux qui vivent au Maghreb en Afrique de l’Ouest. «J’ai eu le plaisir de m’entretenir avec le Président de la République, sur tous les sujets qui préoccupent les Français du Niger, mais généralement pour les Français qui vivent au Sahel. Le Niger étant, pour la France, un pays d’une importance capitale. Et nos 1500 français qui vivent ici aiment le Niger, ils font confiance au Niger. Ils sont dans une relation quasi d’intimité, puisque plus de 60% des Français qui vivent au Niger qui sont des Franco-Nigériens. Ils ont la double nationalité, ils aiment intimement ce pays. Nous avons évoqué tous ces sujets-là. Nous avons évoqué des sujets de la sécurité, avec la catastrophe qui s’est passée cet été avec la mort de 6 humanitaires français et de leurs deux accompagnateurs nigériens. Nous avons évoqué tous les sujets liés à la sécurité, au développement, à l’environnement, et à tout ce qui à trait aux relations bilatérales Franco-Nigériennes», a déclaré M. M’Jid El Guerrab.
Abdoulaziz Ibrahim Souley(onep)
12 octobre 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le DG de l’ASECNA, le Gouverneur de la BCEAO et le bureau de la CNDH
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum, a reçu, hier matin, à son cabinet, M. Mohamed Moussa, Directeur général de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) et M. Jean-Claude Kassi Brou, Gouverneur de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Au terme de la première audience, M. Mohamed Moussa qui séjourne à Niamey dans le cadre de l’inauguration d’un Centre de Navigation Aérienne, dont la cérémonie a été présidée par le Président de la République le 18 décembre dernier, a déclaré qu’il est venu remercier SE Mohamed Bazoum pour l’honneur fait à l’ASECNA. « J’ai tenu à venir remercier le Président de la République, au nom de l’ensemble du personnel de l’Agence pour cet honneur qu’il a fait à la communauté de l’ASECNA. J’ai saisi cette occasion pour présenter au Président de la République un certain nombre d’objectifs très importants que je nourris pour l’ASECNA et pour lesquels, j’ai besoin de son soutien », a-t-il déclaré. M. Mohamed Moussa s’est dit très satisfait, très réconforté de l’entretien et de la disponibilité du Président de la République à l’accompagner dans cette ambition. Il a enfin souligné qu’il saisit l’occasion pour souhaiter au Président de la République une bonne fête de la République.
Quant à M. Jean-Claude Kassi Brou, il a souligné à la sortie de la rencontre, qu’il s’agissait pour lui de faire au Président de la République le point de la situation de la Banque Centrale. Le Gouverneur de la BCEAO a aussi souligné avoir saisi l’opportunité pour féliciter le Président de la République pour son élection à la Présidence de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement des pays membres de l’UEMOA.
« J’ai profité pour réitérer tout notre soutien au Président de la République dans l’exercice de son mandat et que nous puissions faire des avancées au niveau de la zone. J’ai aussi félicité le Président de la République pour le résultat obtenu aux groupes consultatifs, le 5 et 6 décembre 2022 à Paris. Ce résultat est un signe de confiance dans la qualité de la gouvernance en matière d’actions à mettre en œuvre », a-t-il déclaré. Il a précisé également que les discussions ont aussi touché les questions qui affectent le secteur bancaire, la micro finance et d’une manière générale tout ce qui tourne autour de la Banque Centrale au Niger.
Dans l’après-midi, le Président de la République a reçu les membres du bureau de la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH). L’objectif de cette rencontre est de présenter au Chef de l’Etat le rapport annuel sur l’état des droits humains 2021 au Niger. C’était également l’occasion pour le bureau de la CNDH, de présenter au Président de la République le rapport d’enquête indépendante de la CNDH par rapport aux événements de Tamou.
A cette occasion, le président de la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH), Le magistrat Maty Elhadji Moussa a indiqué que l’objet de leur rencontre avec le Président de la République, Chef de l’Etat est de lui transmettre conformément à la loi, le rapport annuel sur l’état des droits humains au Niger et sur les activités de la Commission couvrant l’année 2021. Le Président de la CNDH a indiqué que c’est une obligation légale pour la Commission de présenter chaque année un rapport sur l’état des droits humains dans notre pays, aux plus hautes autorités. Il a indiqué qu’après la présentation de ce rapport à l’Assemblée Nationale en séance plénière le même jour dans la matinée, le bureau de la CNDH est venu remettre ledit rapport au Président de la République. Après, a poursuivi le président de la CNDH, le rapport sera transmis à toutes les autres autorités concernées, avant de procéder au partage de son contenu auprès des partenaires et la presse qui en informera l’opinion nationale et internationale sur l’état de droits humains au Niger en 2021.
M. Maty Elhadji Moussa a souligné également que la CNDH a saisi l’occasion pour partager avec le Président de la République, Chef de l’Etat, le résultat de l’enquête indépendante conduite par l’institution sur le terrain par rapport aux événements de Tamou.
« Conformément à ses prérogatives, la CNDH s’est autosaisie de la situation. Nous sommes à la fin des investigations que nous avons menées de manière indépendante et nous sommes venus partager le résultat de cette investigation avec la Première Personnalité de l’Etat. Il y’aura dans les deux jours à venir la remise de ce rapport également aux autorités concernées, aux partenaires et un point de presse sera fait pour livrer le contenu du rapport d’investigation », a déclaré le président de la CNDH.
Par Ali Maman(onep)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le Directeur général de l’ASECNA
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM. Issoufou Mahamadou a reçu hier matin à son cabinet, notre compatriote M. Mohamed Moussa réélu Directeur général de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA).
A sa sortie de l’audience, le Directeur général de l’ASECNA a déclaré qu’il est venu remercier SE. Le Président de la République pour son engagement à sa réélection le 14 septembre 2020 à Dakar à la tête de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) pour un mandat de 4 ans au titre des années 2021-2024. «C’est grâce à Dieu, à l’engagement de son SEM. Issoufou Mahamadou et toute l’équipe nigérienne qu’il a mise sur le dossier notamment le ministère des affaires étrangères qui a été très fortement mobilisé et le ministère de transport qui était le porteur de voix du Niger que je viens d’être réélu Directeur général de l’ASECNA» s’est réjouit M. Mohamed Moussa. Ainsi, M. Moussa Mohamed Moussa a souligné que l’équipe nigérienne s’est battue encore, pour affronter 4 candidatures très consistantes. «Encore une fois le Niger a eu la chance et le mérite d’avoir le meilleur candidat et c’est par ce titre que le comité des ministres après un vote totalement démocratique m’a désigné comme le nouveau directeur général de l’ASECNA à partir de 2021 » a déclaré le candidat heureux avant de dire que le Niger a été honoré par l’engagement de « notre démocratie et par l’engagement tout à fait particulier de SE le Président de la République Issoufou Mahamadou qui n’a ménagé aucun effort pour le succès du Niger pour ce poste important », a-t-il relevé.
Par ailleurs M. Mohamed Moussa a précisé que la direction générale de l’ASECNA est un poste stratégique qui consiste à gérer l’avenir de l’aviation civile sur 16 millions de km2 confirmés et faire travailler ensemble près de 18 pays n’est pas une chose facile. «Mais grâce au caractère que le Niger a toujours développé d’être un pays capable à l’écoute des autres pays, nous avons réussi ce mandat et Incha Allah, je ferais tout ce qu’il faut pour la réussite du nouveau mandat», a-t-il ajouté.
M. Mohamed Moussa a enfin annoncé qu’au cours de son prochain mandat, il compte réaliser deux grands projets. Le premier projet c’est d’être capable de naviguer les avions par satellite et le deuxième est d’ordre politique, «nous devons unir l’Afrique, l’espace aérien africain. C’est pour cela que j’ai lancé très fortement le projet qui est en phase de conceptualisation», a conclu le Directeur général de l’ASECNA.
Yacine Hassane (onep)
18 septembre 2020
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le Gouverneur de l’Etat fédéré de Sokoto au Nigéria
Le Président de la République, SE. Issoufou Mahamadou a reçu hier matin en audience, le Gouverneur de l’Etat fédéré de Sokoto au Nigéria, M. Aminu Waziri Tambuwal. Cet entretien a porté sur la coopération existant entre le Niger et le Nigéria en général, mais aussi et surtout entre les localités frontalières avec l’Etat de Sokoto et sur la question de la paix et de la sécurité.
«Nous avons profité de cette occasion pour présenter, au nom des populations de l’Etat fédéré de Sokoto, nos remerciements et notre gratitude aux autorités nigériennes pour la disponibilité et les facilités que le Niger fait montre dans nos relations sur le plan sécuritaire, économique et de la quiétude sociale», a déclaré M. Aminu Waziri Tambuwal. A cet effet, le gouverneur de Sokoto a affirmé que le Chef de l’Etat les a rassurés quant au maintien et à la poursuite de ces excellentes relations qui existent entre les deux pays.
Enfin, le gouverneur de Sokoto a remercié le Président Issoufou Mahamadou tout en lui renouvelant sa reconnaissance pour le soutien et l’écoute qu’il accorde à son homologue Muhammadu Buhari pour renforcer la sécurité et rétablir la paix dans la région Afrique de l’Ouest.
Rahila Tagou(onep)
10 novembre 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le ministre d’Etat Saoudien chargé des Pays Africains
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Issoufou Mahamadou a reçu en audience, hier dans l’après-midi, le Ministre d’Etat Saoudien chargé des Pays Africains, M. Ahmad Ben Abdelaziz Kattan, en visite de travail au Niger. Les deux personnalités ont échangé sur les liens de coopération, les relations amicales et fraternelles entre le Niger et l’Arabie Saoudite. A sa sortie d’audience M. Ahmad Ben Abdelaziz Kattan a déclaré avoir échangé avec le Président de la République sur plusieurs questions et sujets d’intérêt commun entre son pays et le Niger. Il a indiqué que le Président de la République partage les mêmes idées avec les autorités saoudiennes sur plusieurs questions sur le plan bilatéral et multilatéral.
M. Ahmad Ben Abdelaziz Kattan a saisi cette opportunité pour, a-t-il dit, transmettre au Président Issoufou, les salutations et les encouragements des autorités saoudiennes. Il a aussi salué le leadership du Président de la République pour ses prises de position sur les questions d’actualité internationale. La crise libyenne et la lutte contre le terrorisme dans toutes ses formes à travers le monde ont été évoquées, a précisé le Ministre d’Etat Saoudien. M. Ahmad Ben Abdelaziz Kattan a enfin annoncé que durant sa mission, plusieurs accords seront signés entre les deux pays.
L’audience s’est déroulée en présence de la ministre déléguée Chargée de l’Intégration Africaine et des Nigériens de l’Extérieur, Mme Ataka Zaharatou Aboubacar, de l’Ambassadeur d’Arabie Saoudite au Niger et du Ministre Directeur de Cabinet du Président de la République.
Il faut enfin noter que peu après cette audience le ministre d’Etat Saoudien chargé des Pays Africains, M. Ahmad Ben Abdelaziz Kattan et la délégation qui l’accompagne ont eu un entretien avec la Ministre Déléguée au Ministère des Affaires Etrangères. La rencontre s’est déroulée en présence du ministre de la Justice Garde des Sceaux, M. Marou Amadou.
Ali Maman(onep)
05 octobre 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le ministre d’Etat, ministre des Affaires Etrangères du Nigéria porteur d’un message de condoléances
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE. Mohamed Bazoum a reçu en audience, le vendredi 6 janvier 2023, le ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères du Nigéria, Amb. Zabairu Dada. Le chef de la diplomatie nigériane a déclaré, à sa sortie d’audience, qu’il est porteur d’un message de condoléances du Président de la République Fédérale du Nigéria, SE Muhamed Buhari à son homologue du Niger Mohamed Bazoum suite au décès du Secrétaire Exécutif de la Commission Mixte de Coopération Nigéro-nigériane Amb. Rabiu Akawu, mais aussi suite au décès des militaires nigériens dans l’accident de l’hélicoptère à l’aéroport de Niamey.
«Le Niger et le Nigéria sont des pays frères. Nos deux peuples sont des frères. Donc ce qui touche le Niger, le Nigéria se sent concerné et vice-versa. C’est pourquoi, suite au décès de l’Amb. Rabiu Akawu, le 4 décembre 2022, le Président de la République Fédérale du Nigéria nous a dépêché auprès du Président Mohamed Bazoum pour lui présenter les condoléances du Gouvernement et du peuple nigérian suite à la disparition de cette illustre personnalité qui a travaillé pour le renforcement des liens de coopération entre le Niger et le Nigéria. Nous avons profité de cette occasion également pour présenter les condoléances du Président Buhari et du peuple nigérian à la République du Niger suite au décès tragique des militaires nigériens dans un accident d’hélicoptère à Niamey», a-t-il déclaré.
Il faut souligner que cette audience s’est déroulée en présence du Ministre délégué auprès du ministre d’Etat ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, chargé de l’Intégration Africaine, M. Youssouf Mohamed Almouctar et les membres de la délégation nigériane.
Ali Maman(onep)
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À la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le ministre français de l’Europe et des Affaires Étrangères
Le Président de la République, Chef de l’État, SEM. Issoufou Mahamadou, a reçu, hier en fin d’après-midi, le ministre français de l’Europe et des Affaires Étrangères, M. Jean Yves- Le Drian. Peu après son entretien avec le Chef de l’État, le chef de la diplomatie française a animé, conjointement un point de presse, avec son homologue nigérien, M. Kalla Ankouraou.
De prime à bord, le ministre chargé des Affaires étrangères, M. Kalla Ankouraou, a relevé que la présence de M. Jean Yves- Le Drian, ici à Niamey, « nous donne l’occasion de faire le point sur l’état de nos relations ». Et, aux regards des échanges que « nous avons eus, nous en tirons un bilan très positif. Je m’en félicite tout naturellement tout en souhaitant un renforcement de ces relations, dans tous les domaines, notamment miniers, énergies renouvelables, agricultures, développement humain, santé, éducation, formation professionnelle. Mais, a-t-il souligné, c’est dans le domaine de la sécurité que la coopération est plus importante et plus emblématique.
Lors de ce point de presse, le chef de la diplomatie française a indiqué avoir évoqué avec le Chef de l’État les questions sécuritaires. « Nous avons abordé le suivi des engagements de Pau et de Nouakchott et le suivi de la mise en œuvre de la coalition pour le sahel et constater ensemble que les opérations sécuritaires se poursuivent, l’opération Barkhane, la coordination entre Barkhane, la force conjointe du G5 sahel et les forces armées nationales ». La Task Force Takouba, a –t-il ajouté, a également commencé sa mission et, selon lui, «cela a permis d’avoir des résultats positifs puisque les opérations bourrasques ont donné des résultats tout à fait significatifs qui montrent que progressivement les enjeux de sécurité sont en train d’être remontés, d’être maitrisés ».
« La France considère que la sécurité du Niger, c’est aussi la sécurité de la France. Lorsqu’on a des attentats au Niger, on se sent agressé comme les Nigériens. Je pense que les Nigériens sont également agressés lorsqu’il y a des attentats en France et que lorsqu’il y a eu Inatès, Chinagoder, Kouré, tout comme en France, à Nice, Vienne, je pense que ce sont les mêmes combats », a affirmé le ministre français des Affaires Étrangères.
Le volet de sécurité tout comme celui du développement est commun pour la France et le Niger. « Je n’oublie pas les conséquences des graves inondations au Niger. La France participe par une aide d’urgence, de remédier les difficultés des populations affectées dans les régions de Niamey et Maradi », a dit-il. « Nous allons poursuivre notre action dans le domaine du développement puisque l’aide publique au développement française était de 280 millions d’euro pour toute une série de projets dont particulièrement des projets hydrauliques et aussi dans les domaines de l’éducation et de la sécurité alimentaire et du développement économique », a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, a déclaré Jean Yves Le Drian, « nous n’oublions pas l’aide humanitaire au sahel qui est en augmentation en raison de la crise et cette année, nous avons consacré une aide humanitaire de 3 millions d’euro au Niger, une aide alimentaire de 4 millions d’euro. Il faudra la même chose en 2021 ». Il y a une mobilisation internationale pour la sécurité du sahel dans le cadre de la coalition et aussi pour des besoins humanitaires du sahel illustrés par l’initiative organisée par le Danemark et l’Allemagne à laquelle la France a participé pour montrer que le Niger n’est pas seul dans ces difficultés et que l’accompagnement européen, et français en particulier, est et sera toujours au rendez-vous, a souligné le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères avant de préciser que « ce déplacement m’a permis de réaffirmer l’engagement et la détermination de la France auprès des pays du G5 sahel, singulièrement auprès du Niger pour que nous puissions poursuivre une coopération fructueuse au cours des années à avenir »
Par ailleurs, lors de ce point de presse M. Jean Yves Le Drian a livré ses impressions sur les échéances électorales dans notre pays: «les élections vont avoir lieu au moment où elles doivent avoir lieu dans le respect de la constitution et avec la mobilisation et la transparence nécessaire. Je crois que la qualité de l’élection au Niger sera une référence pour toute l’Afrique. Pour ma part, je pense que le débat électoral se passe dans des conditions de respect des uns et des autres. Vu la vigilance de la cour constitutionnelle et le fait que l’OIF sera en appui du déroulement des élections, tout cela donne de meilleurs garanties pour que le résultat ne soit pas contesté».
Par Issoufou A. Oumar(onep)
06 novembre 2020
Source : http://www.lesahel.org/
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le nouveau Représentant Spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel et l’ambassadeur d’Allemagne en fin de mission au Niger
Le Président de la République, Chef de l’Etat M. Mohamed Bazoum s’est entretenu, hier matin avec le nouveau Représentant Spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, M. Leonardo Santos Simâo.
A sa sortie d’audience, le Représentant Spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel a confié qu’il s’agit d’une visite de courtoisie au Président de la République du Niger. «J’ai entrepris cette visite de prise de contact dans les pays de la région afin d’avoir une opportunité d’échanger des problèmes et défis de la région», a indiqué M. Leonardo Santos Simâo. Au cours des échanges a-t-il dit, «le Chef de l’Etat SE. Mohamed Bazoum a partagé avec moi sa vision et des informations sur la Région». «De mon côté, j’ai réitéré au Président la disponibilité des Nations Unies à travailler avec le Niger et avec la Région aussi pour chercher les voies de surmonter les difficultés», a ajouté le Représentant Spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel.

Le Chef de l’Etat s’est par la suite entretenu avec l’ambassadeur d’Allemagne en fin de mission au Niger, M. Hermann Nicolaï. Le diplomate allemand est allé faire son au-revoir au Chef de l’Etat après un mandat de 5 ans au Niger. L’entretien entre les deux personnalités a permis de passer en revue la coopération entre le Niger et l’Allemagne pendant ces 5 dernières années. M. Hermann Nicolaï a souligné que l’Allemagne a développé une présence au Niger, non seulement avec sa coopération au développement, mais aussi avec son engagement dans le domaine de la sécurité afin de bâtir une forte capacité des Forces de Défense et de Sécurité du Niger.

«Deux grands projets sont en cours au Niger. L’un concerne la maternité Issaka Gazobi et l’autre l’hôpital militaire de Référence», a annoncé M. Hermann Nicolaï. Il a, en outre ajouté que l’Allemagne va continuer à s’engager fortement dans l’agriculture qui a le potentiel de donner beaucoup d’emplois à la jeunesse du Niger, dans la décentralisation pour permettre à l’Etat d’être près des citoyens pas seulement dans les grandes villes mais aussi dans les zones rurales.
Le diplomate allemand devait aussi rappeler que le secteur de la santé est également très important pour son pays. «On a un programme de santé avec le Niger qui est centré sur la santé de la reproduction», a souligné M. Hermann Nicolaï, avant de réitérer la volonté de l’Allemagne à rester et à s’engager davantage aux côtés du Niger.
Aminatou Seydou Harouna (ONEP)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le président de la Commission de l’UEMOA et la Représentante résidente de la CEDEAO
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum a réçu, hier matin en audience, le président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), M. Abdoulaye Diop qui séjourne à Niamey dans le cadre de la revue politique des réformes mises en œuvre. A sa sortie d’audience, le président de la Commission de l’UEMOA dit avoir rendu compte au Chef de l’Etat des échanges qu’il a eu avec le gouvernement relativement à la revue qui montre la performance du Niger et des efforts qui sont faits pour faire avancer l’intégration sous régionale.
«Et, évidemment, c’était aussi une occasion pour moi de remercier, à nouveau le Président Bazoum, pour son accompagnement et son soutien à la commission de l’UEMOA», a déclaré M. Abdoulaye Diop. Par la même occasion, il dit aussi avoir rendu compte au Président de la République de ce qu’il a fait depuis son arrivée à la tête de la Commission, et parlé du fonctionnement de cette institution ainsi que ses objectifs pour les années à venir. Le président de la Commission de l’UEMOA a par ailleurs confié que le Chef de l’Etat lui a réaffirmé son soutien et celui du Niger et de son gouvernement, afin de faire avancer le processus d’intégration.
Pour le président de la commission cette audience lui a permis globalement de passer en revue la situation économique, sociale et politique au niveau de la Zone UEMOA. «Nous avons été très sensible à son analyse très pertinente de ce contexte. Et nous en tirerons tous les enseignements nécessaires, par rapport aux missions que nous sommes en train de conduire au niveau de l’UEMOA», affirme M. Abdoulaye Diop.
Le Chef de l’Etat, SE Mohamed Bazoum s’est, ensuite entretenu avec la Représentante résidente de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) au Niger, Mme Alapini Liliane. «Nous sommes venue rencontrer le Chef de l’Etat, d’abord à titre de visite de courtoisie pour lui présenter, de vive voix, nos meilleurs vœux pour la nouvelle année. C’est ensuite pour partager avec lui certaines préoccupations en ce qui concerne notre institution», a-t-elle confié. Selon Mme Alapini Liliane les activités du bureau de la représentation de la CEDEAO au Niger, ouvert depuis près d’un an et demi, étaient aussi au centre de ses échanges qu’elle a eu avec le Chef de l’Etat. «Nous avons fait le point du niveau d’avancement des dossiers prioritaires», a-t-elle précisé. Mme Alapini Liliane dit, enfin, avoir renouvelé l’engagement de la CEDEAO à travailler en équipe pour le développement socio-économique des Etats membres.
Ismaël Chékaré(Onep)
1er février 2022
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le rapport annuel 2022 de la HAPDP et s’entretient avec plusieurs personnalités
Le Président de la Répulique, Chef de l’Etat M. Mohamed Bazoum a accordé hier en début d’après-midi, cinq audiences. C’est ainsi que le Chef de l’Etat s’est entretenu respectivement dans la matinée avec la présidente de la Haute Autorité à la Protection des Données à caractére Personnel (HAPDP) Mme Sanady Tchimaden Hadatan, puis avec le nouveau médiateur de la République, nommé le 11 Mai 2023 et avec l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Niger, M. Jiang Feng. Dans l’apres-midi, le Chef de l’Etat a recu l’ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite, M. Rashed Saeed Al-Shamsi et enfin l’ambassadeur du Sénégal au Niger M. Paul Benoit Sarr.
A l’issue de la première audience, la présidente de la Haute Autorité à la Protection des Données à caractére Personnel, Mme Sanady Tchimaden Hadatan a déclaré avoir remis au Président de la République le rapport annuel de la HAPDP au titre de l’année 2022. D’après la présidente de cette structure, la remise de ce rapport annuel d’activités obeit à une obligation légale qui stipule que, la HAPDP a l’obligation de tansmettre son rapport chaque année au Président de la République.
Il s’est donc agi pour la présidente de la Haute Autorité à la Protection des Données à caractere Personnel de faire le point au Président de la République sur l’état de la protection des données à caractére personnel au Niger et de décliner les différentes actions menées par l’institution non seulement en terme de sensibilisation et de formation mais également dans le cadre de la coopération sous-régionale courant l’année 2022. «Nous lui avons notifié que la HAPDP est aussi membre du réseau francophone des autorités de protection des données à caractére personnel», a ajouté Mme Sanady Tchimaden Hadatan.

Quant au nouveau Médiateur de la République, M. Moussa Maman, il dit être venu prendre contact avec le Chef de l’Etat dans la suite de visites qu’il a initiées depuis la semaine passée. C’est ainsi qu’il a été reçu par le Président de l’Assemblée nationale, puis par le Premier ministre. L’objectif de cette visite, a-dit le Médiateur de la République est de remercier le Président de la République pour la confiance qu’il a eu à placer en sa personne pour diriger cette institution de la République. M. Moussa Maman a également saisi cette opportunité pour parler des préoccupations qui assaillent son institution et demander le soutien et l’appui du Président de la République. «Nous lui avons demandé en tout cas de continuer cet appui pour la bonne marche de cette institution au bénéfice du peuple nigérien», a ajouté le Médiateur de la République.

Pour sa part l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Niger a indiqué que l’audience avec le Président de la République lui a permis, de passer en revue les relations bilatérales et la coopération concréte entre le Niger et la Chine. «J’ai fait savoir au Président que grace à son soutien sans réserve, le forum d’investissement Chine-Niger qui s’est tenu au mois d’avril a été courroné de grand succès et maintenant, c’est le moment de concrétiser le fruit de ce forum», a déclaré M. Jiang Feng. Le diplomate chinois a annoncé qu’un nouveau investissement dont le montant tourne autour de 300 millions de dollars américains sera fait pendant ce mois de juin. Et que d’autres projets sont en cours d’etre concrétisés.
M. Jiang Feng a affirmé qu’il a aussi rapporté au Président de la République du Niger qu’une équipe d’inspection chinoise est déjà arrivée à Niamey. Cette équipe, a expliqué le diplomate, est là pour la rénovation du Stade Général Seyni Kountché. «Elle a déjà commencé son travail», a dit l’ambassadeur de Chine avant de souligner l’importance que revet la renovation du Stade au Chef de l’Etat du Niger. «La partie chinoise va faire tout ce qu’elle peut pour accélérer la rénovation du stade afin qu’il puisse repondre aux exigences de la Confédération Africaine de Football», a assuré M. Jiang Feng.
Cet entretien a également permis au diplomate chinois de partager avec le Président de la République, l’état d’avancement du projet du barrage de kandadji dont malgré les difficultés, la société chinoise est en train de poursuivre les travaux jour et nuit. «Nous avons la conviction d’accomplir ce projet emblématique dans les meilleurs délais», a confié le diplomate chinois.

Le Chef de l’Etat s’est ensuite entretenu avec l’ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite, M. Rashed Saeed Al-Shamsi, venu pour remettre au Président de la République une lettre d’invitation lui invitant à assister au Sommet Mondial sur le Climat qui se tiendra à Dubai du 30 Novembre au 12 Décembre 2023. L’ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite a aussi échangé avec le Président de la République sur d’autres sujets d’intéret commun entre les deux pays aussi bien sur le plan politique qu’économique. M. Rashed Saeed Al-Shamsi s’est réjoui de la stabilité et la sécurité qui prévalent au Niger et a salué les efforts fournis par l’Etat dans ce sens afin de developper le pays.

Enfin le Président Mohamed Bazoum a reçu en audience, l’ambassadeur du Sénégal, M. Paul Benoit Sarr. A sa sortie d’audience, le diplomate sénégalais a précisé qu’il est venu dire au revoir au Chef de l’Etat, après deux (2) ans de mission ‘’exaltante’’au Niger. M. Paul Benoit Sarr a profité de cette occasion pour exprimer sa profonde gratitude au Président de la République pour l’avoir elevé au rang de Commandeur dans l’ordre du mérite du Niger. Le diplomate sénégalais a soutenu que le Niger et le Sénégal sont des pays qui partagent beaucoup de valeurs. C’est pourquoi, il a demandé aux Nigériens à travers le Président de la République, de prier pour le Sénégal afin que ‘’le pays retrouve son identité et sa stabilité’’.
Rahila Tagou (ONEP)
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A la Présidence de la République : Le Chef de l’Etat reçoit le rapport général public 2014 de la Cour des Comptes
Le Président de la République, Chef de l’Etat SE. Issoufou Mahamadou a reçu, vendredi dernier dans la matinée, les résultats des travaux de contrôle effectués par la Cour des Comptes au cours de l’année 2014. Le rapport lui a été remis par le président de ladite Institution, M. Saidou Sidibé, entouré des autres membres de la Cour au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée dans la salle des conseils des Ministres sise au Palais de la Présidence.
Selon le président de la Cour des Comptes, la présentation de ce rapport devrait normalement intervenir depuis la fin de l’année 2015 et celui de 2015 en fin 2016. Mais, a relevé Saidou Sidibé, pour des raisons diverses de calendrier et de l’absence du premier président durant presque toute l’année 2016, ceci n’a pas été possible et que, a-t-il précisé les dispositions de la loi organique régissant la Cour des comptes n’ont pas prévu de convocation de l’Assemblée générale pour statuer sur un rapport général public. Toujours est-il que le présent rapport général public est le 4ème du genre après ceux de 2011, de 2012 et de 2013. Lors de la présentation du rapport au Chef de l’Etat, le président de la Cour des comptes a indiqué que ce rapport comprend deux parties. La première partie est relative à l’état de mise en œuvre des recommandations du rapport général public (RGP) 2013 tandis que la seconde partie porte sur les résultats des contrôles au titre de l’année 2014.
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